Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur Sonia Harrati |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
La souffrance psychique de l’adolescent exposé aux violences conjugales : Le cas de Serena / Sonia Harrati in Les Cahiers dynamiques, 79 (janvier 2022)
[article]
Titre : La souffrance psychique de l’adolescent exposé aux violences conjugales : Le cas de Serena Type de document : texte imprimé Auteurs : Sonia Harrati Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 97-107 Note générale : Issu du dossier "Traumatismes, résilience et désistance" Langues : Français (fre) Mots-clés : violences conjugales Adolescents -- Psychopathologie -- Études de cas Violences conjugales et adolescents Résumé : La souffrance psychique des adolescents exposés aux violences conjugales est reconnue depuis peu dans notre pays. Les rares travaux de recherche consacrés à la question montrent qu’à l’heure actuelle, les adolescents sont peu pris en compte dans le traitement des situations de violence conjugale. Maurice Berger définit une scène conjugale comme violente pour l’enfant et/ou l’adolescent lorsque celui-ci n’a le pouvoir ni de l’arrêter ni de s’y soustraire physiquement ou psychologiquement. La violence conjugale, bien qu’identifiée comme facteur de danger, est d’abord considérée comme relevant de l’intimité du couple et, de ce fait, demeure comme une zone aveugle, limitant sérieusement la portée des mesures prises pour protéger l’adolescent. Pourtant, la violence conjugale ne se résume pas à des moments de « violence physique entre parents », mais comprend aussi la violence psychique, la violence verbale, les insultes et menaces proférées devant l’adolescent ou encore le chantage affectif dont il est témoin. Dès lors, il devrait être clairement reconnu que toute violence d’un parent à l’égard d’un autre ou d’une figure investie comme telle est traumatique pour l’adolescent, qu’elle soit physique ou verbale. Nous savons en effet, depuis longtemps, que la conflictualité conjugale est repérée comme un frein au développement psychoaffectif de l’enfant et/ou comme un des facteurs de désorganisation symptomatologique chez l’adolescent. Déjà, en 1905, Freud écrivait « les querelles entre les parents et leur mariage malheureux déterminent chez les enfants la prédisposition la plus grave à des troubles du développement sexuel ou à des inclinaisons névrotique… Note de contenu :
Le cas de Serena
La perte du statut psychique des parents
L’affranchissement de la pensée
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101448
in Les Cahiers dynamiques > 79 (janvier 2022) . - p. 97-107[article] La souffrance psychique de l’adolescent exposé aux violences conjugales : Le cas de Serena [texte imprimé] / Sonia Harrati . - 2022 . - p. 97-107.
Issu du dossier "Traumatismes, résilience et désistance"
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 79 (janvier 2022) . - p. 97-107
Mots-clés : violences conjugales Adolescents -- Psychopathologie -- Études de cas Violences conjugales et adolescents Résumé : La souffrance psychique des adolescents exposés aux violences conjugales est reconnue depuis peu dans notre pays. Les rares travaux de recherche consacrés à la question montrent qu’à l’heure actuelle, les adolescents sont peu pris en compte dans le traitement des situations de violence conjugale. Maurice Berger définit une scène conjugale comme violente pour l’enfant et/ou l’adolescent lorsque celui-ci n’a le pouvoir ni de l’arrêter ni de s’y soustraire physiquement ou psychologiquement. La violence conjugale, bien qu’identifiée comme facteur de danger, est d’abord considérée comme relevant de l’intimité du couple et, de ce fait, demeure comme une zone aveugle, limitant sérieusement la portée des mesures prises pour protéger l’adolescent. Pourtant, la violence conjugale ne se résume pas à des moments de « violence physique entre parents », mais comprend aussi la violence psychique, la violence verbale, les insultes et menaces proférées devant l’adolescent ou encore le chantage affectif dont il est témoin. Dès lors, il devrait être clairement reconnu que toute violence d’un parent à l’égard d’un autre ou d’une figure investie comme telle est traumatique pour l’adolescent, qu’elle soit physique ou verbale. Nous savons en effet, depuis longtemps, que la conflictualité conjugale est repérée comme un frein au développement psychoaffectif de l’enfant et/ou comme un des facteurs de désorganisation symptomatologique chez l’adolescent. Déjà, en 1905, Freud écrivait « les querelles entre les parents et leur mariage malheureux déterminent chez les enfants la prédisposition la plus grave à des troubles du développement sexuel ou à des inclinaisons névrotique… Note de contenu :
Le cas de Serena
La perte du statut psychique des parents
L’affranchissement de la pensée
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101448 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt