Auteurs de violence. Les dynamiques du trauma / Aurore Gougain in Les Cahiers dynamiques, 79 (janvier 2022)

Public ISBD [article]  inLes Cahiers dynamiques > 79 (janvier 2022) . - p. 29-40 Titre : Auteurs de violence. Les dynamiques du trauma Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurore Gougain Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 29-40 Note générale : Issu du dossier "Traumatismes, résilience et désistance" Langues : Français (fre) Mots-clés : Trauma  Clivage  Violence -- Aspect psychologique Résumé : En tant qu’interne et ensuite comme psychiatre, j’ai tout de suite été interpellée par la fréquence statistique des traumatismes vécus chez les patients que j’avais à prendre en charge et du lien possible avec certains – je dis bien certains – types d’actes violents qu’ils pouvaient avoir commis. À l’heure actuelle, le passage à l’acte violent est le plus souvent analysé comme le résultat d’une carence dans les capacités d’élaboration du sujet, sous un angle déficitaire, et il serait secondaire à une insuffisance des capacités de mentalisation et de mise en mots. A contrario, l’hypothèse que je défends est que certains agirs violents vont plutôt se poser comme manifestation – au-dehors – de l’effroi interne venant court-circuiter les voies habituelles de la symbolisation sans pour autant préjuger d’une incapacité de mentalisation du sujet. Note de contenu : Narcissisme et clivage du Moi Les traces mnésiques du trauma L’Étranger d’Albert Camus La pure manifestation des forces de pulsion de mort ? Trace traumatique et réinvestissement hallucinatoire À la lumière des recherches actuelles Une prise en charge des auteurs Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101438 [article] Auteurs de violence. Les dynamiques du trauma [texte imprimé] / Aurore Gougain . - 2022 . - p. 29-40. Issu du dossier "Traumatismes, résilience et désistance" Langues : Français (fre) in Les Cahiers dynamiques > 79 (janvier 2022) . - p. 29-40 Mots-clés : Trauma  Clivage  Violence -- Aspect psychologique Résumé : En tant qu’interne et ensuite comme psychiatre, j’ai tout de suite été interpellée par la fréquence statistique des traumatismes vécus chez les patients que j’avais à prendre en charge et du lien possible avec certains – je dis bien certains – types d’actes violents qu’ils pouvaient avoir commis. À l’heure actuelle, le passage à l’acte violent est le plus souvent analysé comme le résultat d’une carence dans les capacités d’élaboration du sujet, sous un angle déficitaire, et il serait secondaire à une insuffisance des capacités de mentalisation et de mise en mots. A contrario, l’hypothèse que je défends est que certains agirs violents vont plutôt se poser comme manifestation – au-dehors – de l’effroi interne venant court-circuiter les voies habituelles de la symbolisation sans pour autant préjuger d’une incapacité de mentalisation du sujet. Note de contenu : Narcissisme et clivage du Moi Les traces mnésiques du trauma L’Étranger d’Albert Camus La pure manifestation des forces de pulsion de mort ? Trace traumatique et réinvestissement hallucinatoire À la lumière des recherches actuelles Une prise en charge des auteurs Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101438

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