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Auteur Sophie Melicine |
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Comparaison de méthode entre deux analyseurs d’hémostase : STA R Max3 et Cobas t 511 / Sophie Melicine in Annales de Biologie Clinique, Vol.82 N°4 (Juillet-août 2024)
[article]
Titre : Comparaison de méthode entre deux analyseurs d’hémostase : STA R Max3 et Cobas t 511 Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Melicine ; Nazanine Bayani ; Juliette Vo Xuan ; Maeva Deleray ; Rym Chouk ; Rita Creidy ; Bassem Khazem Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 387-403 Note générale : DOI : 10.1684/abc.2024.1904 Langues : Français (fre) Mots-clés : D-dimères Facteur II Facteur V Fibrinogène Taux de prothrombine Résumé : Le STA R Max3 (Stago, France) et le Cobas t 511 (Roche Diagnostics, Allemagne) sont deux analyseurs d’hémostase automatisés permettant de réaliser un vaste panel d’examens. Pour la mesure des temps de coagulation, le STA R Max3 dispose d’un système de détection mécanique du caillot tandis que le Cobas t 511utilise une détection optique. L’objectif de cette étude est de comparer les performances analytiques des deux analyseurs à partir d’échantillons plasmatiques présentant ou non un risque d’interférence lié au caractère hémolysé ou lipémique du plasma. Pour les échantillons plasmatiques sans interférence, des concordances acceptables ont été observées pour le taux de prothrombine (TP) (n = 55), le temps de céphaline avec activateur (TCA) (n = 56), le fibrinogène (n = 56) et le facteur II (n = 43) avec des R² respectifs de 0,907, 0,963, 0,979 et 0,968. Concernant le facteur V (n = 43) et les D-dimères (n = 45), les concordances étaient moins acceptables avec des R² respectifs de 0,756 et 0,887 mais sans impact clinique. Concernant les échantillons hémolysés, des résultats acceptables ont été observés pour le TP, le fibrinogène et les D-dimères, en revanche trois résultats étaient cliniquement discordants concernant le TCA et le STA R Max3 offrait une meilleure robustesse pour le traitement des échantillons fortement lipémiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121396
in Annales de Biologie Clinique > Vol.82 N°4 (Juillet-août 2024) . - p. 387-403[article] Comparaison de méthode entre deux analyseurs d’hémostase : STA R Max3 et Cobas t 511 [texte imprimé] / Sophie Melicine ; Nazanine Bayani ; Juliette Vo Xuan ; Maeva Deleray ; Rym Chouk ; Rita Creidy ; Bassem Khazem . - 2024 . - p. 387-403.
DOI : 10.1684/abc.2024.1904
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.82 N°4 (Juillet-août 2024) . - p. 387-403
Mots-clés : D-dimères Facteur II Facteur V Fibrinogène Taux de prothrombine Résumé : Le STA R Max3 (Stago, France) et le Cobas t 511 (Roche Diagnostics, Allemagne) sont deux analyseurs d’hémostase automatisés permettant de réaliser un vaste panel d’examens. Pour la mesure des temps de coagulation, le STA R Max3 dispose d’un système de détection mécanique du caillot tandis que le Cobas t 511utilise une détection optique. L’objectif de cette étude est de comparer les performances analytiques des deux analyseurs à partir d’échantillons plasmatiques présentant ou non un risque d’interférence lié au caractère hémolysé ou lipémique du plasma. Pour les échantillons plasmatiques sans interférence, des concordances acceptables ont été observées pour le taux de prothrombine (TP) (n = 55), le temps de céphaline avec activateur (TCA) (n = 56), le fibrinogène (n = 56) et le facteur II (n = 43) avec des R² respectifs de 0,907, 0,963, 0,979 et 0,968. Concernant le facteur V (n = 43) et les D-dimères (n = 45), les concordances étaient moins acceptables avec des R² respectifs de 0,756 et 0,887 mais sans impact clinique. Concernant les échantillons hémolysés, des résultats acceptables ont été observés pour le TP, le fibrinogène et les D-dimères, en revanche trois résultats étaient cliniquement discordants concernant le TCA et le STA R Max3 offrait une meilleure robustesse pour le traitement des échantillons fortement lipémiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121396 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleDétection des anticorps antiphospholipides / Sophie Melicine in Annales de Biologie Clinique, Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022)
[article]
Titre : Détection des anticorps antiphospholipides : actualités en 2022 Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Melicine ; Nicolas Gendron ; Luc Darnige ; Laetitia Mauge Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 333-343 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2022.1745 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anticorps antiphospholipides anticorps anti-phosphatidylsérine/prothrombine SAPL Résumé : Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) est une entité clinico-biologique définie par l’association de manifestations thrombotiques et/ou de complications obstétricales et la présence persistante d’anticorps antiphospholipides (aPLs) détectés par des tests de coagulation (lupus anticoagulant, LA) et/ou par des tests immunologiques (anticorps anti-cardiolipine et anticorps anti-β2-glycoprotéine-I). L’essor des anticoagulants oraux directs (AOD) dans la prise en charge des évènements thrombotiques veineux (ETV) constitue aujourd’hui un défi pour les laboratoires d’hémostase dans le cadre du diagnostic du SAPL. Les AOD interfèrent avec les tests de dépistage et de confirmation du LA occasionnant des faux positifs. Afin de se soustraire à ces interférences plusieurs solutions sont proposées. Certaines reposent sur l’utilisation de système neutralisant l’AOD (pastille de charbon activé, système de filtre) d’autres sur l’utilisation de réactifs insensibles à la présence d’AOD. On peut également faire appel aux anticorps anti-phosphatidylsérine/prothrombine très corrélés à la présence de LA et constituant un outil de plus en plus reconnu dans le diagnostic biologique du SAPL et son pronostic. Enfin, la positivité des aPLs dans un contexte infectieux est fréquente et non spécifique du SAPL. Au cours de la pandémie Covid-19, de nombreux patients ont présentés des ETV et artériels qui ont pu motiver la recherche d’aPLs. L’association entre LA et le risque d’ETV ou la mortalité hospitalière chez les patients Covid-19 hospitalisés n’a pas été démontrée. De plus, il ne semble pas qu’il y ait de persistance de ces aPLs après la Covid-19. A ce jour, la recherche d’aPLs chez les patients atteint de Covid-19 n’est pas recommandée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105663
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 333-343[article] Détection des anticorps antiphospholipides : actualités en 2022 [texte imprimé] / Sophie Melicine ; Nicolas Gendron ; Luc Darnige ; Laetitia Mauge . - 2022 . - p. 333-343.
https://doi.org/10.1684/abc.2022.1745
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 333-343
Mots-clés : Anticorps antiphospholipides anticorps anti-phosphatidylsérine/prothrombine SAPL Résumé : Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) est une entité clinico-biologique définie par l’association de manifestations thrombotiques et/ou de complications obstétricales et la présence persistante d’anticorps antiphospholipides (aPLs) détectés par des tests de coagulation (lupus anticoagulant, LA) et/ou par des tests immunologiques (anticorps anti-cardiolipine et anticorps anti-β2-glycoprotéine-I). L’essor des anticoagulants oraux directs (AOD) dans la prise en charge des évènements thrombotiques veineux (ETV) constitue aujourd’hui un défi pour les laboratoires d’hémostase dans le cadre du diagnostic du SAPL. Les AOD interfèrent avec les tests de dépistage et de confirmation du LA occasionnant des faux positifs. Afin de se soustraire à ces interférences plusieurs solutions sont proposées. Certaines reposent sur l’utilisation de système neutralisant l’AOD (pastille de charbon activé, système de filtre) d’autres sur l’utilisation de réactifs insensibles à la présence d’AOD. On peut également faire appel aux anticorps anti-phosphatidylsérine/prothrombine très corrélés à la présence de LA et constituant un outil de plus en plus reconnu dans le diagnostic biologique du SAPL et son pronostic. Enfin, la positivité des aPLs dans un contexte infectieux est fréquente et non spécifique du SAPL. Au cours de la pandémie Covid-19, de nombreux patients ont présentés des ETV et artériels qui ont pu motiver la recherche d’aPLs. L’association entre LA et le risque d’ETV ou la mortalité hospitalière chez les patients Covid-19 hospitalisés n’a pas été démontrée. De plus, il ne semble pas qu’il y ait de persistance de ces aPLs après la Covid-19. A ce jour, la recherche d’aPLs chez les patients atteint de Covid-19 n’est pas recommandée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105663 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleInterférence des anticoagulants oraux directs anti-Xa lors de la surveillance des traitements par héparine non-fractionnée / Sophie Melicine in Annales de Biologie Clinique, Vol.82 N°2 (Mars-avril 2024)
[article]
Titre : Interférence des anticoagulants oraux directs anti-Xa lors de la surveillance des traitements par héparine non-fractionnée : attitudes pratiques et à venir Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Melicine ; Laure Maucorps ; Valérie Eschwège ; Julie Carré ; Dominique Helley ; Isabelle Gouin-Thibault ; Nicolas Gendron ; Fabienne Nédélec-Gac ; Laetitia Mauge Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 129-138 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2024.1873 Langues : Français (fre) Mots-clés : activité-anti Xa AOD apixaban héparine rivaroxaban Résumé : Contrairement aux anticoagulants oraux directs (AOD), l’héparine non fractionnée (HNF) nécessite une surveillance biologique quotidienne lorsqu’elle est administrée à dose thérapeutique. Actuellement, la surveillance biologique de l’HNF est préférentiellement réalisée par la mesure de l’activité anti-Xa, toutefois, chez les patients initialement traités par un AOD anti-Xa bénéficiant d’un relais par HNF, il existe un risque important d’interférence de l’AOD avec la mesure de l’anti-Xa HNF. La présence d’AOD résiduel dans l’échantillon de façon concomitante à l’héparine peut conduire à une surestimation de l’activité anticoagulante de l’héparine et à une anticoagulation inadaptée. Ce risque d’interférence ne doit pas être négligé car il existe y compris lorsque la concentration d’AOD est inférieure au seuil de sécurité hémostatique et peut durer plusieurs jours. Afin de contourner cette problématique, plusieurs options existent et sont en cours d’évaluation. Cette synthèse fait le point sur les interférences des AOD anti-Xa et les différentes stratégies pour s’en affranchir. Cette thématique souligne également l’importance de la communication entre le biologiste médical et le clinicien sur les traitements anticoagulants reçus par les patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117690
in Annales de Biologie Clinique > Vol.82 N°2 (Mars-avril 2024) . - p. 129-138[article] Interférence des anticoagulants oraux directs anti-Xa lors de la surveillance des traitements par héparine non-fractionnée : attitudes pratiques et à venir [texte imprimé] / Sophie Melicine ; Laure Maucorps ; Valérie Eschwège ; Julie Carré ; Dominique Helley ; Isabelle Gouin-Thibault ; Nicolas Gendron ; Fabienne Nédélec-Gac ; Laetitia Mauge . - 2024 . - p. 129-138.
https://doi.org/10.1684/abc.2024.1873
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.82 N°2 (Mars-avril 2024) . - p. 129-138
Mots-clés : activité-anti Xa AOD apixaban héparine rivaroxaban Résumé : Contrairement aux anticoagulants oraux directs (AOD), l’héparine non fractionnée (HNF) nécessite une surveillance biologique quotidienne lorsqu’elle est administrée à dose thérapeutique. Actuellement, la surveillance biologique de l’HNF est préférentiellement réalisée par la mesure de l’activité anti-Xa, toutefois, chez les patients initialement traités par un AOD anti-Xa bénéficiant d’un relais par HNF, il existe un risque important d’interférence de l’AOD avec la mesure de l’anti-Xa HNF. La présence d’AOD résiduel dans l’échantillon de façon concomitante à l’héparine peut conduire à une surestimation de l’activité anticoagulante de l’héparine et à une anticoagulation inadaptée. Ce risque d’interférence ne doit pas être négligé car il existe y compris lorsque la concentration d’AOD est inférieure au seuil de sécurité hémostatique et peut durer plusieurs jours. Afin de contourner cette problématique, plusieurs options existent et sont en cours d’évaluation. Cette synthèse fait le point sur les interférences des AOD anti-Xa et les différentes stratégies pour s’en affranchir. Cette thématique souligne également l’importance de la communication entre le biologiste médical et le clinicien sur les traitements anticoagulants reçus par les patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117690 Réservation
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