Faut-il se confronter à meilleur que soi ? Effets de l’intensité de la comparaison sociale ascendante sur l’évaluation de soi et la performance motrice / Maxime Charrier in Science & motricité, 112 ([23/11/2021])

Public ISBD [article]  inScience & motricité > 112 [23/11/2021] . - 1-9 Titre : Faut-il se confronter à meilleur que soi ? Effets de l’intensité de la comparaison sociale ascendante sur l’évaluation de soi et la performance motrice Type de document : texte imprimé Auteurs : Maxime Charrier ; oliver Rascle ; David Le Foll Année de publication : 2021 Article en page(s) : 1-9 Note générale : https://doi.org/10.1051/sm/2021009 Langues : Français (fre) Mots-clés : cible de comparaison  évaluation de soi  habileté motrice  feedback Résumé : L’objectif de cette étude était d’observer l’influence de l’intensité d’un feedback de comparaison sociale ascendante sur l’évaluation de soi et la performance motrice d’élèves français lors d’une tâche d’équilibre. L’étude s’est déroulée en deux phases. La première était consacrée à la sélection des cibles de comparaison. Les participants, 76 élèves, 31filles et 45 garçons (M âge= 12,7 ans), devaient mentionner le nom des élèves avec lesquels ils avaient l’habitude de se comparer en éducation physique et sportive. Trois semaines plus tard,35 élèves garçons (M âge= 12,8 ans) ont participé à la phase 2. Au temps 1, ils réalisaient une première performance puis remplissaient une mesure d’évaluation de soi. La semaine suivante, au temps 2, ils étaient exposés à un feedback de comparaison ascendante (modérée, CAM, performance 1 de la cible de comparaison légèrement supérieure, 30 %,versus forte, CAF, 120 %). Il leur était alors demandé une seconde évaluation de soi, une mesure de leurs attentes de réussite ainsi qu’une seconde performance sur cette même tâche. Les résultats révèlent une diminution de l’évaluation de soi suite au feedback de CAF, ce qui n’est pas le cas dans la condition CAM. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97278 [article] Faut-il se confronter à meilleur que soi ? Effets de l’intensité de la comparaison sociale ascendante sur l’évaluation de soi et la performance motrice [texte imprimé] / Maxime Charrier ; oliver Rascle ; David Le Foll . - 2021 . - 1-9. https://doi.org/10.1051/sm/2021009 Langues : Français (fre) in Science & motricité > 112 [23/11/2021] . - 1-9 Mots-clés : cible de comparaison  évaluation de soi  habileté motrice  feedback Résumé : L’objectif de cette étude était d’observer l’influence de l’intensité d’un feedback de comparaison sociale ascendante sur l’évaluation de soi et la performance motrice d’élèves français lors d’une tâche d’équilibre. L’étude s’est déroulée en deux phases. La première était consacrée à la sélection des cibles de comparaison. Les participants, 76 élèves, 31filles et 45 garçons (M âge= 12,7 ans), devaient mentionner le nom des élèves avec lesquels ils avaient l’habitude de se comparer en éducation physique et sportive. Trois semaines plus tard,35 élèves garçons (M âge= 12,8 ans) ont participé à la phase 2. Au temps 1, ils réalisaient une première performance puis remplissaient une mesure d’évaluation de soi. La semaine suivante, au temps 2, ils étaient exposés à un feedback de comparaison ascendante (modérée, CAM, performance 1 de la cible de comparaison légèrement supérieure, 30 %,versus forte, CAF, 120 %). Il leur était alors demandé une seconde évaluation de soi, une mesure de leurs attentes de réussite ainsi qu’une seconde performance sur cette même tâche. Les résultats révèlent une diminution de l’évaluation de soi suite au feedback de CAF, ce qui n’est pas le cas dans la condition CAM. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97278

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Rester chez soi en période de pandémie à la Covid-19 : effets sur le bien-être et l’activité physique chez une population de femmes en surpoids ou en obésité / David Le Foll in Science & motricité, 122 (Août 2023)

