Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur A.H. Dewolf |
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Activité musculaire au cours de la marche normale / P.-A. Willems in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.37 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Activité musculaire au cours de la marche normale Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Willems ; B. Schepens ; C. Detrembleur ; A.H. Dewolf Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-007-B-80 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Locomotion Marche Électromyographie Activité musculaire Synergie musculaire Résumé : Bien qu'elle implique aussi des mouvements de la partie supérieure du corps, la marche est essentiellement assurée par les mouvements du bassin et des membres inférieurs. Cette activité complexe met en jeu de nombreux muscles dont l'action est coordonnée par le système nerveux central (SNC). En pathologie, cette coordination peut être perturbée pour différentes raisons (altération de la commande motrice, manque de mobilité, douleur, etc.). Pour le kinésithérapeute, il est donc important de pouvoir détecter ces anomalies et d'en connaître leur(s) cause(s). La marche est un mouvement trop rapide et trop subtil pour pouvoir être examiné par la simple observation. C'est pourquoi, il est nécessaire de recourir à l'électromyographie (EMG) pour analyser l'activité des différents muscles au cours du cycle de marche. En effet, lorsqu'ils s'activent, les muscles vont générer un signal électrique qui va pouvoir être détecté par des électrodes appliquées sur (ou sous) la peau. Dans ce chapitre, nous évoquerons l'origine du signal EMG. Nous décrirons ensuite l'activité des principaux groupes musculaires du membre inférieur lors de la marche à vitesse intermédiaire. Nous terminerons en abordant le problème de la coordination musculaire. En effet, plusieurs dizaines de muscles interviennent à des moments précis du cycle de marche pour engendrer un mouvement harmonieux ne nécessitant pas une dépense énergétique démesurée. En principe, le SNC pourrait contrôler l'activité de chaque muscle individuellement. Dans ce cas, le contrôle moteur serait fractionné et difficile à implémenter. Il semble que le SNC ait résolu le problème d'une façon plus appropriée en créant des synergies entre les groupes musculaires. Cet article est le second d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le premier, nous analysons les mouvements des segments des membres inférieurs. Le dernier article est consacré à la mécanique et à l'énergétique de la marche normale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118672
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-80 [Tome 1][article] Activité musculaire au cours de la marche normale [texte imprimé] / P.-A. Willems ; B. Schepens ; C. Detrembleur ; A.H. Dewolf . - 2024 . - p. 26-007-B-80 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-80 [Tome 1]
Mots-clés : Locomotion Marche Électromyographie Activité musculaire Synergie musculaire Résumé : Bien qu'elle implique aussi des mouvements de la partie supérieure du corps, la marche est essentiellement assurée par les mouvements du bassin et des membres inférieurs. Cette activité complexe met en jeu de nombreux muscles dont l'action est coordonnée par le système nerveux central (SNC). En pathologie, cette coordination peut être perturbée pour différentes raisons (altération de la commande motrice, manque de mobilité, douleur, etc.). Pour le kinésithérapeute, il est donc important de pouvoir détecter ces anomalies et d'en connaître leur(s) cause(s). La marche est un mouvement trop rapide et trop subtil pour pouvoir être examiné par la simple observation. C'est pourquoi, il est nécessaire de recourir à l'électromyographie (EMG) pour analyser l'activité des différents muscles au cours du cycle de marche. En effet, lorsqu'ils s'activent, les muscles vont générer un signal électrique qui va pouvoir être détecté par des électrodes appliquées sur (ou sous) la peau. Dans ce chapitre, nous évoquerons l'origine du signal EMG. Nous décrirons ensuite l'activité des principaux groupes musculaires du membre inférieur lors de la marche à vitesse intermédiaire. Nous terminerons en abordant le problème de la coordination musculaire. En effet, plusieurs dizaines de muscles interviennent à des moments précis du cycle de marche pour engendrer un mouvement harmonieux ne nécessitant pas une dépense énergétique démesurée. En principe, le SNC pourrait contrôler l'activité de chaque muscle individuellement. Dans ce cas, le contrôle moteur serait fractionné et difficile à implémenter. Il semble que le SNC ait résolu le problème d'une façon plus appropriée en créant des synergies entre les groupes musculaires. Cet article est le second d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le premier, nous analysons les mouvements des segments des membres inférieurs. Le dernier article est consacré à la mécanique et à l'énergétique de la marche normale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118672 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L’effet d’une augmentation de la fréquence de pas sur l’économie de course et sur des facteurs de risque de blessure durant la course en descente / A.H. Dewolf in Science & sports, Vol.36 N°5-6 (Septembre - Octobre 2022)
