L’entraînement simultané en force et en sprint augmente le métabolisme de repos chez des cyclistes masters sur route / Luke Del Vecchio in Science & motricité, 109 (Mars 2020)

Public ISBD [article]  inScience & motricité > 109 (Mars 2020) . - p. 39-50 Titre : L’entraînement simultané en force et en sprint augmente le métabolisme de repos chez des cyclistes masters sur route Type de document : texte imprimé Auteurs : Luke Del Vecchio ; Peter Reaburn ; Jarod Meerkin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 39-50 Note générale : https://doi.org/10.1051/sm/2020007 Langues : Français (fre) Mots-clés : athlètes masters  exercices d’endurance  métabolisme basal  composition corporelle  DEXA Résumé : L’entraînement en sprint et en force à haute intensité constitue un puissant stimulus physiologique et, est couramment utilisé dans les programmes d’entraînement des jeunes athlètes d’endurance adultes. Les adaptations potentielles de l’ajout d’exercices de sprint/de force au régime d’entraînement des athlètes d’endurance vieillissants sont mal connues. La présente étude examine si le remplacement d’une partie de l’entraînement en endurance par un entraînement simultané en force et en sprint, influence le métabolisme au repos (RMR) et la masse maigre (LM) chez les athlètes d’endurance masters. Dix-huit cyclistes sur route bien entraînés (55.2±8,4 ans; 7,9±1,1 heures d’entraînement/semaine; Pmax = 323±53 W) ont été affectés à un groupe d’entraînement en force et sprint (CT, n = 9), ou à un groupe de contrôle groupe (CON, n = 9). Le groupe CT a réalisé un entraînement spécifique de 12 semaines alors que le groupe CON maintenait son entraînement d’endurance normal. RMR et LM ont été mesurés avant et après l’entraînement. L’entraînement par a augmenté de façon significative le RMR de 14.2% (1600±244à1828±207 kcal/jour, p<0,05) et la LM de2.0%(61.8±5.5à 63,1±5,4 kg, p<0,05)entreavantetaprèsl’entraînement.Aucunchangementsignificatifentreavantetaprèsl’entraînementn’aétéobservédanslegroupeCON.Cesdonnéessuggèrentqueremplacerunepartiede l’entraînement en endurance par des sprints et des exercices de force pourrait aider à préserver, voire même augmenter, la masse maigre et le métabolisme de repos chez les cyclistes masters. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97380 [article] L’entraînement simultané en force et en sprint augmente le métabolisme de repos chez des cyclistes masters sur route [texte imprimé] / Luke Del Vecchio ; Peter Reaburn ; Jarod Meerkin . - 2020 . - p. 39-50. https://doi.org/10.1051/sm/2020007 Langues : Français (fre) in Science & motricité > 109 (Mars 2020) . - p. 39-50 Mots-clés : athlètes masters  exercices d’endurance  métabolisme basal  composition corporelle  DEXA Résumé : L’entraînement en sprint et en force à haute intensité constitue un puissant stimulus physiologique et, est couramment utilisé dans les programmes d’entraînement des jeunes athlètes d’endurance adultes. Les adaptations potentielles de l’ajout d’exercices de sprint/de force au régime d’entraînement des athlètes d’endurance vieillissants sont mal connues. La présente étude examine si le remplacement d’une partie de l’entraînement en endurance par un entraînement simultané en force et en sprint, influence le métabolisme au repos (RMR) et la masse maigre (LM) chez les athlètes d’endurance masters. Dix-huit cyclistes sur route bien entraînés (55.2±8,4 ans; 7,9±1,1 heures d’entraînement/semaine; Pmax = 323±53 W) ont été affectés à un groupe d’entraînement en force et sprint (CT, n = 9), ou à un groupe de contrôle groupe (CON, n = 9). Le groupe CT a réalisé un entraînement spécifique de 12 semaines alors que le groupe CON maintenait son entraînement d’endurance normal. RMR et LM ont été mesurés avant et après l’entraînement. L’entraînement par a augmenté de façon significative le RMR de 14.2% (1600±244à1828±207 kcal/jour, p<0,05) et la LM de2.0%(61.8±5.5à 63,1±5,4 kg, p<0,05)entreavantetaprèsl’entraînement.Aucunchangementsignificatifentreavantetaprèsl’entraînementn’aétéobservédanslegroupeCON.Cesdonnéessuggèrentqueremplacerunepartiede l’entraînement en endurance par des sprints et des exercices de force pourrait aider à préserver, voire même augmenter, la masse maigre et le métabolisme de repos chez les cyclistes masters. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97380

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Musculoskeletal profile of amateur combat athletes / Luke Del Vecchio in Science & motricité, 113 ([23/11/2021])

Public ISBD [article]  inScience & motricité > 113 [23/11/2021] . - p. 1-9 Titre : Musculoskeletal profile of amateur combat athletes : bodycomposition, muscular strength and striking power Type de document : texte imprimé Auteurs : Luke Del Vecchio ; Nattai Borges Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1-9 Note générale : 2021https://doi.org/10.1051/sm/2021004Science Langues : Français (fre) Mots-clés : muscular balance  mixed martial arts  bone density  lean muscle  punch  kick Résumé : Previous research highlighted positive musculoskeletal adaptations resulting frommechanical forces and loadings distinctive to impacts and movements with sports participation. However, littleis known about these adaptations in combat athletes. The aim of this study was to quantify bone mineraldensity, lean muscle mass and punching and kicking power in amateur male combat athletes.Methods:Thirteen male combat athletes (lightweight and middleweight) volunteered all physiological tests includingdual energy X-ray absorptiometry for bone mineral density (BMD) segmental body composition (lean musclemass, LMM), muscle strength and striking power, sedentary controls (n= 15) were used for selected DXAoutcome variables.Results:There were significant differences (p<0.05) between combat groups for lumbarspine (+5.0%), dominant arm (+4.4%) BMD, and dominant and non-dominant leg LMM (+21.8% and+22.6%). Controls had significantly (p<0.05) high adiposity (+36.8% relative), visceral adipose tissue (VAT)mass (+69.7%), VAT area (+69.5%), lower total body BMD ( 8.4%) and lumbar spine BMD ( 13.8%) thancontrols. No differences in lower limb BMD were seen in combat groups. Arm lean mass differences (dominantversusnon-dominant) were significantly different between combat groups (p<0.05, 4.2%versus7.3%). Therewere no differences in punch/kick power (absolute or relative) between combat groups. 5RM strength (benchand squat) correlated significantly with upper limb striking power (r= 0.57), dominant and non-dominant legBMD (r= 0.67,r= 0.70, respectively) and total body BMD (r= 0.59).Conclusion:BMD and LMM appear tobe particularly important to discriminate between dominant and non-dominant upper limbs and less so forlower limb dominance in recreational combat athletes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97284 [article] Musculoskeletal profile of amateur combat athletes : bodycomposition, muscular strength and striking power [texte imprimé] / Luke Del Vecchio ; Nattai Borges . - 2021 . - p. 1-9. 2021https://doi.org/10.1051/sm/2021004Science Langues : Français (fre) in Science & motricité > 113 [23/11/2021] . - p. 1-9 Mots-clés : muscular balance  mixed martial arts  bone density  lean muscle  punch  kick Résumé : Previous research highlighted positive musculoskeletal adaptations resulting frommechanical forces and loadings distinctive to impacts and movements with sports participation. However, littleis known about these adaptations in combat athletes. The aim of this study was to quantify bone mineraldensity, lean muscle mass and punching and kicking power in amateur male combat athletes.Methods:Thirteen male combat athletes (lightweight and middleweight) volunteered all physiological tests includingdual energy X-ray absorptiometry for bone mineral density (BMD) segmental body composition (lean musclemass, LMM), muscle strength and striking power, sedentary controls (n= 15) were used for selected DXAoutcome variables.Results:There were significant differences (p<0.05) between combat groups for lumbarspine (+5.0%), dominant arm (+4.4%) BMD, and dominant and non-dominant leg LMM (+21.8% and+22.6%). Controls had significantly (p<0.05) high adiposity (+36.8% relative), visceral adipose tissue (VAT)mass (+69.7%), VAT area (+69.5%), lower total body BMD ( 8.4%) and lumbar spine BMD ( 13.8%) thancontrols. No differences in lower limb BMD were seen in combat groups. Arm lean mass differences (dominantversusnon-dominant) were significantly different between combat groups (p<0.05, 4.2%versus7.3%). Therewere no differences in punch/kick power (absolute or relative) between combat groups. 5RM strength (benchand squat) correlated significantly with upper limb striking power (r= 0.57), dominant and non-dominant legBMD (r= 0.67,r= 0.70, respectively) and total body BMD (r= 0.59).Conclusion:BMD and LMM appear tobe particularly important to discriminate between dominant and non-dominant upper limbs and less so forlower limb dominance in recreational combat athletes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97284

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The effects of modified Taekwondo on measures of functional fitness in older adults: a pilot study / Luke Del Vecchio in Science & motricité, 116 (avril 2022)