Public ISBD [article]  inScience & motricité > 122 (Août 2023) . - p. 7-18 Titre : Rester chez soi en période de pandémie à la Covid-19 : effets sur le bien-être et l’activité physique chez une population de femmes en surpoids ou en obésité Type de document : document électronique Auteurs : David Le Foll ; Olivier Rascle ; Lisa Moyon ; Aïna Chalabaev Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 7-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pandémie de Covid-19  Indice de masse corporelle  Confinement  Bien-être  Activité physique Résumé : Contexte : Entre mars et mai 2020, la pandémie de Covid-19 a amené les gouvernements à prendre des mesures spécifiques de confinement des populations. Les recherches ont rapidement défini l’obésité comme un facteur de risque de développer des formes sévères de la maladie, mais aucune ne s’est intéressée spécifiquement aux effets du confinement sur le bien-être psychologique et le niveau d’activité physique chez cette population. L’objectif de cette étude était d’analyser l’évolution (avant vs. pendant le confinement) des niveaux de bien-être perçu et d’activité physique chez une population de femmes adultes en surpoids ou en obésité. Méthodes : 250 femmes, réparties dans une des 5 catégories d’Indice de Masse Corporelle (IMC ; normo-pondérées, surpoids, obésité I, II ou III), ont répondu à des questionnaires en ligne concernant la perception de leur bien-être psychologique et leur niveau d’activité physique en amont et après un mois (± 1 semaine) de confinement. Résultats : Cette étude a montré que l’IMC est un facteur associé au bien-être et au niveau d’activité physique. Ils ont notamment révélé que les femmes en surpoids ou en obésité ont perçu une baisse significative de leur bien-être psychologique, des émotions positives et du niveau d’activité physique. À l’inverse, les femmes normo-pondérées ont significativement augmenté leur niveau d’activité physique sans connaître de baisse de leur perception de bien-être. Conclusion : Cette étude souligne l’importance de prendre en compte le bien-être psychologique et le niveau d’activité physique des femmes en surpoids ou obèses pendant toute période de confinement qui pourrait survenir lors de futures pandémies. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121389 [article] Rester chez soi en période de pandémie à la Covid-19 : effets sur le bien-être et l’activité physique chez une population de femmes en surpoids ou en obésité [document électronique] / David Le Foll ; Olivier Rascle ; Lisa Moyon ; Aïna Chalabaev . - 2023 . - p. 7-18. Langues : Français (fre) in Science & motricité > 122 (Août 2023) . - p. 7-18 Mots-clés : Pandémie de Covid-19  Indice de masse corporelle  Confinement  Bien-être  Activité physique Résumé : Contexte : Entre mars et mai 2020, la pandémie de Covid-19 a amené les gouvernements à prendre des mesures spécifiques de confinement des populations. Les recherches ont rapidement défini l’obésité comme un facteur de risque de développer des formes sévères de la maladie, mais aucune ne s’est intéressée spécifiquement aux effets du confinement sur le bien-être psychologique et le niveau d’activité physique chez cette population. L’objectif de cette étude était d’analyser l’évolution (avant vs. pendant le confinement) des niveaux de bien-être perçu et d’activité physique chez une population de femmes adultes en surpoids ou en obésité. Méthodes : 250 femmes, réparties dans une des 5 catégories d’Indice de Masse Corporelle (IMC ; normo-pondérées, surpoids, obésité I, II ou III), ont répondu à des questionnaires en ligne concernant la perception de leur bien-être psychologique et leur niveau d’activité physique en amont et après un mois (± 1 semaine) de confinement. Résultats : Cette étude a montré que l’IMC est un facteur associé au bien-être et au niveau d’activité physique. Ils ont notamment révélé que les femmes en surpoids ou en obésité ont perçu une baisse significative de leur bien-être psychologique, des émotions positives et du niveau d’activité physique. À l’inverse, les femmes normo-pondérées ont significativement augmenté leur niveau d’activité physique sans connaître de baisse de leur perception de bien-être. Conclusion : Cette étude souligne l’importance de prendre en compte le bien-être psychologique et le niveau d’activité physique des femmes en surpoids ou obèses pendant toute période de confinement qui pourrait survenir lors de futures pandémies. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121389

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