La traversée des ponts : Un séjour de suture / Amandine Caudrelier in Les Cahiers dynamiques, 79 (janvier 2022)

Public ISBD [article]  inLes Cahiers dynamiques > 79 (janvier 2022) . - p. 108-118 Titre : La traversée des ponts : Un séjour de suture Type de document : texte imprimé Auteurs : Amandine Caudrelier Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 108-118 Note générale : Issu du dossier "Traumatismes, résilience et désistance" Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescents -- Psychanalyse Résumé : Tout au long de ce voyage, le transport de l’esprit ne cesse de vaciller, vagabonder et de nous inspirer, nous guider vers nos propres contes et légendes qui se métamorphosent pour en devenir une mise en scène : notre histoire. En effet, les contes et les légendes bercent l’individu (l’enfant comme l’adulte), traversent le temps, voyagent dans l’espace et racontent une histoire, des histoires. Ils mettent en scène les expériences de la vie humaine comme la mort, l’amour, les conflits, la violence, la haine, la perte… avec un des moteurs les plus puissants : la quête de sens que l’on a choisi de dénommer sous le terme de l’Ody Aina (amulette de la vie). Cette quête résonne avec la rencontre de la souffrance à être, à exister chez nos jeunes. La création adolescente (Gutton) dans laquelle tourbillonne nos quatre jeunes nous amène à traverser des ponts, à pa(e)nser des plaies, à voyager dans une logique du don et du recevoir. Ce processus de transformation s’éprouve par le truchement d’un séjour de suture (Kaës) comme médiation éducative expérientielle de groupe. Ce mouvement est soutenu par un objet support : la randonnée afin de contenir l’espace émotionnel et l’espace de pensée des jeunes (Winnicott). Le parcours de randonnée sur une île est recherché à la fois pour sa fonction contenante et sa fonction de pare-excitation. Une mise en mouvement qui permet de sortir de soi avec soi où le singulier devient pluriel et le pluriel un singulier. Note de contenu : La position d’exil pour penser l’être dans l’enveloppe groupale La construction d’une enveloppe psychique L’adolescence : entre position d’exilé et exil intérieur La traversée des ponts comme processus de transformation  Sentiment dépressif post-voyage Construire une identité narrative : la suture Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101450 [article] La traversée des ponts : Un séjour de suture [texte imprimé] / Amandine Caudrelier . - 2022 . - p. 108-118. Issu du dossier "Traumatismes, résilience et désistance" Langues : Français (fre) in Les Cahiers dynamiques > 79 (janvier 2022) . - p. 108-118 Mots-clés : Adolescents -- Psychanalyse Résumé : Tout au long de ce voyage, le transport de l’esprit ne cesse de vaciller, vagabonder et de nous inspirer, nous guider vers nos propres contes et légendes qui se métamorphosent pour en devenir une mise en scène : notre histoire. En effet, les contes et les légendes bercent l’individu (l’enfant comme l’adulte), traversent le temps, voyagent dans l’espace et racontent une histoire, des histoires. Ils mettent en scène les expériences de la vie humaine comme la mort, l’amour, les conflits, la violence, la haine, la perte… avec un des moteurs les plus puissants : la quête de sens que l’on a choisi de dénommer sous le terme de l’Ody Aina (amulette de la vie). Cette quête résonne avec la rencontre de la souffrance à être, à exister chez nos jeunes. La création adolescente (Gutton) dans laquelle tourbillonne nos quatre jeunes nous amène à traverser des ponts, à pa(e)nser des plaies, à voyager dans une logique du don et du recevoir. Ce processus de transformation s’éprouve par le truchement d’un séjour de suture (Kaës) comme médiation éducative expérientielle de groupe. Ce mouvement est soutenu par un objet support : la randonnée afin de contenir l’espace émotionnel et l’espace de pensée des jeunes (Winnicott). Le parcours de randonnée sur une île est recherché à la fois pour sa fonction contenante et sa fonction de pare-excitation. Une mise en mouvement qui permet de sortir de soi avec soi où le singulier devient pluriel et le pluriel un singulier. Note de contenu : La position d’exil pour penser l’être dans l’enveloppe groupale La construction d’une enveloppe psychique L’adolescence : entre position d’exilé et exil intérieur La traversée des ponts comme processus de transformation  Sentiment dépressif post-voyage Construire une identité narrative : la suture Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101450

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