Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Agnes Lejeune |
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La chaîne du silence / Eric Monami
Titre : La chaîne du silence Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Eric Monami ; Agnes Lejeune Année de publication : 2001 Importance : 1h06 Langues : Français (fre) Mots-clés : Suicide lié au travail -- France -- 1990-.... Travail à l'usine Conditions de travail -- France -- 1990-.... Résumé : Parler du suicide au travail n’est pas chose facile. Agnès Lejeune, par une investigation résolument tournée vers la recherche de compréhension, non pas tant d’un « geste », mais du silence qui l’a suivi, nous conduit à la réflexion sur le lien pouvant être établi entre travail - collectif de travail - et prise en compte de la souffrance (physique et psychique) au travail. Réalisé dans une entreprise de production d’automobiles en Belgique, ce film montre la volonté de comprendre, à partir de l’étonnement suscité par le déni collectif du drame qui s’est produit sur le lieu de travail, devant les collègues et la hiérarchie. En cherchant du côté familial, la réalisatrice découvre que ce salarié a raconté durant plusieurs années, une souffrance qui s’origine dans un accident du travail et qui le conduit, peu à peu, à un isolement social caractérisé par l’incompréhension, comme stratégie d’occultation de son vécu par le collectif (y compris les syndicats), et par une organisation dans l’impasse... Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101263 La chaîne du silence [document projeté ou vidéo] / Eric Monami ; Agnes Lejeune . - 2001 . - 1h06.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Suicide lié au travail -- France -- 1990-.... Travail à l'usine Conditions de travail -- France -- 1990-.... Résumé : Parler du suicide au travail n’est pas chose facile. Agnès Lejeune, par une investigation résolument tournée vers la recherche de compréhension, non pas tant d’un « geste », mais du silence qui l’a suivi, nous conduit à la réflexion sur le lien pouvant être établi entre travail - collectif de travail - et prise en compte de la souffrance (physique et psychique) au travail. Réalisé dans une entreprise de production d’automobiles en Belgique, ce film montre la volonté de comprendre, à partir de l’étonnement suscité par le déni collectif du drame qui s’est produit sur le lieu de travail, devant les collègues et la hiérarchie. En cherchant du côté familial, la réalisatrice découvre que ce salarié a raconté durant plusieurs années, une souffrance qui s’origine dans un accident du travail et qui le conduit, peu à peu, à un isolement social caractérisé par l’incompréhension, comme stratégie d’occultation de son vécu par le collectif (y compris les syndicats), et par une organisation dans l’impasse... Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101263 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Devoir d'enquête : Entre les murs de leur jeunesse : histoire d'un tournage en IPPJ Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Malika Attar, Auteur ; Agnes Lejeune, Autre ; Sophie Gillet Editeur : Bruxelles : Rtbf éditions Langues : Français (fre) Mots-clés : IPPJ : IPPJ BRAINE LE CHATEAU IPPJ - Institution Publique de Protection de la Jeunesse Récit de vie Témoignages Résumé : En mai 2010 une équipe de " Devoir d'enquêtes " a obtenu de la direction de l'IPPJ de Braine-le-Château d'entrer dans ses murs avec une caméra.
Braine le Château c'est la plus ancienne Institution Publique de Protection de la Jeunesse à régime fermé de la Communauté Française ; une des plus exposées aussi sur le plan médiatique. Les magistrats ont la réputation d'y placer les cas les plus difficiles.42 jeunes de 12 à 18 ans y vivent, certains d'entre eux ont commis des actes très lourds, qui les auraient conduits s'ils avaient été des adultes , en correctionnelle ou devant une cour d'assises. Mais la loi ne permet pas qu'un jeune soit jugé, ni emprisonné comme un adulte.Ils sont dès lors placés en milieu fermé où des éducateurs tentent le pari de leur réinsertion..
Un travail qui n'est pas toujours compris surtout lorsque des évènements douloureux et très médiatisés viennent bouleverser l'opinion.A chaque fois les IPPJ sont mises en question...
Fait assez rare pour être souligné, pendant 6 mois, une équipe de Devoir d'Enquête a suivi le quotidien des jeunes enfermés à l'IPPJ de Braine- le- Château. Agnès Lejeune, la journaliste, revient sur un tournage réalisé en dehors de toute actualité judiciaire médiatisée.
