A 2-week combined high-intensity interval training regulates inflammatory status in young females with obesity / N. Soltani in Science & sports, Vol.38 N°2 (Mars 2023)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.38 N°2 (Mars 2023) . - p. 174-181 Titre : A 2-week combined high-intensity interval training regulates inflammatory status in young females with obesity Titre original : Un intervalle training combiné à haute intensité de 2 semaines régule l’état inflammatoire de jeunes femmes obèses Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Soltani ; N. Esmaeil ; S.M. Marandi ; V. Hovsepian ; T. Momen ; A. Shahsanai Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 174-181 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Exercice physique  Obésité  Médiateurs de l’inflammation  FGF21  PTX3 Résumé : Objectifs La méta-inflammation (ou inflammation systémique de bas grade) est un aspect pathologique des troubles de l’immunométabolisme dans l’obésité. Cet état inflammatoire est favorisé par la surexpression inflammatoire des cytokines en partie liée à la voie du toll-like receptor 4. Nous avons évalué les effets directs de l’exercice (en l’absence de changements de masse grasse corporelle) sur la concentration sérique de cytokines lors d’une intervention d’entraînement à court terme chez les sujets en surpoids ou obèses. Équipement et méthodes Trente jeunes femmes inactives ont été réparties en deux groupes : le groupe inactif (IG, a continué son mode de vie inactif, n = 15) et le groupe actif (AG, lequel a participé à deux semaines d’interval training combiné à haute intensité, n = 15). Avant et après l’intervention, la concentration de cytokines sériques a été mesurée par la technique ELISA. Résultats Les paramètres de composition corporelle n’ont pas changé de manière significative dans les deux groupes. Les niveaux d’interleukine (IL)-10 ont augmenté de manière significative par rapport aux valeurs pré-test (AG : p=0,008 ; IG : p = 0,007). En outre, il y a eu une diminution significative des niveaux de tumor necrosis factor α (AG vs IG : p = 0,05). Aucun changement statistiquement significatif (p > 0,05) n’a été trouvé pour l’interféron (IFN)-γ (Δ % = –20,41), la pentraxine 3 (Δ % = –13,57) et le facteur de croissance des fibroblastes 21 (FGF21) (Δ % = 24,02). Cependant, les changements de FGF21 ont révélé une corrélation positive significative avec l’IL-10 (r = 0,65) et une corrélation négative significative avec l’IFN-γ (r = 0,58). Bien que notre protocole d’entraînement physique ait réduit les activités de TLR4 et induit un environnement anti-inflammatoire, cet impact ne semble pas être lié aux changements de graisse corporelle, indiquant l’impact immunomodulateur direct de l’exercice. D’autres interventions sont nécessaires pour évaluer les implications cliniques des interactions entre le muscle squelettique, le foie, le tissu adipeux et la réponse inflammatoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110757 [article] A 2-week combined high-intensity interval training regulates inflammatory status in young females with obesity = Un intervalle training combiné à haute intensité de 2 semaines régule l’état inflammatoire de jeunes femmes obèses [texte imprimé] / N. Soltani ; N. Esmaeil ; S.M. Marandi ; V. Hovsepian ; T. Momen ; A. Shahsanai . - 2023 . - p. 174-181. Langues : Anglais (eng) in Science & sports > Vol.38 N°2 (Mars 2023) . - p. 174-181 Mots-clés : Exercice physique  Obésité  Médiateurs de l’inflammation  FGF21  PTX3 Résumé : Objectifs La méta-inflammation (ou inflammation systémique de bas grade) est un aspect pathologique des troubles de l’immunométabolisme dans l’obésité. Cet état inflammatoire est favorisé par la surexpression inflammatoire des cytokines en partie liée à la voie du toll-like receptor 4. Nous avons évalué les effets directs de l’exercice (en l’absence de changements de masse grasse corporelle) sur la concentration sérique de cytokines lors d’une intervention d’entraînement à court terme chez les sujets en surpoids ou obèses. Équipement et méthodes Trente jeunes femmes inactives ont été réparties en deux groupes : le groupe inactif (IG, a continué son mode de vie inactif, n = 15) et le groupe actif (AG, lequel a participé à deux semaines d’interval training combiné à haute intensité, n = 15). Avant et après l’intervention, la concentration de cytokines sériques a été mesurée par la technique ELISA. Résultats Les paramètres de composition corporelle n’ont pas changé de manière significative dans les deux groupes. Les niveaux d’interleukine (IL)-10 ont augmenté de manière significative par rapport aux valeurs pré-test (AG : p=0,008 ; IG : p = 0,007). En outre, il y a eu une diminution significative des niveaux de tumor necrosis factor α (AG vs IG : p = 0,05). Aucun changement statistiquement significatif (p > 0,05) n’a été trouvé pour l’interféron (IFN)-γ (Δ % = –20,41), la pentraxine 3 (Δ % = –13,57) et le facteur de croissance des fibroblastes 21 (FGF21) (Δ % = 24,02). Cependant, les changements de FGF21 ont révélé une corrélation positive significative avec l’IL-10 (r = 0,65) et une corrélation négative significative avec l’IFN-γ (r = 0,58). Bien que notre protocole d’entraînement physique ait réduit les activités de TLR4 et induit un environnement anti-inflammatoire, cet impact ne semble pas être lié aux changements de graisse corporelle, indiquant l’impact immunomodulateur direct de l’exercice. D’autres interventions sont nécessaires pour évaluer les implications cliniques des interactions entre le muscle squelettique, le foie, le tissu adipeux et la réponse inflammatoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110757

