Décision kinésithérapique : Hélène J. 74 ans. Retour dans son appartement du premier étage sans ascenseur après un AVC ischémique à Beyrouth / Roula Akawi in Kinésithérapie, la revue, 246 (juin 2022)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 246 (juin 2022) . - p. 38-42 Titre : Décision kinésithérapique : Hélène J. 74 ans. Retour dans son appartement du premier étage sans ascenseur après un AVC ischémique à Beyrouth Auteurs : Roula Akawi ; Kamalio Aoun ; Randy-Joe Badran ; Ramzi Doumani ; Pascal Breidy ; Nisrine Abdelnour-Lattouf Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 38-42 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.kine.2020.09.004 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémiparésie gauche  Séances de physiothérapie en ligne Résumé : Hélène J., âgée de 74 ans, a été admise en centre de rééducation gériatrique pour prise en charge d’une hémiparésie gauche avec aphasie, à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique droit le 31/03/2020. Une Fiche de Décision Kinésithérapique (FDK) a été élaborée, selon le modèle Tpro, trois semaines après l’AVC (Fig. 1), puis une deuxième FDK a été rédigée avant sa sortie du centre quatre semaines après son admission. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105285 [article] Décision kinésithérapique : Hélène J. 74 ans. Retour dans son appartement du premier étage sans ascenseur après un AVC ischémique à Beyrouth [] / Roula Akawi ; Kamalio Aoun ; Randy-Joe Badran ; Ramzi Doumani ; Pascal Breidy ; Nisrine Abdelnour-Lattouf . - 2022 . - p. 38-42. https://doi.org/10.1016/j.kine.2020.09.004 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 246 (juin 2022) . - p. 38-42 Mots-clés : Hémiparésie gauche  Séances de physiothérapie en ligne Résumé : Hélène J., âgée de 74 ans, a été admise en centre de rééducation gériatrique pour prise en charge d’une hémiparésie gauche avec aphasie, à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique droit le 31/03/2020. Une Fiche de Décision Kinésithérapique (FDK) a été élaborée, selon le modèle Tpro, trois semaines après l’AVC (Fig. 1), puis une deuxième FDK a été rédigée avant sa sortie du centre quatre semaines après son admission. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105285

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Prévalence et facteurs de risques des troubles musculo-squelettiques liés au travail chez les physiothérapeutes au Liban / Pascal El Braidy in Kinésithérapie, la revue, 246 (juin 2022)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 246 (juin 2022) . - p. 12-21 Titre : Prévalence et facteurs de risques des troubles musculo-squelettiques liés au travail chez les physiothérapeutes au Liban Auteurs : Pascal El Braidy ; Clara El-Khawand ; Christelle Korkomaz ; Remy Makdissy ; Roula Akawi ; Nisrine Abdelnour-Lattouf Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 12-21 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.kine.2021.10.006 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction Les troubles musculo-squelettiques sont fréquents chez les physiothérapeutes. Ils sont liés aux efforts physiques, émotionnels et mentaux de la profession. Cette étude visait à étudier la prévalence et la corrélation entre les facteurs de risques liés au travail et les régions corporelles atteintes chez les physiothérapeutes au Liban. Matériel et méthode Trois cents physiothérapeutes ont rempli un questionnaire relatif aux facteurs de risques, régions atteintes et stratégies adoptées. Résultats Parmi les répondants, 81 % ont été atteints d’au moins d’un trouble durant les 12 derniers mois ; 87,7 % d’entre eux ont continué à travailler en effectuant de l’auto-rééducation (78 %) comme stratégie principale. Les régions lombaires (60 %) et cervicales (58 %) étaient les plus affectées. Discussion Être une femme, être jeune physiothérapeute, être spécialisé dans un domaine, un matériel et un environnement inadaptés, certaines techniques et postures sont des facteurs de risques. Les facteurs psychologiques ne sont pas significativement associés à une région déterminée. Conclusion La prévalence des troubles musculo-squelettiques est élevée chez physiothérapeutes au Liban. Plusieurs facteurs de risques doivent être pris en considération. Les physiothérapeutes libanais se dirigent essentiellement vers des stratégies d’auto-rééducation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105282 [article] Prévalence et facteurs de risques des troubles musculo-squelettiques liés au travail chez les physiothérapeutes au Liban [] / Pascal El Braidy ; Clara El-Khawand ; Christelle Korkomaz ; Remy Makdissy ; Roula Akawi ; Nisrine Abdelnour-Lattouf . - 2022 . - p. 12-21. https://doi.org/10.1016/j.kine.2021.10.006 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 246 (juin 2022) . - p. 12-21 Résumé : Introduction Les troubles musculo-squelettiques sont fréquents chez les physiothérapeutes. Ils sont liés aux efforts physiques, émotionnels et mentaux de la profession. Cette étude visait à étudier la prévalence et la corrélation entre les facteurs de risques liés au travail et les régions corporelles atteintes chez les physiothérapeutes au Liban. Matériel et méthode Trois cents physiothérapeutes ont rempli un questionnaire relatif aux facteurs de risques, régions atteintes et stratégies adoptées. Résultats Parmi les répondants, 81 % ont été atteints d’au moins d’un trouble durant les 12 derniers mois ; 87,7 % d’entre eux ont continué à travailler en effectuant de l’auto-rééducation (78 %) comme stratégie principale. Les régions lombaires (60 %) et cervicales (58 %) étaient les plus affectées. Discussion Être une femme, être jeune physiothérapeute, être spécialisé dans un domaine, un matériel et un environnement inadaptés, certaines techniques et postures sont des facteurs de risques. Les facteurs psychologiques ne sont pas significativement associés à une région déterminée. Conclusion La prévalence des troubles musculo-squelettiques est élevée chez physiothérapeutes au Liban. Plusieurs facteurs de risques doivent être pris en considération. Les physiothérapeutes libanais se dirigent essentiellement vers des stratégies d’auto-rééducation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105282

