Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Yavuz Kara |
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Appréhension de l'addiction au sport par les kinésithérapeutes et leur rôle dans la prise en charge de cette pathologie / Agathe Leman
Titre : Appréhension de l'addiction au sport par les kinésithérapeutes et leur rôle dans la prise en charge de cette pathologie Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Agathe Leman ; Yavuz Kara ; Nathalie Fasbender, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2023 Importance : 84p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français (fre) Mots-clés : Addiction à l’exercice physique Tableau clinique Prise en charge Kinésithérapie Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif – L’addiction à l’exercice physique (AE) pose un réel problème de santé publique dans le monde, qui impacte les milieux sanitaires, médicaux, et sociaux. Ce trouble n’est en revanche pas répertorié dans les manuels de diagnostic des troubles mentaux en Europe, dans la Classification Internationale des Maladies (CIM), ainsi qu’aux Etats-Unis, dans le Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux (DSM), étant donné le manque de consensus dans la littérature à ce sujet. Les kinésithérapeutes font partie des professionnels de santé de première ligne, car ils sont souvent les premiers à rencontrer les patients présentant une AE en raison de leurs blessures. L'objectif de cette étude est donc de faire un état des lieux des connaissances actuelles des kinésithérapeutes sur ce trouble, de connaitre leur prise en charge, et vers quels professionnels ils orienteraient leurs patients.
Méthodes – Soixante-treize kinésithérapeutes ont répondu à notre questionnaire mis en ligne. Les données recueillies concernaient les connaissances théoriques du trouble (tableau clinique et échelles
de diagnostic), leur prise en charge, ainsi que l’orientation vers un autre professionnel de santé. Nous avons confronté les kinésithérapeutes ayant plus ou moins 5 ans d’expérience, ainsi que les
kinésithérapeutes ayant réalisé, ou non, une formation complémentaire dans le domaine du sport. Les analyses ont été réalisées grâce à des statistiques descriptives, puis à des tests de Chi-Carré.
Résultats – Les kinésithérapeutes ont des connaissances similaires en matière de signes cliniques, comorbidités et risques liés à l'AE, indépendamment de leur expérience et de leur formation. Aucune
différence significative n’a été trouvée entre les différents sous-groupes de manière générale. Cependant, les kinésithérapeutes ayant plus de 5 ans d'expérience ont davantage tendance à orienter leur patient vers d'autres professionnels de santé et à suspecter des patients souffrant d'AE.
Conclusion – De manière générale, les kinésithérapeutes semblent relativement bien sensibilisés en ce qui concerne les connaissances théoriques et la prise en charge de l’AE. Cependant, au vu des limites, il semblerait intéressant de reproduire et d’approfondir notre travail sur un nombre plus important de sujets, et sur des groupes plus équitables. De plus, nous pourrions nous demander si la tendance se confirmerait si le cadre théorique ainsi que la méthodologie employée étaient modifiés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111979 Appréhension de l'addiction au sport par les kinésithérapeutes et leur rôle dans la prise en charge de cette pathologie [TFE / Mémoire] / Agathe Leman ; Yavuz Kara ; Nathalie Fasbender, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2023 . - 84p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Addiction à l’exercice physique Tableau clinique Prise en charge Kinésithérapie Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif – L’addiction à l’exercice physique (AE) pose un réel problème de santé publique dans le monde, qui impacte les milieux sanitaires, médicaux, et sociaux. Ce trouble n’est en revanche pas répertorié dans les manuels de diagnostic des troubles mentaux en Europe, dans la Classification Internationale des Maladies (CIM), ainsi qu’aux Etats-Unis, dans le Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux (DSM), étant donné le manque de consensus dans la littérature à ce sujet. Les kinésithérapeutes font partie des professionnels de santé de première ligne, car ils sont souvent les premiers à rencontrer les patients présentant une AE en raison de leurs blessures. L'objectif de cette étude est donc de faire un état des lieux des connaissances actuelles des kinésithérapeutes sur ce trouble, de connaitre leur prise en charge, et vers quels professionnels ils orienteraient leurs patients.
Méthodes – Soixante-treize kinésithérapeutes ont répondu à notre questionnaire mis en ligne. Les données recueillies concernaient les connaissances théoriques du trouble (tableau clinique et échelles
de diagnostic), leur prise en charge, ainsi que l’orientation vers un autre professionnel de santé. Nous avons confronté les kinésithérapeutes ayant plus ou moins 5 ans d’expérience, ainsi que les
kinésithérapeutes ayant réalisé, ou non, une formation complémentaire dans le domaine du sport. Les analyses ont été réalisées grâce à des statistiques descriptives, puis à des tests de Chi-Carré.
Résultats – Les kinésithérapeutes ont des connaissances similaires en matière de signes cliniques, comorbidités et risques liés à l'AE, indépendamment de leur expérience et de leur formation. Aucune
différence significative n’a été trouvée entre les différents sous-groupes de manière générale. Cependant, les kinésithérapeutes ayant plus de 5 ans d'expérience ont davantage tendance à orienter leur patient vers d'autres professionnels de santé et à suspecter des patients souffrant d'AE.
Conclusion – De manière générale, les kinésithérapeutes semblent relativement bien sensibilisés en ce qui concerne les connaissances théoriques et la prise en charge de l’AE. Cependant, au vu des limites, il semblerait intéressant de reproduire et d’approfondir notre travail sur un nombre plus important de sujets, et sur des groupes plus équitables. De plus, nous pourrions nous demander si la tendance se confirmerait si le cadre théorique ainsi que la méthodologie employée étaient modifiés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111979 Exemplaires
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