Traces écrites du psychomotricien et traçabilité : une incompatibilité ? / Odile Frand in Thérapie psychomotrice et recherches, 169 (2012)

Public ISBD [article]  inThérapie psychomotrice et recherches > 169 (2012) . - p. 28-39 Titre : Traces écrites du psychomotricien et traçabilité : une incompatibilité ? Auteurs : Odile Frand ; Françoise Lorcy-Carre Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 28-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : Continuité des soins  SUIVI MEDICAL  Psychomotricité Résumé : Dans l’actualité des pratiques de soin, se précisent une réglementation et de nouvelles contraintes liées à la demande d’une meilleure « transparence, traçabilité », de nos « interventions » : il est un devoir de laisser une trace écrite de nos rencontres avec les personnes que nous recevons pour un bilan, un suivi… pour constituer le dossier de la personne. Ce devoir d’écrire, qui n’est pas nouveau, certes, a pris une dimension toute particulière depuis la parution de la loi-cadre de mars 2002, et de tous les textes officiels qui ont suivi. Le premier chapitre de cette loi, « Droit des malades et usagers du système de santé », inclut le droit à l’information par la consultation de son dossier. L’esprit du législateur est de : - De rendre le patient « acteur » de sa santé par une information sur son état. - D’assurer une qualité du soin et de la prise en charge de la personne : les traces écrites du dossier doivent faciliter la coordination des soins et du suivi, elles servent de transmission. - En dernière intention : (mais ne serait-ce pas la plus importante ?…) le dossier doit servir de support aux évaluations interne et externe des établissements et services. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98734 [article] Traces écrites du psychomotricien et traçabilité : une incompatibilité ? [] / Odile Frand ; Françoise Lorcy-Carre . - 2012 . - p. 28-39. Langues : Français (fre) in Thérapie psychomotrice et recherches > 169 (2012) . - p. 28-39 Mots-clés : Continuité des soins  SUIVI MEDICAL  Psychomotricité Résumé : Dans l’actualité des pratiques de soin, se précisent une réglementation et de nouvelles contraintes liées à la demande d’une meilleure « transparence, traçabilité », de nos « interventions » : il est un devoir de laisser une trace écrite de nos rencontres avec les personnes que nous recevons pour un bilan, un suivi… pour constituer le dossier de la personne. Ce devoir d’écrire, qui n’est pas nouveau, certes, a pris une dimension toute particulière depuis la parution de la loi-cadre de mars 2002, et de tous les textes officiels qui ont suivi. Le premier chapitre de cette loi, « Droit des malades et usagers du système de santé », inclut le droit à l’information par la consultation de son dossier. L’esprit du législateur est de : - De rendre le patient « acteur » de sa santé par une information sur son état. - D’assurer une qualité du soin et de la prise en charge de la personne : les traces écrites du dossier doivent faciliter la coordination des soins et du suivi, elles servent de transmission. - En dernière intention : (mais ne serait-ce pas la plus importante ?…) le dossier doit servir de support aux évaluations interne et externe des établissements et services. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98734

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