Lombalgies discovertébrales communes / L. Jacob in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°2 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inEMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 15-840-C-10 [Tome 7] Titre : Lombalgies discovertébrales communes Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Jacob ; Johann Beaudreuil Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-840-C-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Lombalgies communes  Épidémiologie  Pathogénie  Imagerie  Formes anatomo-cliniques  Traitement Résumé : Les lombalgies discovertébrales communes ou, plus simplement, lombalgies communes, sont extrêmement fréquentes et représentent 90 % des causes de lombalgie. Leur prévalence et leur retentissement font qu'elles constituent la première cause de limitation d'activité exprimée en années de vie passées avec incapacité chez l'adulte. Elles sont définies par l'exclusion d'affections extrarachidiennes, rachidiennes inflammatoires, tumorales, infectieuses ou fracturaires. En pratique, la démarche conduisant au diagnostic de lombalgie commune est une démarche clinique. Elle peut être aidée par l'imagerie dans un but avant tout différentiel. Le traitement d'une lombalgie commune aiguë, appelée également lumbago, comprend la médication contre la douleur, la réassurance et le maintien des activités autant que faire se peut. La résolution rapide est la règle générale, mais une minorité de patients peut évoluer vers la persistance, au-delà de 4 semaines, voire vers la chronicité. La prise en charge comprend alors, outre le traitement de la douleur, celui des facteurs psychosociaux liés à la chronicité lorsqu'ils sont présents, la massokinésithérapie et, dans les formes récalcitrantes, les programmes multidisciplinaires. Ces derniers réduisent la limitation d'activité dans l'indication des lombalgies communes chroniques les plus invalidantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117606 [article] Lombalgies discovertébrales communes [texte imprimé] / L. Jacob ; Johann Beaudreuil . - 2024 . - p. 15-840-C-10 [Tome 7]. Langues : Français (fre) in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 15-840-C-10 [Tome 7] Mots-clés : Lombalgies communes  Épidémiologie  Pathogénie  Imagerie  Formes anatomo-cliniques  Traitement Résumé : Les lombalgies discovertébrales communes ou, plus simplement, lombalgies communes, sont extrêmement fréquentes et représentent 90 % des causes de lombalgie. Leur prévalence et leur retentissement font qu'elles constituent la première cause de limitation d'activité exprimée en années de vie passées avec incapacité chez l'adulte. Elles sont définies par l'exclusion d'affections extrarachidiennes, rachidiennes inflammatoires, tumorales, infectieuses ou fracturaires. En pratique, la démarche conduisant au diagnostic de lombalgie commune est une démarche clinique. Elle peut être aidée par l'imagerie dans un but avant tout différentiel. Le traitement d'une lombalgie commune aiguë, appelée également lumbago, comprend la médication contre la douleur, la réassurance et le maintien des activités autant que faire se peut. La résolution rapide est la règle générale, mais une minorité de patients peut évoluer vers la persistance, au-delà de 4 semaines, voire vers la chronicité. La prise en charge comprend alors, outre le traitement de la douleur, celui des facteurs psychosociaux liés à la chronicité lorsqu'ils sont présents, la massokinésithérapie et, dans les formes récalcitrantes, les programmes multidisciplinaires. Ces derniers réduisent la limitation d'activité dans l'indication des lombalgies communes chroniques les plus invalidantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117606

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The association between physical activity and urinary incontinence among adults residing in Spain / L. Smith in Science & sports, Vol.38 n°4 (Juin 2023)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.38 n°4 (Juin 2023) . - p. 411-418 Titre : The association between physical activity and urinary incontinence among adults residing in Spain Titre original : Association entre activité physique et incontinence urinaire chez des adultes résidant en Espagne Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Smith ; P. Soysal ; G.F. López-Sánchez ; A.T. Isik ; N. Veronese ; J. Demurtas ; P.C. Ilie ; Ai Koyanagi ; L. Jacob Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 411-418 Note générale : 10.1016/j.scispo.2022.05.004 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Épidémiologie  Espagne  Exercice physique  Incontinence urinaire Résumé : Objectifs Explorer l’association entre activité physique (AP) et incontinence urinaire (IU) chez des adultes en Espagne. Matériels et méthodes Les données transversales de l’Enquête Nationale Espagnole sur la Santé de 2017 ont été analysées. L’International Physical Activity Questionnaire (IPAQ) a été utilisé