[article]
Titre : L’effet d’une augmentation de la fréquence de pas sur l’économie de course et sur des facteurs de risque de blessure durant la course en descente Type de document : texte imprimé Auteurs : A.H. Dewolf ; R.M. Mesquita ; D. De Jaeger Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 446-453 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.scispo.2021.07.010 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antéversion Fréquence de pas Pente Course à pied Blessure Lombo-pelvienne Résumé : Objectifs
Les blessures de la région lombo-pelvienne chez les coureurs à pied sont souvent invalidante et entravent sur de longues périodes la pratique du sport. Différents facteurs ont étés mis en lien avec l’apparition de blessures, par exemple l’amplitude de l’antéversion du bassin et des impacts répétitifs avec le sol. Lors d’une course en descente, la longueur des pas est plus longue, ce qui se traduit par une plus grande amplitude de mouvement des articulations, et la vitesse verticale au contact du sol est plus importante. Par conséquent, les risques de blessures de la région lombo-pelvienne pourraient être plus importants que lors d’une course sur sol plat. Pour aider à prévenir de telles blessures, nous suggérons que, tant lors de la course sur sol plat qu’en descente, l’augmentation de la fréquence de pas peut être un moyen efficace de réduire l’impact avec le sol et l’antérieure maximale, sans affecter la consommation d’oxygène.
Méthodes
Nous avons analysé 10 sujets inexpérimentés à leur fréquence préférée et à +10 % de cette fréquence pendant la course sur sol plat et en descente. La consommation d’oxygène, ainsi que la cinématique et la cinétique de la course ont été enregistrées.
Résultats
Nos résultats montrent que lorsque la fréquence est augmentée de 10 %, aussi bien en descente qu’à plat, la consommation d’oxygène et la cinétique de la course ne sont pas modifiées. En revanche, l’antérieure maximale du bassin est considérablement réduite lorsque la fréquence des pas augmente.
Conclusion
Pour les coureurs inexpérimentés, ces résultats montrent que l’augmentation de la fréquence des pas peut en partie réduire l’antéversion maximale, sans influencer significativement leur économie de course.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105690
in Science & sports > Vol.36 N°5-6 (Septembre - Octobre 2022) . - p. 446-453[article] L’effet d’une augmentation de la fréquence de pas sur l’économie de course et sur des facteurs de risque de blessure durant la course en descente [texte imprimé] / A.H. Dewolf ; R.M. Mesquita ; D. De Jaeger . - 2022 . - p. 446-453.
https://doi.org/10.1016/j.scispo.2021.07.010
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.36 N°5-6 (Septembre - Octobre 2022) . - p. 446-453
Mots-clés : Antéversion Fréquence de pas Pente Course à pied Blessure Lombo-pelvienne Résumé : Objectifs
Les blessures de la région lombo-pelvienne chez les coureurs à pied sont souvent invalidante et entravent sur de longues périodes la pratique du sport. Différents facteurs ont étés mis en lien avec l’apparition de blessures, par exemple l’amplitude de l’antéversion du bassin et des impacts répétitifs avec le sol. Lors d’une course en descente, la longueur des pas est plus longue, ce qui se traduit par une plus grande amplitude de mouvement des articulations, et la vitesse verticale au contact du sol est plus importante. Par conséquent, les risques de blessures de la région lombo-pelvienne pourraient être plus importants que lors d’une course sur sol plat. Pour aider à prévenir de telles blessures, nous suggérons que, tant lors de la course sur sol plat qu’en descente, l’augmentation de la fréquence de pas peut être un moyen efficace de réduire l’impact avec le sol et l’antérieure maximale, sans affecter la consommation d’oxygène.
Méthodes
Nous avons analysé 10 sujets inexpérimentés à leur fréquence préférée et à +10 % de cette fréquence pendant la course sur sol plat et en descente. La consommation d’oxygène, ainsi que la cinématique et la cinétique de la course ont été enregistrées.
Résultats
Nos résultats montrent que lorsque la fréquence est augmentée de 10 %, aussi bien en descente qu’à plat, la consommation d’oxygène et la cinétique de la course ne sont pas modifiées. En revanche, l’antérieure maximale du bassin est considérablement réduite lorsque la fréquence des pas augmente.
Conclusion
Pour les coureurs inexpérimentés, ces résultats montrent que l’augmentation de la fréquence des pas peut en partie réduire l’antéversion maximale, sans influencer significativement leur économie de course.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105690 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMécanique et énergétique de la marche normale / P.-A. Willems in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.37 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Mécanique et énergétique de la marche normale Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Willems ; C. Detrembleur ; B. Schepens ; A.H. Dewolf Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-007-B-85 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Marche Dépense énergétique Mécanique Travail interne Travail externe Rendement musculaire Résumé : Pour les personnes ne souffrant d'aucune pathologie, la marche à vitesse intermédiaire (4-5 km h-1) est une activité requérant un effort modéré. En revanche, pour les personnes souffrant de pathologies locomotrice, nerveuse, cardiaque et/ou pulmonaire, cette activité peut nécessiter un effort important. Dans ce cas, la vitesse de progression est souvent réduite à moins de 2 km h-1. Lors de la rééducation, le kinésithérapeute doit pouvoir estimer l'effort musculaire que son patient réalise (mécanique) et la quantité d'énergie chimique qu'il dépense (énergétique) durant la marche. La méthode la plus utilisée pour estimer la consommation d'énergie chimique est la calorimétrie indirecte. Il existe plusieurs méthodes pour estimer le travail musculaire. La méthode que nous proposons, ici, divise le travail musculaire en travail externe (Wext) et travail interne (Wint). L'étude du Wext a permis l'identification des deux mécanismes fondamentaux de la locomotion humaine : le modèle pendulaire de la marche et le modèle de rebond de la course. Aucun de ces deux mécanismes n'apparaît aussi clairement avec les autres méthodes. Nous montrerons ensuite comment la coordination des mouvements des segments du membre inférieur permettent de lisser la trajectoire du bassin, afin de réduire les variations d'énergie cinétique et potentielle du centre de masse corporel et, par conséquent, le coût énergétique de la marche. Nous verrons également que le mécanisme pendulaire permet de réduire le Wext. Nous évaluerons ensuite la quantité de travail musculaire, de même que l'énergie métabolique consommée aux différentes vitesses de marche. Cet article est le dernier d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le premier, nous analysons les mouvements des segments des membres inférieurs. Le second est consacré à l'activité musculaire au niveau des membres inférieurs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118673
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-85 [Tome 1][article] Mécanique et énergétique de la marche normale [texte imprimé] / P.-A. Willems ; C. Detrembleur ; B. Schepens ; A.H. Dewolf . - 2024 . - p. 26-007-B-85 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.37 N°3 (Juillet 2024) . - p. 26-007-B-85 [Tome 1]
Mots-clés : Marche Dépense énergétique Mécanique Travail interne Travail externe Rendement musculaire Résumé : Pour les personnes ne souffrant d'aucune pathologie, la marche à vitesse intermédiaire (4-5 km h-1) est une activité requérant un effort modéré. En revanche, pour les personnes souffrant de pathologies locomotrice, nerveuse, cardiaque et/ou pulmonaire, cette activité peut nécessiter un effort important. Dans ce cas, la vitesse de progression est souvent réduite à moins de 2 km h-1. Lors de la rééducation, le kinésithérapeute doit pouvoir estimer l'effort musculaire que son patient réalise (mécanique) et la quantité d'énergie chimique qu'il dépense (énergétique) durant la marche. La méthode la plus utilisée pour estimer la consommation d'énergie chimique est la calorimétrie indirecte. Il existe plusieurs méthodes pour estimer le travail musculaire. La méthode que nous proposons, ici, divise le travail musculaire en travail externe (Wext) et travail interne (Wint). L'étude du Wext a permis l'identification des deux mécanismes fondamentaux de la locomotion humaine : le modèle pendulaire de la marche et le modèle de rebond de la course. Aucun de ces deux mécanismes n'apparaît aussi clairement avec les autres méthodes. Nous montrerons ensuite comment la coordination des mouvements des segments du membre inférieur permettent de lisser la trajectoire du bassin, afin de réduire les variations d'énergie cinétique et potentielle du centre de masse corporel et, par conséquent, le coût énergétique de la marche. Nous verrons également que le mécanisme pendulaire permet de réduire le Wext. Nous évaluerons ensuite la quantité de travail musculaire, de même que l'énergie métabolique consommée aux différentes vitesses de marche. Cet article est le dernier d'une série de trois consacrés à la marche normale. Dans le premier, nous analysons les mouvements des segments des membres inférieurs. Le second est consacré à l'activité musculaire au niveau des membres inférieurs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118673 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire