Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Claire Deback |
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Intérêt de l'exploration de l'immunité cellulaire dans l'infection à cytomégalovirus par les tests IGRAs dans la prise en charge des patients transplantés d'organes solides / Aude Gleizes in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 546 (novembre 2022)
[article]
Titre : Intérêt de l'exploration de l'immunité cellulaire dans l'infection à cytomégalovirus par les tests IGRAs dans la prise en charge des patients transplantés d'organes solides Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Gleizes ; Clémentine Moulin ; Andrada Chiron ; Pascale Chrétien ; Claire Deback ; Salima Hacein-Bey-Abina Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 66-73 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00315-X Langues : Français (fre) Mots-clés : cytomégalovirus immuno-monitorage réponse cellulaire T test IGRAs transplantation Résumé : L’infection à cytomégalovirus (CMV) représente la complication infectieuse la plus fréquente en transplantation d’organes solides pour laquelle le risque est à l’heure actuelle essentiellement stratifié en fonction du statut sérologique anti-CMV du receveur (R) et du donneur (D) avant greffe. Le traitement antiviral se décline selon deux options stratégiques guidées par le statut D/R, la prophylaxie universelle ou la thérapie préemptive. L’immunité cellulaire médiée par les lymphocytes T CD8 et CD4 constituant le mécanisme majeur de la réponse immune anti- CMV, différents tests IGRAs (IFN-γ Release Assays) ont été développés : le test Elisa, QuantiFERON®-CMV et les tests ELIspot :T-Spot® CMV et T-Track® CMV. Ces analyses sont basées sur la mesure de la sécrétion d’IFN-γ par les lymphocytes T effecteurs mémoire spécifiques après leur stimulation par les peptides CMV Cette revue de la littérature présente l’intérêt des tests IGRAs, en complément des données du statut sérologique, pour une meilleure stratification des patients à risque de développer une infection sévère à CMV Elle aborde également la valeur ajoutée du suivi cinétique du contrôle de la réplication virale par les effecteurs T pour l’optimisation de la prise en charge thérapeutique antivirale au cours de la surveillance post-transplantation en complément des données virologiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106643
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 546 (novembre 2022) . - p. 66-73[article] Intérêt de l'exploration de l'immunité cellulaire dans l'infection à cytomégalovirus par les tests IGRAs dans la prise en charge des patients transplantés d'organes solides [texte imprimé] / Aude Gleizes ; Clémentine Moulin ; Andrada Chiron ; Pascale Chrétien ; Claire Deback ; Salima Hacein-Bey-Abina . - 2022 . - p. 66-73.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00315-X
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 546 (novembre 2022) . - p. 66-73
Mots-clés : cytomégalovirus immuno-monitorage réponse cellulaire T test IGRAs transplantation Résumé : L’infection à cytomégalovirus (CMV) représente la complication infectieuse la plus fréquente en transplantation d’organes solides pour laquelle le risque est à l’heure actuelle essentiellement stratifié en fonction du statut sérologique anti-CMV du receveur (R) et du donneur (D) avant greffe. Le traitement antiviral se décline selon deux options stratégiques guidées par le statut D/R, la prophylaxie universelle ou la thérapie préemptive. L’immunité cellulaire médiée par les lymphocytes T CD8 et CD4 constituant le mécanisme majeur de la réponse immune anti- CMV, différents tests IGRAs (IFN-γ Release Assays) ont été développés : le test Elisa, QuantiFERON®-CMV et les tests ELIspot :T-Spot® CMV et T-Track® CMV. Ces analyses sont basées sur la mesure de la sécrétion d’IFN-γ par les lymphocytes T effecteurs mémoire spécifiques après leur stimulation par les peptides CMV Cette revue de la littérature présente l’intérêt des tests IGRAs, en complément des données du statut sérologique, pour une meilleure stratification des patients à risque de développer une infection sévère à CMV Elle aborde également la valeur ajoutée du suivi cinétique du contrôle de la réplication virale par les effecteurs T pour l’optimisation de la prise en charge thérapeutique antivirale au cours de la surveillance post-transplantation en complément des données virologiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106643 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleDe la variole du singe à la Mpox ou la réémergence d’une ancienne zoonose / Sébastien Hantz in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 553 (juin 2023)
