Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Laurence Watillon |
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Les âges irrités de la majorité / Jean Blairon in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique], Janvier 2016 (Janvier 2016)
[article]
Titre : Les âges irrités de la majorité Type de document : document électronique Auteurs : Jean Blairon ; Jacqueline Fastrès ; Jérôme Petit ; Isabelle Dubois ; Laurence Watillon Année de publication : 2016 Article en page(s) : 31 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Majorité (droit civil) Résumé : "De récentes mesures du gouvernement fédéral, entre autres, touchent ou envisagent de toucher à ce qui est considéré jusqu'ici comme l'âge consacrant l'entrée en majorité.
Le projet d'abaisser l'âge de la majorité sexuelle à 14 ans est un exemple ; il s'agit en réalité de faire en sorte que les actes sexuels entre mineurs de moins de seize ans cessent d'être punissables, alors qu'ils le sont aujourd'hui, même en cas de consentement mutuel : ils sont considérés comme attentat à la pudeur. Le fait de repousser jusqu'à 21 ans, pour tous les jeunes n'ayant pas obtenu le CESS, l'âge permettant l'octroi d'allocations d'attente est un autre exemple, qui va en sens inverse : la limite d'âge y est revue à la hausse depuis le 1er septembre 2015.
L'impression prévaut d'une agitation en tous sens des âges de référence.
Nous avons voulu tenter d'objectiver cette situation, d'en analyser le sens et les enjeux. Nous verrons que se révèlent dans cette agitation une contradiction sur le rôle de l’État, une controverse sur les revendications en matière de droits du sujet, mais aussi les transformations du pouvoir dans nos sociétés, qui s'exerce notamment désormais par la mise en flottaison de tous les repères.
Dans une seconde partie, nous proposerons une série d'analyseurs qui devraient permettre de résister à cette mise en flottaison, qui incarne la modernité aux yeux de ses promoteurs, mais qui constitue plutôt un retournement des revendications du contre-pouvoir, si ce n'est, pour reprendre les mots d'Alain Touraine, une confiscation de la modernité par les modernisateurs.
Pour procéder à ces analyses, nous adopterons l'attitude de l'analyse institutionnelle, en nous demandant, comme Félix Guattari le recommande, de quelle société cette agitation est l'interprète et pour quelle religion ces instigateurs sont-ils occupés à officier."En ligne : http://www.intermag.be/images/stories/pdf/rta2016m01n2.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97538
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Janvier 2016 (Janvier 2016) . - 31 p.[article] Les âges irrités de la majorité [document électronique] / Jean Blairon ; Jacqueline Fastrès ; Jérôme Petit ; Isabelle Dubois ; Laurence Watillon . - 2016 . - 31 p.
Langues : Français (fre)
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Janvier 2016 (Janvier 2016) . - 31 p.
Mots-clés : Majorité (droit civil) Résumé : "De récentes mesures du gouvernement fédéral, entre autres, touchent ou envisagent de toucher à ce qui est considéré jusqu'ici comme l'âge consacrant l'entrée en majorité.
Le projet d'abaisser l'âge de la majorité sexuelle à 14 ans est un exemple ; il s'agit en réalité de faire en sorte que les actes sexuels entre mineurs de moins de seize ans cessent d'être punissables, alors qu'ils le sont aujourd'hui, même en cas de consentement mutuel : ils sont considérés comme attentat à la pudeur. Le fait de repousser jusqu'à 21 ans, pour tous les jeunes n'ayant pas obtenu le CESS, l'âge permettant l'octroi d'allocations d'attente est un autre exemple, qui va en sens inverse : la limite d'âge y est revue à la hausse depuis le 1er septembre 2015.
L'impression prévaut d'une agitation en tous sens des âges de référence.
Nous avons voulu tenter d'objectiver cette situation, d'en analyser le sens et les enjeux. Nous verrons que se révèlent dans cette agitation une contradiction sur le rôle de l’État, une controverse sur les revendications en matière de droits du sujet, mais aussi les transformations du pouvoir dans nos sociétés, qui s'exerce notamment désormais par la mise en flottaison de tous les repères.
Dans une seconde partie, nous proposerons une série d'analyseurs qui devraient permettre de résister à cette mise en flottaison, qui incarne la modernité aux yeux de ses promoteurs, mais qui constitue plutôt un retournement des revendications du contre-pouvoir, si ce n'est, pour reprendre les mots d'Alain Touraine, une confiscation de la modernité par les modernisateurs.
