Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
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Auteur Kevin-Marc Valery |
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Les soignants, source de stigmastisation ? ... / Kevin-Marc Valery in Santé mentale, 269 (juin 2022)
[article]
Titre : Les soignants, source de stigmastisation ? ... Auteurs : Kevin-Marc Valery ; Antoinette Prouteau ; J.-M. Destaillats Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-18 Langues : Français (fre) Résumé : En psychiatrie, et notamment concernant la schizophrénie, la stigmatisation véhiculée par les soignants reste un obstacle majeur au rétablissement. Le programme de recherche StigmaPro objective ces pratiques, afin d’élaborer une intervention « anti-stigma ».
La perception contemporaine de la stigmatisation en psychiatrie trouve ses racines dans les travaux du sociologue Erving Goffman. Après une immersion dans les établissements psychiatriques américains, il décrit dans son ouvrage Asiles. études sur la condition sociale des malades mentaux, les « institutions totales » et leurs processus de mortification, de dépersonnalisation ou encore d’aliénation (Goffman, 1961). Plus tard, partant de l’étymologie grecque stigma (marque physique d’infamie), il définit le stigmate comme « un attribut profondément discréditant et qui réduit son porteur d’une personne lambda entière à une personne entachée, déconsidérée » (Goffman, 1963, p. 3). Ainsi, si on considère qu’un individu a toujours plusieurs facettes (Untel est père, fils, homme, divorcé, de gauche, propriétaire, salarié, porteur d’une schizophrénie, beau, maigre…), la stigmatisation caractérise le processus par lequel on le réduit à une seule, par exemple la schizophrénie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104858
in Santé mentale > 269 (juin 2022) . - p. 14-18[article] Les soignants, source de stigmastisation ? ... [] / Kevin-Marc Valery ; Antoinette Prouteau ; J.-M. Destaillats . - 2022 . - p. 14-18.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 269 (juin 2022) . - p. 14-18
Résumé : En psychiatrie, et notamment concernant la schizophrénie, la stigmatisation véhiculée par les soignants reste un obstacle majeur au rétablissement. Le programme de recherche StigmaPro objective ces pratiques, afin d’élaborer une intervention « anti-stigma ».
La perception contemporaine de la stigmatisation en psychiatrie trouve ses racines dans les travaux du sociologue Erving Goffman. Après une immersion dans les établissements psychiatriques américains, il décrit dans son ouvrage Asiles. études sur la condition sociale des malades mentaux, les « institutions totales » et leurs processus de mortification, de dépersonnalisation ou encore d’aliénation (Goffman, 1961). Plus tard, partant de l’étymologie grecque stigma (marque physique d’infamie), il définit le stigmate comme « un attribut profondément discréditant et qui réduit son porteur d’une personne lambda entière à une personne entachée, déconsidérée » (Goffman, 1963, p. 3). Ainsi, si on considère qu’un individu a toujours plusieurs facettes (Untel est père, fils, homme, divorcé, de gauche, propriétaire, salarié, porteur d’une schizophrénie, beau, maigre…), la stigmatisation caractérise le processus par lequel on le réduit à une seule, par exemple la schizophrénie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104858 Exemplaires (1)
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