[article]
Titre : De la variole du singe à la Mpox ou la réémergence d’une ancienne zoonose Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Hantz ; Sarah Mafi ; Pauline Pinet ; Claire Deback Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 25-37 Note générale : https://doi.org/ Langues : Français (fre) Mots-clés : Mpox tecovirimat vaccination variole Virus Monkeypox Résumé : La variole du singe est une maladie zoonotique causée par le virus Monkeypox (MPXV) du genre orthopoxvirus. Les premiers cas humains sont apparus en Afrique dans les années 1970 et sont longtemps restés cantonnés au continent africain jusqu’en 2003, où plusieurs dizaines de cas sont survenus aux États-Unis suite à une contamination par des chiens de prairie. Des événements de transmission sans précédent ont conduit à plus de 80 000 cas signalés dans le monde entre mai 2022 et février 2023, touchant essentiellement les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes. L’évolution de l’épidémiologie de la Mpox a suscité des inquiétudes quant à sa capacité à devenir endémique au-delà de ses zones géographiques traditionnelles. Le diagnostic de confirmation repose sur la détection directe par biologie moléculaire. L’administration d’une vaccination antivariolique en pré- ou post-exposition a été déployée à large échelle au début de l’été 2022 pour limiter la diffusion de la maladie. En cas de forme graves, l’utilisation d’antiviraux peut être envisagée, seul le técovirimat étant recommandé dans cette indication. L’épidémie actuelle a le mérite de rappeler qu’une maladie jusqu’alors confinée aux régions de circulation initiale du virus peut se propager rapidement sur d’autres continents et la nécessité de la mise en œuvre permanente d’outils de surveillance globale et de contrôle des maladies transmissibles. Note de contenu : Issu du dossier "Biologie pluridisciplinaire" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111589
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 553 (juin 2023) . - p. 25-37[article] De la variole du singe à la Mpox ou la réémergence d’une ancienne zoonose [texte imprimé] / Sébastien Hantz ; Sarah Mafi ; Pauline Pinet ; Claire Deback . - 2023 . - p. 25-37.
https://doi.org/
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 553 (juin 2023) . - p. 25-37
Mots-clés : Mpox tecovirimat vaccination variole Virus Monkeypox Résumé : La variole du singe est une maladie zoonotique causée par le virus Monkeypox (MPXV) du genre orthopoxvirus. Les premiers cas humains sont apparus en Afrique dans les années 1970 et sont longtemps restés cantonnés au continent africain jusqu’en 2003, où plusieurs dizaines de cas sont survenus aux États-Unis suite à une contamination par des chiens de prairie. Des événements de transmission sans précédent ont conduit à plus de 80 000 cas signalés dans le monde entre mai 2022 et février 2023, touchant essentiellement les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes. L’évolution de l’épidémiologie de la Mpox a suscité des inquiétudes quant à sa capacité à devenir endémique au-delà de ses zones géographiques traditionnelles. Le diagnostic de confirmation repose sur la détection directe par biologie moléculaire. L’administration d’une vaccination antivariolique en pré- ou post-exposition a été déployée à large échelle au début de l’été 2022 pour limiter la diffusion de la maladie. En cas de forme graves, l’utilisation d’antiviraux peut être envisagée, seul le técovirimat étant recommandé dans cette indication. L’épidémie actuelle a le mérite de rappeler qu’une maladie jusqu’alors confinée aux régions de circulation initiale du virus peut se propager rapidement sur d’autres continents et la nécessité de la mise en œuvre permanente d’outils de surveillance globale et de contrôle des maladies transmissibles. Note de contenu : Issu du dossier "Biologie pluridisciplinaire" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111589 Réservation
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