"La confiance en soi numérique est une question genrée" / Anne Fontinoy in Politique, 120 (Septembre 2022)

Public ISBD [article]  inPolitique > 120 (Septembre 2022) . - p. 77-81 Titre : "La confiance en soi numérique est une question genrée" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Fontinoy, Personne interviewée ; Sandy Simoni, Personne interviewée ; Camille Wernaers, Intervieweur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 77-81 Note générale : Issu du dossier "Le pouvoir des écrans" Langues : Français (fre) Mots-clés : Administration électronique  Covid-19  Femmes victimes de violence  Femmes victimes de violence -- Protection, assistance, etc  Femmes -- Droits  Femmes -- Santé mentale  Femmes pauvres  Fracture numérique  Patriarcat (sociologie)  Victimes -- Protection, assistance, etc. Résumé : "Vie féminine est une association féministe d'éducation permanente, présente à Bruxelles et en Wallonie. Les animatrices sont en contact direct avec des femmes précarisées et parfois victimes de violences. Lors du confinement, les travailleuses ont dû faire appel à leur créativité pour maintenir ce lien fragile entre les femmes. La fracture numérique et le manque de confiance en soi face aux nouvelles technologies ont représenté des obstacles majeurs." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105823 [article] "La confiance en soi numérique est une question genrée" [texte imprimé] / Anne Fontinoy, Personne interviewée ; Sandy Simoni, Personne interviewée ; Camille Wernaers, Intervieweur . - 2022 . - p. 77-81. Issu du dossier "Le pouvoir des écrans" Langues : Français (fre) in Politique > 120 (Septembre 2022) . - p. 77-81 Mots-clés : Administration électronique  Covid-19  Femmes victimes de violence  Femmes victimes de violence -- Protection, assistance, etc  Femmes -- Droits  Femmes -- Santé mentale  Femmes pauvres  Fracture numérique  Patriarcat (sociologie)  Victimes -- Protection, assistance, etc. Résumé : "Vie féminine est une association féministe d'éducation permanente, présente à Bruxelles et en Wallonie. Les animatrices sont en contact direct avec des femmes précarisées et parfois victimes de violences. Lors du confinement, les travailleuses ont dû faire appel à leur créativité pour maintenir ce lien fragile entre les femmes. La fracture numérique et le manque de confiance en soi face aux nouvelles technologies ont représenté des obstacles majeurs." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105823

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