Public ISBD [article]  inScience & motricité > 116 (avril 2022) . - p. 5-16 Titre : The effects of modified Taekwondo on measures of functional fitness in older adults: a pilot study Titre original : Les effets du taekwondo modifié sur les mesures de la condition physique fonctionnelle chez les personnes âgées : une étude pilote Type de document : texte imprimé Auteurs : Luke Del Vecchio ; Ben Exton ; Michael Climstein Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 5-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : force  arts martiaux  souplesse  coordination  équilibre Résumé : La condition physique fonctionnelle se détériore avec l'âge, ce qui a des effets néfastes sur la santé et l’autonomie. Le taekwondo est une forme traditionnelle d’entraînement aux arts martiaux qui a montré plusieurs effets positifs sur la condition physique chez les jeunes adultes. Cependant, peu de recherches ont étudié l’impact d’un entraînement modifié au taekwondo chez les personnes âgées. Par conséquent, cette étude visait à mettre en œuvre un programme de taekwondo modifié pour les personnes âgées de plus de 60 ans et à déterminer son impact sur la condition physique fonctionnelle. Quinze participants d’un cours de taekwondo (âge moyen : 72,7 ans) et dix témoins non pratiquants (âge moyen : 73,8 ans) ont participé. L’aptitude fonctionnelle de tous les participants a été pré-testée et post-testée à l’aide des mesures suivantes: = test doigt-nez (FTNT = position chronométrée sur une jambe (TSLS), chronométré et partez (TUG) = test assis-debout de 30 secondes), test de flexion des bras de 30 secondes (ACT), pas en place de deux minutes (2SIPT), test d’assise et d’atteinte de la chaise (CSRT), test de rayure du dos (BST). L’analyse de la variance pour un design mixte a été utilisée pour évaluer les différences au niveau de signification de 0,05. Aucune différence significative n’a été trouvée entre les mesures pré-test et post-test pour les deux groupes. La taille de l’effet a montré que l’intervention avait un faible effet sur la coordination œil-main, l'équilibre chronométré d’une jambe, la force des membres supérieurs. Malgré des améliorations encourageantes de l'équilibre, de la capacité aérobie et de la flexibilité des membres inférieurs, six semaines d’entraînement de taekwondo modifié n’ont pas amélioré de manière significative les mesures de condition physique fonctionnelle chez les personnes âgées vivant dans la communauté. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109746 [article] The effects of modified Taekwondo on measures of functional fitness in older adults: a pilot study = Les effets du taekwondo modifié sur les mesures de la condition physique fonctionnelle chez les personnes âgées : une étude pilote [texte imprimé] / Luke Del Vecchio ; Ben Exton ; Michael Climstein . - 2022 . - p. 5-16. Langues : Français (fre) in Science & motricité > 116 (avril 2022) . - p. 5-16 Mots-clés : force  arts martiaux  souplesse  coordination  équilibre Résumé : La condition physique fonctionnelle se détériore avec l'âge, ce qui a des effets néfastes sur la santé et l’autonomie. Le taekwondo est une forme traditionnelle d’entraînement aux arts martiaux qui a montré plusieurs effets positifs sur la condition physique chez les jeunes adultes. Cependant, peu de recherches ont étudié l’impact d’un entraînement modifié au taekwondo chez les personnes âgées. Par conséquent, cette étude visait à mettre en œuvre un programme de taekwondo modifié pour les personnes âgées de plus de 60 ans et à déterminer son impact sur la condition physique fonctionnelle. Quinze participants d’un cours de taekwondo (âge moyen : 72,7 ans) et dix témoins non pratiquants (âge moyen : 73,8 ans) ont participé. L’aptitude fonctionnelle de tous les participants a été pré-testée et post-testée à l’aide des mesures suivantes: = test doigt-nez (FTNT = position chronométrée sur une jambe (TSLS), chronométré et partez (TUG) = test assis-debout de 30 secondes), test de flexion des bras de 30 secondes (ACT), pas en place de deux minutes (2SIPT), test d’assise et d’atteinte de la chaise (CSRT), test de rayure du dos (BST). L’analyse de la variance pour un design mixte a été utilisée pour évaluer les différences au niveau de signification de 0,05. Aucune différence significative n’a été trouvée entre les mesures pré-test et post-test pour les deux groupes. La taille de l’effet a montré que l’intervention avait un faible effet sur la coordination œil-main, l'équilibre chronométré d’une jambe, la force des membres supérieurs. Malgré des améliorations encourageantes de l'équilibre, de la capacité aérobie et de la flexibilité des membres inférieurs, six semaines d’entraînement de taekwondo modifié n’ont pas amélioré de manière significative les mesures de condition physique fonctionnelle chez les personnes âgées vivant dans la communauté. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109746

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