Pour procéder à ces analyses, nous adopterons l'attitude de l'analyse institutionnelle, en nous demandant, comme Félix Guattari le recommande, de quelle société cette agitation est l'interprète et pour quelle religion ces instigateurs sont-ils occupés à officier."En ligne : http://www.intermag.be/images/stories/pdf/rta2016m01n2.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97538 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire (Burkini) Vers un sado-socialisme à la française ? / Jean Blairon in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique], Septembre 2016 (Septembre 2016)
[article]
Titre : (Burkini) Vers un sado-socialisme à la française ? Type de document : document électronique Auteurs : Jean Blairon ; Laurence Watillon Année de publication : 2016 Article en page(s) : 5 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Burkinis Espaces publics -- Politique publique Résumé : "On n'a pas pu manquer ces derniers jours les sorties très médiatisées du Premier Ministre français Manuel Vals à propos de ce qu'on a nommé le « burkini », cette combinaison de bain féminine couvrante qui a été interdite par certaines municipalités. La « polémique » médiatiquement entretenue, non sans effets politiques, montre une fois de plus la connivence entre les agents du champ politique et ceux du champ médiatique, menant à ce que Paul Virilio nomme une « administration de la peur ». La connivence est aussi affaire de style et de forme, avec des petites phrases chocs formatées à souhait pour être captées par les médias.
Les arguments de Manuel Vals convoquent ainsi les valeurs de la République et le symbole de Marianne au sein nu. Ils ne sont pas sans rappeler ceux... du Marquis de Sade, combattant la pudeur pour les buts que l'on sait. La défense de la liberté incarnée par Marianne ira-t-elle jusqu'à impliquer une hyper-sexualisation de la plage définie comme espace public ?"En ligne : http://www.intermag.be/images/stories/pdf/rta2016m09n01.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97428
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Septembre 2016 (Septembre 2016) . - 5 p.[article] (Burkini) Vers un sado-socialisme à la française ? [document électronique] / Jean Blairon ; Laurence Watillon . - 2016 . - 5 p.
Langues : Français (fre)
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Septembre 2016 (Septembre 2016) . - 5 p.
Mots-clés : Burkinis Espaces publics -- Politique publique Résumé : "On n'a pas pu manquer ces derniers jours les sorties très médiatisées du Premier Ministre français Manuel Vals à propos de ce qu'on a nommé le « burkini », cette combinaison de bain féminine couvrante qui a été interdite par certaines municipalités. La « polémique » médiatiquement entretenue, non sans effets politiques, montre une fois de plus la connivence entre les agents du champ politique et ceux du champ médiatique, menant à ce que Paul Virilio nomme une « administration de la peur ». La connivence est aussi affaire de style et de forme, avec des petites phrases chocs formatées à souhait pour être captées par les médias.
Les arguments de Manuel Vals convoquent ainsi les valeurs de la République et le symbole de Marianne au sein nu. Ils ne sont pas sans rappeler ceux... du Marquis de Sade, combattant la pudeur pour les buts que l'on sait. La défense de la liberté incarnée par Marianne ira-t-elle jusqu'à impliquer une hyper-sexualisation de la plage définie comme espace public ?"En ligne : http://www.intermag.be/images/stories/pdf/rta2016m09n01.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97428 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Consentement et violence symbolique, une question pour le secteur de l’aide à la jeunesse ? / Jacqueline Fastrès in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique], Mars 2020 (Mars 2020)
[article]
Titre : Consentement et violence symbolique, une question pour le secteur de l’aide à la jeunesse ? Type de document : document électronique Auteurs : Jacqueline Fastrès ; Laurence Watillon ; Jean Blairon Année de publication : 2020 Article en page(s) : 24 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Aide à la jeunesse Consentement sexuel Sujet (psychologie) Résumé : "Le Code de la prévention, de l’aide à la jeunesse et de la protection de la jeunesse qui est entré en vigueur en 2019 renforce les droits reconnus aux jeunes et à leurs parents. C’est une avancée, dans la droite ligne de la CIDE et de la montée en puissance des droits culturels, et on ne peut que s’en réjouir.
Plusieurs mesures sont concernées par ces évolutions. L’une d’entre elle est l’abaissement à 12 ans de l’âge à partir duquel l’enfant, assisté par un avocat, doit donner son accord au programme d’aide qui lui est proposé. On reconnaît par là à l’enfant un statut de sujet. Toutefois, à l’instar de Michel Wieviorka, ne faudrait-il pas mieux le considérer comme un « sujet incomplet », soit un sujet qui n’a pas en main les mêmes cartes qu’un adulte ?
La mise en œuvre de ces nouvelles mesures, pour qu’elles soient émancipatoires, demande en tout cas une grande vigilance, notamment par rapport à la question de l’accord donné par un jeune à une mesure qui le concerne : la question du consentement ne se réduit pas d’office, en effet, à un échange argumentatif et ne s’inscrit pas immanquablement dans le processus de décision collégiale qui est réputé se produire.
Le récent ouvrage de Vanessa Springora, justement nommé Le consentement, nous donne matière à réflexion. L’auteure raconte comment, à 14 ans elle devient la maîtresse de Gabriel Matzneff, auteur et essayiste célèbre. Elle explique comment elle est arrivée à lui donner « son consentement », alors même qu’elle était sous son emprise, mais ne s’en est rendu compte que lentement, plongée dans la détresse, et que s’en rendre compte ne l’a pas protégée de la permanence de cette emprise, des années plus tard. Ce qu’elle décrit rappelle les procédés de l’institution totale décrits par Goffman.
Le détour réflexif par un exemple extrême nous permet d’extraire des éléments d’attention utiles à notre propos :
- s’il faut être attentifs aux droits du sujet, il convient de ne pas considérer le « sujet » de manière exclusivement romantique ; le sujet n’est pas par essence, il est porté par des processus de subjectivation ou de désubjectivation (ces derniers étant fort bien décrits dans l’ouvrage de Springora) ;
- être attentifs à ces mécanismes de subjectivation et de désubjectivation pourrait être un garde-fou pour lutter contre ce qui pourrait devenir une violence symbolique à l’égard des personnes qui sont sous emprise ;
- tenir compte des pentes de « l’air du temps » et s’en distancier suffisamment pour éviter qu’elles ne nuisent aux plus faibles, sous couvert de leur être utile."En ligne : https://intermag.be/images/stories/pdf/rta2020m03n2.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97635
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Mars 2020 (Mars 2020) . - 24 p.[article] Consentement et violence symbolique, une question pour le secteur de l’aide à la jeunesse ? [document électronique] / Jacqueline Fastrès ; Laurence Watillon ; Jean Blairon . - 2020 . - 24 p.
Langues : Français (fre)
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Mars 2020 (Mars 2020) . - 24 p.
Mots-clés : Aide à la jeunesse Consentement sexuel Sujet (psychologie) Résumé : "Le Code de la prévention, de l’aide à la jeunesse et de la protection de la jeunesse qui est entré en vigueur en 2019 renforce les droits reconnus aux jeunes et à leurs parents. C’est une avancée, dans la droite ligne de la CIDE et de la montée en puissance des droits culturels, et on ne peut que s’en réjouir.
Plusieurs mesures sont concernées par ces évolutions. L’une d’entre elle est l’abaissement à 12 ans de l’âge à partir duquel l’enfant, assisté par un avocat, doit donner son accord au programme d’aide qui lui est proposé. On reconnaît par là à l’enfant un statut de sujet. Toutefois, à l’instar de Michel Wieviorka, ne faudrait-il pas mieux le considérer comme un « sujet incomplet », soit un sujet qui n’a pas en main les mêmes cartes qu’un adulte ?
La mise en œuvre de ces nouvelles mesures, pour qu’elles soient émancipatoires, demande en tout cas une grande vigilance, notamment par rapport à la question de l’accord donné par un jeune à une mesure qui le concerne : la question du consentement ne se réduit pas d’office, en effet, à un échange argumentatif et ne s’inscrit pas immanquablement dans le processus de décision collégiale qui est réputé se produire.
Le récent ouvrage de Vanessa Springora, justement nommé Le consentement, nous donne matière à réflexion. L’auteure raconte comment, à 14 ans elle devient la maîtresse de Gabriel Matzneff, auteur et essayiste célèbre. Elle explique comment elle est arrivée à lui donner « son consentement », alors même qu’elle était sous son emprise, mais ne s’en est rendu compte que lentement, plongée dans la détresse, et que s’en rendre compte ne l’a pas protégée de la permanence de cette emprise, des années plus tard. Ce qu’elle décrit rappelle les procédés de l’institution totale décrits par Goffman.
Le détour réflexif par un exemple extrême nous permet d’extraire des éléments d’attention utiles à notre propos :
- s’il faut être attentifs aux droits du sujet, il convient de ne pas considérer le « sujet » de manière exclusivement romantique ; le sujet n’est pas par essence, il est porté par des processus de subjectivation ou de désubjectivation (ces derniers étant fort bien décrits dans l’ouvrage de Springora) ;
- être attentifs à ces mécanismes de subjectivation et de désubjectivation pourrait être un garde-fou pour lutter contre ce qui pourrait devenir une violence symbolique à l’égard des personnes qui sont sous emprise ;
- tenir compte des pentes de « l’air du temps » et s’en distancier suffisamment pour éviter qu’elles ne nuisent aux plus faibles, sous couvert de leur être utile."En ligne : https://intermag.be/images/stories/pdf/rta2020m03n2.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97635 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Décrocher... un chemin ? Un service d'accrochage scolaire vu par d'anciens bénéficiaires / Jacqueline Fastrès in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique], Janvier 2016 (Janvier 2016)
[article]
Titre : Décrocher... un chemin ? Un service d'accrochage scolaire vu par d'anciens bénéficiaires Type de document : document électronique Auteurs : Jacqueline Fastrès, Auteur ; Laurence Watillon, Auteur ; Caroline Garzon, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : 48 p. Langues : Français (fre) Catégories : Abandon des études Mots-clés : Accrochage scolaire Résumé : "Les SAS (services d'accrochage scolaire) sont des structures agréées à la fois par l'enseignement et par l'aide à la jeunesse pour aider des jeunes en décrochage à se reconnecter avec leur parcours scolaire.
Cette étude a été réalisée à la demande d'un SAS bruxellois, le Seuil, qui souhaitait, après quelques années de fonctionnement, récolter le point de vue d'anciens bénéficiaires sur leur passage au sein de leur structure. 14 jeunes ont accepté de retracer leur parcours avant, pendant et après le SAS.
De ce riche matériau émerge un point de vue lucide et perspicace sur ce qui a poussé ces jeunes au décrochage (pas toujours l'école elle-même, mais un ensemble de facteurs qui se co-produisent) et en quoi un service comme un SAS peut entraver cette trajectoire, voire renverser la vapeur (pas toujours pour un retour à l'école, pas toujours tout de suite et pas dans tous les cas). C'est surtout au niveau de leur subjectivation restaurée que les jeunes ressentent les effets de cette parenthèse dans leur scolarité. Et pour eux, c'est très loin d'être un effet négligeable.
Pour rendre raison au mieux des mécanismes qu'ils nous décrivent, nous avons mobilisé deux théories sociologiques : la notion d'intéressement de Michel Callon, et celle de désaffiliation de Robert Castel. Les articuler nous permet en effet de jeter un regard singulier sur la question du décrochage scolaire et sur les enjeux que sont ceux des SAS.
L'étude s'articule donc autour de deux axes :
- ce qui amène les jeunes au SAS, selon leur propre analyse ;
- comment l'action du SAS produit des effets, et lesquels."En ligne : http://www.intermag.be/images/stories/pdf/rta2016m3n1.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97464
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Janvier 2016 (Janvier 2016) . - 48 p.[article] Décrocher... un chemin ? Un service d'accrochage scolaire vu par d'anciens bénéficiaires [document électronique] / Jacqueline Fastrès, Auteur ; Laurence Watillon, Auteur ; Caroline Garzon, Auteur . - 2016 . - 48 p.
Langues : Français (fre)
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Janvier 2016 (Janvier 2016) . - 48 p.
Catégories : Abandon des études Mots-clés : Accrochage scolaire Résumé : "Les SAS (services d'accrochage scolaire) sont des structures agréées à la fois par l'enseignement et par l'aide à la jeunesse pour aider des jeunes en décrochage à se reconnecter avec leur parcours scolaire.
Cette étude a été réalisée à la demande d'un SAS bruxellois, le Seuil, qui souhaitait, après quelques années de fonctionnement, récolter le point de vue d'anciens bénéficiaires sur leur passage au sein de leur structure. 14 jeunes ont accepté de retracer leur parcours avant, pendant et après le SAS.
De ce riche matériau émerge un point de vue lucide et perspicace sur ce qui a poussé ces jeunes au décrochage (pas toujours l'école elle-même, mais un ensemble de facteurs qui se co-produisent) et en quoi un service comme un SAS peut entraver cette trajectoire, voire renverser la vapeur (pas toujours pour un retour à l'école, pas toujours tout de suite et pas dans tous les cas). C'est surtout au niveau de leur subjectivation restaurée que les jeunes ressentent les effets de cette parenthèse dans leur scolarité. Et pour eux, c'est très loin d'être un effet négligeable.
Pour rendre raison au mieux des mécanismes qu'ils nous décrivent, nous avons mobilisé deux théories sociologiques : la notion d'intéressement de Michel Callon, et celle de désaffiliation de Robert Castel. Les articuler nous permet en effet de jeter un regard singulier sur la question du décrochage scolaire et sur les enjeux que sont ceux des SAS.
L'étude s'articule donc autour de deux axes :
- ce qui amène les jeunes au SAS, selon leur propre analyse ;
- comment l'action du SAS produit des effets, et lesquels."En ligne : http://www.intermag.be/images/stories/pdf/rta2016m3n1.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97464 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quel accompagnement pour les demandeurs d’emploi ? Une enquête auprès des premiers intéressés / Christine Mahy in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique], Septembre 2020 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Quel accompagnement pour les demandeurs d’emploi ? Une enquête auprès des premiers intéressés Type de document : document électronique Auteurs : Christine Mahy ; Jean Blairon ; Noellie Denomerenge ; Jacqueline Fastrès ; Laurence Watillon Année de publication : 2020 Article en page(s) : 28 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Chômeurs -- Récits personnels Chômeurs -- Services aux Résumé : "Le Gouvernement wallon travaille sur une réforme de l’accompagnement des chômeurs (un projet vient d’être discuté en première lecture au Parlement), sur le rôle que va y jouer le Forem, sur la manière dont celui-ci va l’exercer et par voie de conséquence sur les relations que le service public de l’emploi va construire (ou co-construire ?) avec les associations qui sont engagées comme lui sur l’ enjeu de l’insertion sociale et professionnelle.
Considérer que les bénéficiaires sont des partenaires de plein droit implique de les associer fermement à la conception de la politique qui les concerne.
C’est ce à quoi nous avons voulu contribuer en collaborant à une recherche initiée par le RWLP qui a interrogé des personnes « accompagnées » par le Forem dans leur recherche d’emploi."En ligne : https://intermag.be/images/stories/pdf/rtarwlp2020m09n2.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97665
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Septembre 2020 (Septembre 2020) . - 28 p.[article] Quel accompagnement pour les demandeurs d’emploi ? Une enquête auprès des premiers intéressés [document électronique] / Christine Mahy ; Jean Blairon ; Noellie Denomerenge ; Jacqueline Fastrès ; Laurence Watillon . - 2020 . - 28 p.
Langues : Français (fre)
in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique] > Septembre 2020 (Septembre 2020) . - 28 p.
Mots-clés : Chômeurs -- Récits personnels Chômeurs -- Services aux Résumé : "Le Gouvernement wallon travaille sur une réforme de l’accompagnement des chômeurs (un projet vient d’être discuté en première lecture au Parlement), sur le rôle que va y jouer le Forem, sur la manière dont celui-ci va l’exercer et par voie de conséquence sur les relations que le service public de l’emploi va construire (ou co-construire ?) avec les associations qui sont engagées comme lui sur l’ enjeu de l’insertion sociale et professionnelle.
Considérer que les bénéficiaires sont des partenaires de plein droit implique de les associer fermement à la conception de la politique qui les concerne.
C’est ce à quoi nous avons voulu contribuer en collaborant à une recherche initiée par le RWLP qui a interrogé des personnes « accompagnées » par le Forem dans leur recherche d’emploi."En ligne : https://intermag.be/images/stories/pdf/rtarwlp2020m09n2.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97665 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les rapports professionnels : pour qui les écrire ? / Jean Blairon in Intermag : magazine d'intervention [périodique électronique], Décembre 2015 (Décembre 2015)
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