Interest of inertial measurement unit tool in the functional evaluationof ankle evertor muscles in trail running / Jeanne Dury in Science & motricité, 113 ([23/11/2021])

Public ISBD [article]  inScience & motricité > 113 [23/11/2021] . - p. 39-44 Titre : Interest of inertial measurement unit tool in the functional evaluationof ankle evertor muscles in trail running Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Dury ; Fabrice Michel ; Gilles Ravier Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 39-44 Note générale : https://doi.org/10.1051/sm/2021014 Langues : Français (fre) Mots-clés : proprioception  kinematic  fatigue  ankle sprain risk factor  prevention Résumé : This study aimed to investigate the interest of inertial measurement units (IMU) in the functionalassessment of the ankle to identify sport specific adaptations and to determine whether a hilly run sessionaffected balance control and ability in accelerating eversion and slowing down inversion movements. Thirteenwell-trained trail runners and 12 cyclists completed ankle tests on a destabilized footwear device: one balance-control test and two dynamic inversion and eversion tests (involving eccentric, ECC and concentric, CONCmuscle regimens, respectively). Kinematic data derived from IMU were automatically calculated asperformance scores i) to compare trail runners and cyclists at rest, and ii) to determine the fatigue inducedby hilly run (16 km, 400 D+) in trail runners. Both ECC and CONC scores derived from angular velocity oftwenty repetitions (with threshold of 60°/s and 250°/s, respectively) during dynamic tests. Results showedhigher ECC score (CV = 14.6%;p= 0.06; ES = moderate) and lower CONC score (CV = 33.8%;p<0.01;ES = large) in trail runners than in cyclists. Furthermore, proprioception score decreased in response to the hillyrun session (CV = 6.1%;p= 0.03; ES = moderate). Kinematic data emphasized sport specific adaptations inthe ability to control eversion and inversion movements. This might suggest differences in evertor musclestrength characteristics. Decrement in the proprioception score highlighted the interest of using IMU in theassessment of acute fatigue induced by hilly run. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97287 [article] Interest of inertial measurement unit tool in the functional evaluationof ankle evertor muscles in trail running [texte imprimé] / Jeanne Dury ; Fabrice Michel ; Gilles Ravier . - 2021 . - p. 39-44. https://doi.org/10.1051/sm/2021014 Langues : Français (fre) in Science & motricité > 113 [23/11/2021] . - p. 39-44 Mots-clés : proprioception  kinematic  fatigue  ankle sprain risk factor  prevention Résumé : This study aimed to investigate the interest of inertial measurement units (IMU) in the functionalassessment of the ankle to identify sport specific adaptations and to determine whether a hilly run sessionaffected balance control and ability in accelerating eversion and slowing down inversion movements. Thirteenwell-trained trail runners and 12 cyclists completed ankle tests on a destabilized footwear device: one balance-control test and two dynamic inversion and eversion tests (involving eccentric, ECC and concentric, CONCmuscle regimens, respectively). Kinematic data derived from IMU were automatically calculated asperformance scores i) to compare trail runners and cyclists at rest, and ii) to determine the fatigue inducedby hilly run (16 km, 400 D+) in trail runners. Both ECC and CONC scores derived from angular velocity oftwenty repetitions (with threshold of 60°/s and 250°/s, respectively) during dynamic tests. Results showedhigher ECC score (CV = 14.6%;p= 0.06; ES = moderate) and lower CONC score (CV = 33.8%;p<0.01;ES = large) in trail runners than in cyclists. Furthermore, proprioception score decreased in response to the hillyrun session (CV = 6.1%;p= 0.03; ES = moderate). Kinematic data emphasized sport specific adaptations inthe ability to control eversion and inversion movements. This might suggest differences in evertor musclestrength characteristics. Decrement in the proprioception score highlighted the interest of using IMU in theassessment of acute fatigue induced by hilly run. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97287

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Quantifying internal workload during training drills in handball players: comparison between heart rate and perceived exertion based methods / Gilles Ravier in Science & motricité, 118 (octobre 2022)