pour mesurer le niveau d’AP (variable indépendante), et une AP suffisante correspondait à un équivalent métabolique d’au moins 600minutes par semaine. L’IU (variable dépendante) était renseignée par les participants avec la question « Avez-vous déjà reçu un diagnostic d’IU ? ». Une régression logistique multivariée a par la suite été utilisée pour étudier l’association entre AP et IU dans l’ensemble de l’échantillon, par sexe et par groupe d’âge (15–40 ans, 41–64 ans et 65–69 ans). Les modèles de régression logistique étaient ajustés pour le sexe (à l’exception des analyses stratifiées sur le sexe), l’âge, le statut marital, l’éducation, le tabagisme, l’alcool, l’obésité, l’hypertension, le diabète, l’arthrose, les rachialgies chroniques, les traumatismes physiques, l’asthme, les troubles thyroïdiens, la dépression, et l’anxiété. Résultats Cette étude a inclus 17 777 participants [48,0 % d’hommes ; âge moyen (ET) 45,8 (14,1) ans]. La prévalence d’une AP suffisante et d’une IU était respectivement de 69,8 % et de 2,4 %. Après ajustement sur l’ensemble des variables de contrôle, une AP suffisante était négativement associée à la présence d’une IU [rapport de cotes (RC)=0,67; intervalle de confiance (IC) à 95 %=0,55–0,83]. Ce résultat a été corroboré chez les femmes (RC=0,62 ; IC à 95 %=0,48–0,80), les participants âgés de 15–40 ans (RC=0,40 ; IC à 95 %=0,20–0,79) et ceux âgés de 41–64 ans (RC=0,71 ; IC à 95 %=0,55–0,93), mais pas chez les hommes (RC=0,81 ; IC à 95 %=0,57–1,16) et les participants âgés de 65–69 ans (RC=0,72 ; IC à 95 %=0,47–1,09). Conclusion Une AP suffisante est négativement associée à la présence d’une IU. Bien que des études supplémentaires soient nécessaires pour explorer la direction de cette association, une AP correspondant à un équivalent métabolique d’au moins 600minutes par semaine devrait être promue chez les personnes avec une IU, en particulier chez les femmes et les adultes jeunes et d’âge moyen. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112453 [article] The association between physical activity and urinary incontinence among adults residing in Spain = Association entre activité physique et incontinence urinaire chez des adultes résidant en Espagne [texte imprimé] / L. Smith ; P. Soysal ; G.F. López-Sánchez ; A.T. Isik ; N. Veronese ; J. Demurtas ; P.C. Ilie ; Ai Koyanagi ; L. Jacob . - 2023 . - p. 411-418. 10.1016/j.scispo.2022.05.004 Langues : Anglais (eng) in Science & sports > Vol.38 n°4 (Juin 2023) . - p. 411-418 Mots-clés : Épidémiologie  Espagne  Exercice physique  Incontinence urinaire Résumé : Objectifs Explorer l’association entre activité physique (AP) et incontinence urinaire (IU) chez des adultes en Espagne. Matériels et méthodes Les données transversales de l’Enquête Nationale Espagnole sur la Santé de 2017 ont été analysées. L’International Physical Activity Questionnaire (IPAQ) a été utilisé pour mesurer le niveau d’AP (variable indépendante), et une AP suffisante correspondait à un équivalent métabolique d’au moins 600minutes par semaine. L’IU (variable dépendante) était renseignée par les participants avec la question « Avez-vous déjà reçu un diagnostic d’IU ? ». Une régression logistique multivariée a par la suite été utilisée pour étudier l’association entre AP et IU dans l’ensemble de l’échantillon, par sexe et par groupe d’âge (15–40 ans, 41–64 ans et 65–69 ans). Les modèles de régression logistique étaient ajustés pour le sexe (à l’exception des analyses stratifiées sur le sexe), l’âge, le statut marital, l’éducation, le tabagisme, l’alcool, l’obésité, l’hypertension, le diabète, l’arthrose, les rachialgies chroniques, les traumatismes physiques, l’asthme, les troubles thyroïdiens, la dépression, et l’anxiété. Résultats Cette étude a inclus 17 777 participants [48,0 % d’hommes ; âge moyen (ET) 45,8 (14,1) ans]. La prévalence d’une AP suffisante et d’une IU était respectivement de 69,8 % et de 2,4 %. Après ajustement sur l’ensemble des variables de contrôle, une AP suffisante était négativement associée à la présence d’une IU [rapport de cotes (RC)=0,67; intervalle de confiance (IC) à 95 %=0,55–0,83]. Ce résultat a été corroboré chez les femmes (RC=0,62 ; IC à 95 %=0,48–0,80), les participants âgés de 15–40 ans (RC=0,40 ; IC à 95 %=0,20–0,79) et ceux âgés de 41–64 ans (RC=0,71 ; IC à 95 %=0,55–0,93), mais pas chez les hommes (RC=0,81 ; IC à 95 %=0,57–1,16) et les participants âgés de 65–69 ans (RC=0,72 ; IC à 95 %=0,47–1,09). Conclusion Une AP suffisante est négativement associée à la présence d’une IU. Bien que des études supplémentaires soient nécessaires pour explorer la direction de cette association, une AP correspondant à un équivalent métabolique d’au moins 600minutes par semaine devrait être promue chez les personnes avec une IU, en particulier chez les femmes et les adultes jeunes et d’âge moyen. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112453

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