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Relation entre port de chaussures à talons et lombalgie chez les femmes libanaises dont la profession nécessite une station debout prolongée / Roula Akawi in Kinésithérapie, la revue, 246 (juin 2022)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 246 (juin 2022) . - p. 32-37 Titre : Relation entre port de chaussures à talons et lombalgie chez les femmes libanaises dont la profession nécessite une station debout prolongée Auteurs : Roula Akawi ; Kamalio Aoun ; Randy-Joe Badran ; Ramzi Doumani ; Pascal Breidy ; Nisrine Abdelnour-Lattouf Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 32-37 Note générale : http://doi.org/10.1016/j.kine.2022.01.006 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperlordose Résumé : Introduction L’objectif de cette étude était d’évaluer la relation entre port de chaussures à talons et lombalgie chez les femmes libanaises dont la profession nécessite une station debout prolongée. Matériel et méthodes Un questionnaire en ligne a été réalisé au moyen de Surveymonkey .com et envoyé par WhatsApp du 10 avril au 7 mai 2019 à 237 femmes qui travaillaient dans des écoles, universités et agences de travail. Résultats Un total de 47 % des femmes qui ont répondu restaient debout en moyenne 6h par jour, 51,9 % portaient des chaussures à talons, 49,8 % étaient lombalgiques, 30 % gardaient leurs chaussures à talons malgré la douleur; 50,6 % portaient des talons de 1 à 4cm de hauteur; 50,2 % les portaient pour des raisons esthétiques. Discussion Dans la population étudiée, il n’y avait pas de relation statistiquement significative entre la lombalgie et le port de chaussures à talons, chaussures considérées comme plus élégantes. D’ailleurs la hauteur de talon conseillée est de 4cm pour relâcher la chaîne musculaire postérieure. Au-delà de 7cm, les blessures musculosquelettiques augmentent, ainsi que le risque de chute. Conclusion Il serait intéressant qu’une étude de corrélation plus poussée définisse mieux la relation entre types de chaussures à talons et lombalgie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105284 [article] Relation entre port de chaussures à talons et lombalgie chez les femmes libanaises dont la profession nécessite une station debout prolongée [] / Roula Akawi ; Kamalio Aoun ; Randy-Joe Badran ; Ramzi Doumani ; Pascal Breidy ; Nisrine Abdelnour-Lattouf . - 2022 . - p. 32-37. http://doi.org/10.1016/j.kine.2022.01.006 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 246 (juin 2022) . - p. 32-37 Mots-clés : Hyperlordose Résumé : Introduction L’objectif de cette étude était d’évaluer la relation entre port de chaussures à talons et lombalgie chez les femmes libanaises dont la profession nécessite une station debout prolongée. Matériel et méthodes Un questionnaire en ligne a été réalisé au moyen de Surveymonkey .com et envoyé par WhatsApp du 10 avril au 7 mai 2019 à 237 femmes qui travaillaient dans des écoles, universités et agences de travail. Résultats Un total de 47 % des femmes qui ont répondu restaient debout en moyenne 6h par jour, 51,9 % portaient des chaussures à talons, 49,8 % étaient lombalgiques, 30 % gardaient leurs chaussures à talons malgré la douleur; 50,6 % portaient des talons de 1 à 4cm de hauteur; 50,2 % les portaient pour des raisons esthétiques. Discussion Dans la population étudiée, il n’y avait pas de relation statistiquement significative entre la lombalgie et le port de chaussures à talons, chaussures considérées comme plus élégantes. D’ailleurs la hauteur de talon conseillée est de 4cm pour relâcher la chaîne musculaire postérieure. Au-delà de 7cm, les blessures musculosquelettiques augmentent, ainsi que le risque de chute. Conclusion Il serait intéressant qu’une étude de corrélation plus poussée définisse mieux la relation entre types de chaussures à talons et lombalgie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105284

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