Public ISBD [article]  inScience & motricité > 118 (octobre 2022) . - p. 15-22 Titre : Quantifying internal workload during training drills in handball players: comparison between heart rate and perceived exertion based methods Titre original : Quantification de la charge de travail interne lors d’exercices d’entraînement chez des joueurs de handball : comparaison des méthodes basées sur la fréquence cardiaque et la perception d’effort Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Ravier Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-22 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : charge d’entraînement  fatigue  jeu à effectif réduit  sport collectif  course intermittente Résumé : Objectif : Le suivi de la charge de travail interne est largement utilisé en sports collectifs. La relation entre les méthodes basées sur l’évaluation de la perception de l’effort (s-RPE) et celles basées sur la fréquence cardiaque (FC) nécessite davantage d’études au regard des diverses modalités d’exercices en handball. Cette étude compare les réponses s-RPE et celles dérivées de la FC au cours d’exercices d’entraînement couramment utilisés en handball. Méthodes : Douze joueurs professionnels de handball ont été suivis durant 6 séquences : 2 jeux à effectifs réduits (SSGs), 2 périodes de match (MPs) et 2 exercices de course intermittente (IRs). La méthode s-RPE et deux méthodes basées sur la FC ont été utilisées pour quantifier la charge de travail. Les relations entre les méthodes ont été déterminées en utilisant un test de Pearson. Les charges de travail de chaque exercice d’entraînement ont été comparées pour chaque méthode à partir d’une ANOVA à un facteur. Résultats : Des corrélations significatives ont été observées (p < 0,0001; r = 0,93–0,99) entre les méthodes basées sur la FC pour chacune des modalités d’exercice. Il ne semble pas y avoir de corrélation entre les méthodes s-RPE et FC. La perception d’effort observée en réponse aux séquences SSGs et MPs était nettement inférieure à celle observée lors des IRs. Conclusion : Les méthodes s-RPE et celles basées sur la FC ne sont pas interchangeables. Elles doivent être considérées comme complémentaires pour comprendre la charge de travail sous l’angle psychophysiologique. La quantification des exercices d’entraînement par la méthode s-RPE peut aider les entraîneurs à mieux construire leurs entraînements au cours de périodes intenses. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109928 [article] Quantifying internal workload during training drills in handball players: comparison between heart rate and perceived exertion based methods = Quantification de la charge de travail interne lors d’exercices d’entraînement chez des joueurs de handball : comparaison des méthodes basées sur la fréquence cardiaque et la perception d’effort [texte imprimé] / Gilles Ravier . - 2022 . - p. 15-22. Langues : Anglais (eng) in Science & motricité > 118 (octobre 2022) . - p. 15-22 Mots-clés : charge d’entraînement  fatigue  jeu à effectif réduit  sport collectif  course intermittente Résumé : Objectif : Le suivi de la charge de travail interne est largement utilisé en sports collectifs. La relation entre les méthodes basées sur l’évaluation de la perception de l’effort (s-RPE) et celles basées sur la fréquence cardiaque (FC) nécessite davantage d’études au regard des diverses modalités d’exercices en handball. Cette étude compare les réponses s-RPE et celles dérivées de la FC au cours d’exercices d’entraînement couramment utilisés en handball. Méthodes : Douze joueurs professionnels de handball ont été suivis durant 6 séquences : 2 jeux à effectifs réduits (SSGs), 2 périodes de match (MPs) et 2 exercices de course intermittente (IRs). La méthode s-RPE et deux méthodes basées sur la FC ont été utilisées pour quantifier la charge de travail. Les relations entre les méthodes ont été déterminées en utilisant un test de Pearson. Les charges de travail de chaque exercice d’entraînement ont été comparées pour chaque méthode à partir d’une ANOVA à un facteur. Résultats : Des corrélations significatives ont été observées (p < 0,0001; r = 0,93–0,99) entre les méthodes basées sur la FC pour chacune des modalités d’exercice. Il ne semble pas y avoir de corrélation entre les méthodes s-RPE et FC. La perception d’effort observée en réponse aux séquences SSGs et MPs était nettement inférieure à celle observée lors des IRs. Conclusion : Les méthodes s-RPE et celles basées sur la FC ne sont pas interchangeables. Elles doivent être considérées comme complémentaires pour comprendre la charge de travail sous l’angle psychophysiologique. La quantification des exercices d’entraînement par la méthode s-RPE peut aider les entraîneurs à mieux construire leurs entraînements au cours de périodes intenses. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109928

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