- Qu est-ce qui a motivé le choix de votre sujet ?
Agnès Lejeune : Une envie de comprendre comment ces jeunes vivent l'enfermement et surtout essayer d'en mesurer le sens puisque l'enfermement des mineurs et leur réinsertion fait débat à chaque nouveau fait divers.On parle d'eux en les réduisant à leurs actes, une fois passé les murs de l'IPPJ, on ne sait plus rien d'eux, de leur parcours et de la manière dont ils sont pris en charge. Le travail des éducateurs est obscur, discret et quelque fois ingrat. Se reconstruire prend du temps, la situation de l'enfermement est paradoxale : le mineur est puni , réellement privé de liberté, et dans le même temps il est tenu de se projeter et penser à l'avenir. Comment ça se passe à l'intérieur, c'était cela dont nous avons voulu rendre compte sur la durée. C'est la raison pour laquelle nous avons étalé notre tournage de mai à octobre 2010; pour prendre la mesure des parcours, des écueils, des coups de blues et des espoirs de chacun.Note de contenu : La Une, 10 fev. 2011 En ligne : https://www.rtbf.be/article/devoir-d-enquete-entre-les-murs-de-leur-jeunesse-vid [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15251 Devoir d'enquête : Entre les murs de leur jeunesse : histoire d'un tournage en IPPJ [document projeté ou vidéo] / Malika Attar, Auteur ; Agnes Lejeune, Autre ; Sophie Gillet . - Bruxelles : Rtbf éditions, [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : IPPJ : IPPJ BRAINE LE CHATEAU IPPJ - Institution Publique de Protection de la Jeunesse Récit de vie Témoignages Résumé : En mai 2010 une équipe de " Devoir d'enquêtes " a obtenu de la direction de l'IPPJ de Braine-le-Château d'entrer dans ses murs avec une caméra.
Braine le Château c'est la plus ancienne Institution Publique de Protection de la Jeunesse à régime fermé de la Communauté Française ; une des plus exposées aussi sur le plan médiatique. Les magistrats ont la réputation d'y placer les cas les plus difficiles.42 jeunes de 12 à 18 ans y vivent, certains d'entre eux ont commis des actes très lourds, qui les auraient conduits s'ils avaient été des adultes , en correctionnelle ou devant une cour d'assises. Mais la loi ne permet pas qu'un jeune soit jugé, ni emprisonné comme un adulte.Ils sont dès lors placés en milieu fermé où des éducateurs tentent le pari de leur réinsertion..
Un travail qui n'est pas toujours compris surtout lorsque des évènements douloureux et très médiatisés viennent bouleverser l'opinion.A chaque fois les IPPJ sont mises en question...
Fait assez rare pour être souligné, pendant 6 mois, une équipe de Devoir d'Enquête a suivi le quotidien des jeunes enfermés à l'IPPJ de Braine- le- Château. Agnès Lejeune, la journaliste, revient sur un tournage réalisé en dehors de toute actualité judiciaire médiatisée.
- Qu est-ce qui a motivé le choix de votre sujet ?
Agnès Lejeune : Une envie de comprendre comment ces jeunes vivent l'enfermement et surtout essayer d'en mesurer le sens puisque l'enfermement des mineurs et leur réinsertion fait débat à chaque nouveau fait divers.On parle d'eux en les réduisant à leurs actes, une fois passé les murs de l'IPPJ, on ne sait plus rien d'eux, de leur parcours et de la manière dont ils sont pris en charge. Le travail des éducateurs est obscur, discret et quelque fois ingrat. Se reconstruire prend du temps, la situation de l'enfermement est paradoxale : le mineur est puni , réellement privé de liberté, et dans le même temps il est tenu de se projeter et penser à l'avenir. Comment ça se passe à l'intérieur, c'était cela dont nous avons voulu rendre compte sur la durée. C'est la raison pour laquelle nous avons étalé notre tournage de mai à octobre 2010; pour prendre la mesure des parcours, des écueils, des coups de blues et des espoirs de chacun.Note de contenu : La Une, 10 fev. 2011 En ligne : https://www.rtbf.be/article/devoir-d-enquete-entre-les-murs-de-leur-jeunesse-vid [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15251 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire