Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Jesse Berwouts |
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Évolution des antibiotiques remboursés de 2015 à 2021 / Jesse Berwouts in Santé & société [périodique électronique], 2 (juillet 2022)
[article]
Titre : Évolution des antibiotiques remboursés de 2015 à 2021 : Impact des récentes mesures gouvernementales et du COVID-19 sur l’usage des antibiotiques et spécificités chez les dentistes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jesse Berwouts ; Rose-Marie Ntahonganyira ; Kris Van haecht ; Denis Delvenne Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 38-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médicaments -- Usage Soins médicaux -- Coût Consommateurs -- Comportement Économie de la santé Covid-19 Politique sanitaire Résumé : "La surconsommation d’antibiotiques en Belgique constitue une menace sérieuse pour la santé publique. Les antibiotiques conduisent en effet à l’apparition de bactéries résistantes, ce qui rend le traitement de certaines maladies de plus en plus difficile. Par conséquent, leur utilisation doit être limitée aux cas où ils sont absolument nécessaires. Pour endiguer le problème de la résistance aux antimicrobiens, les règles de remboursement ont été renforcées en 2017 et 2018, et les gouvernements ont lancé un plan d’action en 2019 pour encourager une utilisation moindre et meilleure des antibiotiques. Dans cette étude, nous examinons l’efficacité de ces initiatives en suivant l’évolution du nombre d’utilisateurs et du volume d’antibiotiques (remboursés). Nous étudions également l’impact de la pandémie de coronavirus sur l’utilisation des antibiotiques et accordons une attention particulière à certains groupes spécifiques d’antibiotiques. Enfin, nous analysons spécifiquement le comportement de prescription des dentistes concernant certains antibiotiques qui ne sont pas recommandés pour l’usage dentaire. Les résultats de nos analyses montrent que les incitations purement financières ne sont pas suffisantes pour encourager un usage moindre et plus correct des antibiotiques. De plus, il semble que les baisses des antibiotiques remboursés aient été beaucoup plus fortes après les mesures de confinement pendant la pandémie, que les baisses consécutives aux mesures
politiques. Enfin, nous constatons que les dentistes prescrivent encore beaucoup d’antibiotiques non recommandés. Il est donc nécessaire de sensibiliser davantage les médecins et les utilisateurs finaux."Note de contenu : Bibliographie p. 58-59 En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/4994243452fb9bc1/original/Sante-Societe-n-2.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113659
in Santé & société [périodique électronique] > 2 (juillet 2022) . - p. 38-59[article] Évolution des antibiotiques remboursés de 2015 à 2021 : Impact des récentes mesures gouvernementales et du COVID-19 sur l’usage des antibiotiques et spécificités chez les dentistes [texte imprimé] / Jesse Berwouts ; Rose-Marie Ntahonganyira ; Kris Van haecht ; Denis Delvenne . - 2022 . - p. 38-59.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 2 (juillet 2022) . - p. 38-59
Mots-clés : Médicaments -- Usage Soins médicaux -- Coût Consommateurs -- Comportement Économie de la santé Covid-19 Politique sanitaire Résumé : "La surconsommation d’antibiotiques en Belgique constitue une menace sérieuse pour la santé publique. Les antibiotiques conduisent en effet à l’apparition de bactéries résistantes, ce qui rend le traitement de certaines maladies de plus en plus difficile. Par conséquent, leur utilisation doit être limitée aux cas où ils sont absolument nécessaires. Pour endiguer le problème de la résistance aux antimicrobiens, les règles de remboursement ont été renforcées en 2017 et 2018, et les gouvernements ont lancé un plan d’action en 2019 pour encourager une utilisation moindre et meilleure des antibiotiques. Dans cette étude, nous examinons l’efficacité de ces initiatives en suivant l’évolution du nombre d’utilisateurs et du volume d’antibiotiques (remboursés). Nous étudions également l’impact de la pandémie de coronavirus sur l’utilisation des antibiotiques et accordons une attention particulière à certains groupes spécifiques d’antibiotiques. Enfin, nous analysons spécifiquement le comportement de prescription des dentistes concernant certains antibiotiques qui ne sont pas recommandés pour l’usage dentaire. Les résultats de nos analyses montrent que les incitations purement financières ne sont pas suffisantes pour encourager un usage moindre et plus correct des antibiotiques. De plus, il semble que les baisses des antibiotiques remboursés aient été beaucoup plus fortes après les mesures de confinement pendant la pandémie, que les baisses consécutives aux mesures
politiques. Enfin, nous constatons que les dentistes prescrivent encore beaucoup d’antibiotiques non recommandés. Il est donc nécessaire de sensibiliser davantage les médecins et les utilisateurs finaux."Note de contenu : Bibliographie p. 58-59 En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/4994243452fb9bc1/original/Sante-Societe-n-2.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113659 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les inégalités de santé commencent dès la naissance / Jesse Berwouts in Santé & société [périodique électronique], 5 (Avril 2023)
[article]
Titre : Les inégalités de santé commencent dès la naissance : Analyse quantitative des facteurs influençant le risque de réadmission des nouveau-nés à l’hôpital Type de document : texte imprimé Auteurs : Jesse Berwouts ; Hervé Avalosse Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 34-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Séjour en maternité santé néonatale réadmission inégalités sociales de santé risque de santé étude quantitative précarité sociale Précarité : familles Intervention majoré Inégalités sociales de santé -- Belgique Résumé : Dans notre étude précédente, nous avons analysé le lien entre la politique de réduction du séjour en maternité et le risque de réadmission à l’hôpital des femmes et leurs nouveau-nés (Vandeleene & Avalosse, 2021c). Il en est ressorti que ce type de décision politique devrait tenir compte du fait que plusieurs facteurs peuvent influencer le risque de retourner à l’hôpital des nouveau-nés. Dans la présente étude, nous évaluons lesquels parmi ces facteurs ont une influence significative sur le risque de réadmission des nouveau-nés. Pour cela nous construisons un modèle de régression logistique multiniveau, afin d’identifier les effets de facteurs tels que le statut de Bénéficiaire de l’Intervention Majorée (BIM) et la durée du séjour en maternité, entre autres. Grâce à cette analyse, nous montrons que le risque de réadmission est en premier lieu déterminé socialement :
les nouveau-nés BIM sont plus à risque d’être réadmis, indépendamment des autres facteurs de risque. Si avant l’introduction de la politique de raccourcissement de la durée de séjour en maternité, un court séjour était associé à un risque plus élevé de réadmission, après la réforme en 2015, ce n’est plus le cas, en raison de la prise en charge plus systématique par un suivi postnatal. Nous constatons également que les différences de risque de
réadmission entre les hôpitaux sont négligeables. Les hôpitaux et les séjours écourtés en maternité ne semblent donc pas les principaux responsables des réadmissions, mais bien les inégalités sociales. Nous insistons sur le fait que pour les familles qui présentent un risque de précarité économique, il est important de s’assurer que la famille sera en mesure d’avoir des suivis prénatals et postnatals suffisants, grâce à, entre autres, un trajet de soins standardisé.En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/476b261a64650d41/original/Sante-Societe-n-5.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110204
in Santé & société [périodique électronique] > 5 (Avril 2023) . - p. 34-49[article] Les inégalités de santé commencent dès la naissance : Analyse quantitative des facteurs influençant le risque de réadmission des nouveau-nés à l’hôpital [texte imprimé] / Jesse Berwouts ; Hervé Avalosse . - 2023 . - p. 34-49.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 5 (Avril 2023) . - p. 34-49
Mots-clés : Séjour en maternité santé néonatale réadmission inégalités sociales de santé risque de santé étude quantitative précarité sociale Précarité : familles Intervention majoré Inégalités sociales de santé -- Belgique Résumé : Dans notre étude précédente, nous avons analysé le lien entre la politique de réduction du séjour en maternité et le risque de réadmission à l’hôpital des femmes et leurs nouveau-nés (Vandeleene & Avalosse, 2021c). Il en est ressorti que ce type de décision politique devrait tenir compte du fait que plusieurs facteurs peuvent influencer le risque de retourner à l’hôpital des nouveau-nés. Dans la présente étude, nous évaluons lesquels parmi ces facteurs ont une influence significative sur le risque de réadmission des nouveau-nés. Pour cela nous construisons un modèle de régression logistique multiniveau, afin d’identifier les effets de facteurs tels que le statut de Bénéficiaire de l’Intervention Majorée (BIM) et la durée du séjour en maternité, entre autres. Grâce à cette analyse, nous montrons que le risque de réadmission est en premier lieu déterminé socialement :
les nouveau-nés BIM sont plus à risque d’être réadmis, indépendamment des autres facteurs de risque. Si avant l’introduction de la politique de raccourcissement de la durée de séjour en maternité, un court séjour était associé à un risque plus élevé de réadmission, après la réforme en 2015, ce n’est plus le cas, en raison de la prise en charge plus systématique par un suivi postnatal. Nous constatons également que les différences de risque de
réadmission entre les hôpitaux sont négligeables. Les hôpitaux et les séjours écourtés en maternité ne semblent donc pas les principaux responsables des réadmissions, mais bien les inégalités sociales. Nous insistons sur le fait que pour les familles qui présentent un risque de précarité économique, il est important de s’assurer que la famille sera en mesure d’avoir des suivis prénatals et postnatals suffisants, grâce à, entre autres, un trajet de soins standardisé.En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/476b261a64650d41/original/Sante-Societe-n-5.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110204 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire