Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Patrick Dubrulle |
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Comportement rachidien du cavalier dans le modèle conatif de l'équitation / Patrick Dubrulle in Kinésithérapie scientifique, 653 (mai 2023)
[article]
Titre : Comportement rachidien du cavalier dans le modèle conatif de l'équitation Auteurs : Patrick Dubrulle Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 21-26 Langues : Français (fre) Mots-clés : Comportement rachidien Positionnement du cavalier sur la monture Musculation rachidienne postérieure Résumé : L'étude sur laquelle nous avons travaillé de 2011 à 2015, nous a amené à considérer l'apprentissage de l'équitation comme pouvant épouser le modèle conatif, cher à Bui-Xuan. De plus, il nous a été possible d'associer trois profils particuliers de cavaliers aux différentes phases de sa formation équestre. C'est ainsi qu'à chaque stade ou presque, correspond un type de sujet, qui présente une attitude particulière sur le cheval avec des schémas biomécaniques bien particuliers. Ainsi, le débutant durant les phases « émotionnelle » et « fonctionnelle » aura tendance à se replier sur lui-même, subissant ainsi le cheval, de peur de tomber.
Le cavalier confirmé aura dominé sa peur sans toutefois se libérer totalement et s'adapte aux mouvements du cheval en utilisant à l'excès sa mobilité pelvienne.
Enfin, l'expert au dernier stade, sera lui en position érigée sur sa monture, très fixe au niveau supérieur mais libre au niveau des membres inférieurs, ce qui imposera une surveillance de tous les instants sur le comportement de sa musculature rachidienne postérieure.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110540
in Kinésithérapie scientifique > 653 (mai 2023) . - p. 21-26[article] Comportement rachidien du cavalier dans le modèle conatif de l'équitation [] / Patrick Dubrulle . - 2023 . - p. 21-26.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 653 (mai 2023) . - p. 21-26
Mots-clés : Comportement rachidien Positionnement du cavalier sur la monture Musculation rachidienne postérieure Résumé : L'étude sur laquelle nous avons travaillé de 2011 à 2015, nous a amené à considérer l'apprentissage de l'équitation comme pouvant épouser le modèle conatif, cher à Bui-Xuan. De plus, il nous a été possible d'associer trois profils particuliers de cavaliers aux différentes phases de sa formation équestre. C'est ainsi qu'à chaque stade ou presque, correspond un type de sujet, qui présente une attitude particulière sur le cheval avec des schémas biomécaniques bien particuliers. Ainsi, le débutant durant les phases « émotionnelle » et « fonctionnelle » aura tendance à se replier sur lui-même, subissant ainsi le cheval, de peur de tomber.
Le cavalier confirmé aura dominé sa peur sans toutefois se libérer totalement et s'adapte aux mouvements du cheval en utilisant à l'excès sa mobilité pelvienne.
Enfin, l'expert au dernier stade, sera lui en position érigée sur sa monture, très fixe au niveau supérieur mais libre au niveau des membres inférieurs, ce qui imposera une surveillance de tous les instants sur le comportement de sa musculature rachidienne postérieure.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110540 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtUtilisation de l'outil scientifiquement valide dans l'expertise judiciaire kinésithérapique / Patrick Dubrulle in Kinésithérapie scientifique, 652 (Avril 2023)
[article]
Titre : Utilisation de l'outil scientifiquement valide dans l'expertise judiciaire kinésithérapique Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Dubrulle Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 13-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : EBP/ EBM expérience clinique analyse critique de la littérature Résumé : La capacité du masseur-kinésithérapeute à réaliser bilans et évaluations
fonctionnelles des plus précises, est maintenant actée ;
c’est pourquoi, depuis maintenant une quinzaine d’années, le
monde judiciaire a cherché à s’attacher ses services en l’intégrant
aux experts judiciaires inscrits sur la liste des Cours d’Appel.
L’évolution technologique fulgurante de ces dernières décennies
a eu pour conséquence le développement de techniques
d’analyse et d’enregistrement du mouvement d’une incroyable
précision (à 1° près) par rapport à la goniométrie classique dont
la variabilité (entre 5/10°) a toujours été pointée du doigt.
L’apparition des capteurs inertiels type MEMS (Micro Electronic
Mechanical System), a permis au rééducateur d’exceller dans le
domaine de l’analyse biomécanique fonctionnelle d’un individu,
ce qui est la base de toute procédure d’indemnisation du
préjudice corporel. Dès lors, le rapprochement du juriste et de
la science par l’intermédiaire du kinésithérapeute était effectif.
Mais fallait-il encore que cet outil scientifique soit fiable
et présente toutes les garanties de crédibilité et d’objectivité.
Cela passait nécessairement par la validation scientifique et sa
méthodologie rigoureuse. Rien ne pouvait être scientifiquement
mis en avant dans une expertise, sans un niveau de preuve suffisant.
Très vite, cela s’est avéré être une condition sine qua non
de l’utilisation de l’outil scientifique dans l’expertise judiciaire.
Mais ce n’était pas sans susciter de nombreuses interrogations :
qui de la science et du droit aurait la primauté sur l’autre, quand
bien même l’un l’emporterait sur l’autre ? La science peut-elle
influer le droit, au point de créer de nouvelles normes ? La
preuve scientifique issue des connaissances acquises en est-elle
une pour le juriste ? Toujours est-il que ce travail a permis, non
seulement d’établir l’impérieuse nécessité de n’utiliser l’outil
scientifique que s’il a préalablement été validé, mais a également,
à travers l’expertise en kinésithérapie, ouvert des pistes
de réflexions sur les relations parfois tumultueuses de la science
et du droit.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109989
in Kinésithérapie scientifique > 652 (Avril 2023) . - p. 13-18[article] Utilisation de l'outil scientifiquement valide dans l'expertise judiciaire kinésithérapique [texte imprimé] / Patrick Dubrulle . - 2023 . - p. 13-18.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 652 (Avril 2023) . - p. 13-18
Mots-clés : EBP/ EBM expérience clinique analyse critique de la littérature Résumé : La capacité du masseur-kinésithérapeute à réaliser bilans et évaluations
fonctionnelles des plus précises, est maintenant actée ;
c’est pourquoi, depuis maintenant une quinzaine d’années, le
monde judiciaire a cherché à s’attacher ses services en l’intégrant
aux experts judiciaires inscrits sur la liste des Cours d’Appel.
L’évolution technologique fulgurante de ces dernières décennies
a eu pour conséquence le développement de techniques
d’analyse et d’enregistrement du mouvement d’une incroyable
précision (à 1° près) par rapport à la goniométrie classique dont
la variabilité (entre 5/10°) a toujours été pointée du doigt.
L’apparition des capteurs inertiels type MEMS (Micro Electronic
Mechanical System), a permis au rééducateur d’exceller dans le
domaine de l’analyse biomécanique fonctionnelle d’un individu,
ce qui est la base de toute procédure d’indemnisation du
préjudice corporel. Dès lors, le rapprochement du juriste et de
la science par l’intermédiaire du kinésithérapeute était effectif.
Mais fallait-il encore que cet outil scientifique soit fiable
et présente toutes les garanties de crédibilité et d’objectivité.
Cela passait nécessairement par la validation scientifique et sa
méthodologie rigoureuse. Rien ne pouvait être scientifiquement
mis en avant dans une expertise, sans un niveau de preuve suffisant.
Très vite, cela s’est avéré être une condition sine qua non
de l’utilisation de l’outil scientifique dans l’expertise judiciaire.
Mais ce n’était pas sans susciter de nombreuses interrogations :
qui de la science et du droit aurait la primauté sur l’autre, quand
bien même l’un l’emporterait sur l’autre ? La science peut-elle
influer le droit, au point de créer de nouvelles normes ? La
preuve scientifique issue des connaissances acquises en est-elle
une pour le juriste ? Toujours est-il que ce travail a permis, non
seulement d’établir l’impérieuse nécessité de n’utiliser l’outil
scientifique que s’il a préalablement été validé, mais a également,
à travers l’expertise en kinésithérapie, ouvert des pistes
de réflexions sur les relations parfois tumultueuses de la science
et du droit.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109989 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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