Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Alexandra Vasquez d’Almeida |
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Suicide et sorties de scène Vivre comme un condamné à mort / Alexandra Vasquez d’Almeida in Les Cahiers dynamiques, 80 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Suicide et sorties de scène Vivre comme un condamné à mort Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandra Vasquez d’Almeida Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 46-53 Note générale : Issu du dossier "Accompagner les victimes de traumatismes" Langues : Français (fre) Mots-clés : Suicide -- Aspect psychologique Suicide : proche Traumatisme psychologique Résumé : Comment pouvons-nous énoncer la mort sans dénoncer quelque chose de l’ordre de la vie ? Le dérèglement pulsionnel est mis en évidence. Énoncer la mort, implique le sujet, l’acte de commencement et sa fin. Énoncer la mort est donc un travail d’écriture. L’acte est pris comme signature et le corps comme lieu d’écriture. D’un point de vue psychanalytique, ma réflexion se structure autour des paradoxes du suicide dans son rapport à l’inconscient, à l’économie psychique, à la jouissance et au discours familial comme destin du sujet. Les situations cliniques démontrent combien le fantasme de suicide est présent comme articulation de la scène inconsciente. Avec ou sans passage à l’acte, ces sujets sont happés par une idée de mort imminente, une injonction de mort qui marque l’arrêt de vie. Cette poussée conduit au passage à l’acte, comme une sentence de mort qui barre le présent. Nous partons du postulat que la problématique du suicide constituerait d’une part, un paradoxe existentiel, disparaître pour mieux exister ; d’autre part, une inscription inconsciente dans la filiation. Note de contenu : Un avenir barré
Se suicider : soi contre soi
Le rien comme signifiant de la mort
Raptus suicidaire
Le paradoxe de la jouissance
Sortie de scènePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106500
in Les Cahiers dynamiques > 80 (Novembre 2022) . - p. 46-53[article] Suicide et sorties de scène Vivre comme un condamné à mort [texte imprimé] / Alexandra Vasquez d’Almeida . - 2022 . - p. 46-53.
Issu du dossier "Accompagner les victimes de traumatismes"
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 80 (Novembre 2022) . - p. 46-53
Mots-clés : Suicide -- Aspect psychologique Suicide : proche Traumatisme psychologique Résumé : Comment pouvons-nous énoncer la mort sans dénoncer quelque chose de l’ordre de la vie ? Le dérèglement pulsionnel est mis en évidence. Énoncer la mort, implique le sujet, l’acte de commencement et sa fin. Énoncer la mort est donc un travail d’écriture. L’acte est pris comme signature et le corps comme lieu d’écriture. D’un point de vue psychanalytique, ma réflexion se structure autour des paradoxes du suicide dans son rapport à l’inconscient, à l’économie psychique, à la jouissance et au discours familial comme destin du sujet. Les situations cliniques démontrent combien le fantasme de suicide est présent comme articulation de la scène inconsciente. Avec ou sans passage à l’acte, ces sujets sont happés par une idée de mort imminente, une injonction de mort qui marque l’arrêt de vie. Cette poussée conduit au passage à l’acte, comme une sentence de mort qui barre le présent. Nous partons du postulat que la problématique du suicide constituerait d’une part, un paradoxe existentiel, disparaître pour mieux exister ; d’autre part, une inscription inconsciente dans la filiation. Note de contenu : Un avenir barré
Se suicider : soi contre soi
Le rien comme signifiant de la mort
Raptus suicidaire
Le paradoxe de la jouissance
Sortie de scènePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106500 Exemplaires (1)
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