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Exercise-induced Brain-derived neurotrophic factor regulation in the brain dysfunctions / Z. Rezaee in Science & sports, Vol.38 N°5-6 (août 2023)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.38 N°5-6 (août 2023) . - p. 519-526 Titre : Exercise-induced Brain-derived neurotrophic factor regulation in the brain dysfunctions Titre original : Effet de l’exercice physique sur le facteur neurotrophique dérivé du cerveau dans le dysfonctionnement cérébral Type de document : texte imprimé Auteurs : Z. Rezaee ; S.M. Marandi ; H. Alaei ; F. Esfarjani Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 519-526 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Dégénérescence nerveuse  Exercice physique  Facteur neurotrophique dérivé du cerveau  Stress oxydatif  Système nerveux périphérique  Vieillissement Résumé : Objectifs Dans le présent article de synthèse, nous tenterons d’expliquer comment l’exercice physique peut prévenir la dégénérescence neuronale en étudiant le rôle clés du facteur neurotrophique dérivé du cerveau en tant qu’indicateur des symptômes du dysfonctionnement cérébral lors du vieillissement. En outre, nous éluciderons les mécanismes cellulaires et moléculaires de l’exercice physique dans la régulation, dans le cerveau, du facteur neurotrophique dérivé du cerveau, dont la dérégulation apparaît dans de nombreuses conditions pathologiques. Actualité Il a été constaté que les troubles mitochondriaux liés à la surrégulation des espèces réactives de l’oxygène jouent un rôle vital dans divers troubles neurodégénératifs. Les neurotrophines disposent d’effets bénéfiques sur la plasticité neuronale ainsi que sur la survie neuronale, et de nombreux traitements médicamenteux visent à augmenter les neurotrophines. Perspectives et projets Malheureusement, les méthodes médicamenteuses sont lentes et coûteuses, et la résistance aux médicaments se développe après un certain temps. L’exercice physique en tant qu’intervention complémentaire a des résultats prometteurs, et pourtant divers facteurs affectent les résultats, ce qui doit être soigneusement étudié dans les études. L’exercice physique peut augmenter la biogenèse mitochondriale du cerveau et réduire les effets du processus du vieillissement sur le cerveau. La régulation du facteur neurotrophique dérivé du cerveau par l’exercice est associée à des effets antidépresseurs ainsi qu’à une augmentation de la fonction cognitive et de la capacité mitochondriale, ce qui annule les troubles du vieillissement. Conclusion Les mécanismes d’adaptation créés grâce à l’exercice physique dans les troubles neurologiques restent inconnus, et l’évaluation de l’effet de l’exercice physique sur le dysfonctionnement neurologique a rencontré de nombreuses difficultés. Par conséquent, d’autres études semblent nécessaires afin de résoudre les contradictions existantes. Cependant, il existe une relation positive entre l’exercice régulier et le facteur neurotrophique dérivé du cerveau, qui peut prévenir ou réduire les symptômes des maladies du cerveau, en particulier lors du vieillissement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112612 [article] Exercise-induced Brain-derived neurotrophic factor regulation in the brain dysfunctions = Effet de l’exercice physique sur le facteur neurotrophique dérivé du cerveau dans le dysfonctionnement cérébral [texte imprimé] / Z. Rezaee ; S.M. Marandi ; H. Alaei ; F. Esfarjani . - 2023 . - p. 519-526. Langues : Anglais (eng) in Science & sports > Vol.38 N°5-6 (août 2023) . - p. 519-526 Mots-clés : Dégénérescence nerveuse  Exercice physique  Facteur neurotrophique dérivé du cerveau  Stress oxydatif  Système nerveux périphérique  Vieillissement Résumé : Objectifs Dans le présent article de synthèse, nous tenterons d’expliquer comment l’exercice physique peut prévenir la dégénérescence neuronale en étudiant le rôle clés du facteur neurotrophique dérivé du cerveau en tant qu’indicateur des symptômes du dysfonctionnement cérébral lors du vieillissement. En outre, nous éluciderons les mécanismes cellulaires et moléculaires de l’exercice physique dans la régulation, dans le cerveau, du facteur neurotrophique dérivé du cerveau, dont la dérégulation apparaît dans de nombreuses conditions pathologiques. Actualité Il a été constaté que les troubles mitochondriaux liés à la surrégulation des espèces réactives de l’oxygène jouent un rôle vital dans divers troubles neurodégénératifs. Les neurotrophines disposent d’effets bénéfiques sur la plasticité neuronale ainsi que sur la survie neuronale, et de nombreux traitements médicamenteux visent à augmenter les neurotrophines. Perspectives et projets Malheureusement, les méthodes médicamenteuses sont lentes et coûteuses, et la résistance aux médicaments se développe après un certain temps. L’exercice physique en tant qu’intervention complémentaire a des résultats prometteurs, et pourtant divers facteurs affectent les résultats, ce qui doit être soigneusement étudié dans les études. L’exercice physique peut augmenter la biogenèse mitochondriale du cerveau et réduire les effets du processus du vieillissement sur le cerveau. La régulation du facteur neurotrophique dérivé du cerveau par l’exercice est associée à des effets antidépresseurs ainsi qu’à une augmentation de la fonction cognitive et de la capacité mitochondriale, ce qui annule les troubles du vieillissement. Conclusion Les mécanismes d’adaptation créés grâce à l’exercice physique dans les troubles neurologiques restent inconnus, et l’évaluation de l’effet de l’exercice physique sur le dysfonctionnement neurologique a rencontré de nombreuses difficultés. Par conséquent, d’autres études semblent nécessaires afin de résoudre les contradictions existantes. Cependant, il existe une relation positive entre l’exercice régulier et le facteur neurotrophique dérivé du cerveau, qui peut prévenir ou réduire les symptômes des maladies du cerveau, en particulier lors du vieillissement. 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