Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 52, n°3Paru le : 01/04/2009 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierEvaluation of the effectiveness of botulinum toxin injections in the lower limb muscles of children with cerebral palsy. Preliminary prospective study of the advantages of ultrasound guidance in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 52, n°3 (Avril 2009)
[article]
Titre : Evaluation of the effectiveness of botulinum toxin injections in the lower limb muscles of children with cerebral palsy. Preliminary prospective study of the advantages of ultrasound guidance Titre original : Évaluation de l'efficacité de l'injection de toxine botulique dans les muscles des membres inférieurs chez l'enfant infirme moteur cérébral. Etude prospective préliminaire, intérêt du guidage échographique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.215-223 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Évaluer l’efficacité des injections de toxine botulinique A en fonction de l’âge des enfants infirmes moteurs cérébraux, de la dose injectée, de la dilution, des sites injectés et de la méthode de repérage (clinique ou sous échographie).
Matériel et méthode
Tout enfant suivi entre mai 2005 et mai 2006 présentant une infirmité motrice cérébrale nécessitant l’injection de toxine botulinique au niveau des adducteurs, ischio-jambiers, gastrocnémiens et/ou soléaires pouvait être inclus. L’évaluation pré- et post-toxine se faisait sur l’examen clinique analytique et par l’Évaluation motrice fonctionnelle globale 88 (EMFG-88).
Résultats
Cinquante-quatre enfants inclus. Trente enfants ont été injectés sous échographie. L’efficacité clinique globale est de 51 %. Elle est significativement meilleure chez les enfants de moins de six ans et plus de 12ans, lorsque la dose est supérieure à 0,8UI/kg par muscle de Botox®, lorsque les muscles injectés sont les ischio-jambiers ou les gastrocnémiens et lorsque le repérage est réalisé sous échographie. La dilution du produit n’a pas d’effet sur l’efficacité clinique. La fonction est améliorée à un mois chez 24 % des enfants. L’amélioration fonctionnelle est significativement meilleure chez les moins de six ans, et lorsque le repérage s’est fait sous échographie.
Conclusion
Cette étude confirme la meilleure efficacité de l’injection de toxine botulinique chez les enfants les plus jeunes, injectés à des doses supérieures à 0,8UI/kg par muscle de Botox® et sous repérage échographique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24402
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.215-223[article] Evaluation of the effectiveness of botulinum toxin injections in the lower limb muscles of children with cerebral palsy. Preliminary prospective study of the advantages of ultrasound guidance = Évaluation de l'efficacité de l'injection de toxine botulique dans les muscles des membres inférieurs chez l'enfant infirme moteur cérébral. Etude prospective préliminaire, intérêt du guidage échographique [texte imprimé] . - 2009 . - pp.215-223.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.215-223
Résumé : Objectif
Évaluer l’efficacité des injections de toxine botulinique A en fonction de l’âge des enfants infirmes moteurs cérébraux, de la dose injectée, de la dilution, des sites injectés et de la méthode de repérage (clinique ou sous échographie).
Matériel et méthode
Tout enfant suivi entre mai 2005 et mai 2006 présentant une infirmité motrice cérébrale nécessitant l’injection de toxine botulinique au niveau des adducteurs, ischio-jambiers, gastrocnémiens et/ou soléaires pouvait être inclus. L’évaluation pré- et post-toxine se faisait sur l’examen clinique analytique et par l’Évaluation motrice fonctionnelle globale 88 (EMFG-88).
Résultats
Cinquante-quatre enfants inclus. Trente enfants ont été injectés sous échographie. L’efficacité clinique globale est de 51 %. Elle est significativement meilleure chez les enfants de moins de six ans et plus de 12ans, lorsque la dose est supérieure à 0,8UI/kg par muscle de Botox®, lorsque les muscles injectés sont les ischio-jambiers ou les gastrocnémiens et lorsque le repérage est réalisé sous échographie. La dilution du produit n’a pas d’effet sur l’efficacité clinique. La fonction est améliorée à un mois chez 24 % des enfants. L’amélioration fonctionnelle est significativement meilleure chez les moins de six ans, et lorsque le repérage s’est fait sous échographie.
Conclusion
Cette étude confirme la meilleure efficacité de l’injection de toxine botulinique chez les enfants les plus jeunes, injectés à des doses supérieures à 0,8UI/kg par muscle de Botox® et sous repérage échographique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24402 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtValue and efficacy of early supported discharge from stroke units in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 52, n°3 (Avril 2009)
[article]
Titre : Value and efficacy of early supported discharge from stroke units Titre original : Intérêt et efficience de la sortie précoce et accompagnée des unités neurovasculaires Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.224-233 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs
Les objectifs de la sortie précoce et accompagnée (SPA) sont de réduire la durée d’hospitalisation dans l’unité neurovasculaire (UNV) et de gérer la rééducation pendant le séjour puis au domicile. Ici, nous avons présenté et discuté son efficacité chez les patients victimes d’un accident vasculaire cérébral (AVC).
Méthodes
Analyse des études comparatives randomisées et des méta-analyses à partir des bases de données Medline et Cochrane.
Résultats
L’effet de la SPA a été évalué dans plus de dix études ayant inclus des patients ayant généralement un AVC de sévérité légère ou moyenne. Les méta-analyses ont montré un effet positif, en comparaison avec la prise en charge usuelle, sur le risque de décès ou d’institutionnalisation et de décès ou de dépendance, et la participation aux activités de vie quotidienne instrumentales (AVQi). La durée d’hospitalisation en UNV et le coût global de la prise en charge étaient significativement réduits. Les études individuelles montraient une variabilité dans les critères d’inclusion, le type de prise en charge, les comparaisons effectuées et les résultats. La supériorité sur le risque de décès ou de dépendance était principalement décrite dans une étude norvégienne, celle sur la participation aux AVQi dans une étude suédoise. Il n’y avait pas d’effet spécifique sur les fonctions déficitaires et les AVQ personnelles.
Discussion
Cette technique diminue la durée d’hospitalisation et le coût global, tout en réduisant le risque de décès ou d’institutionnalisation et en favorisant la participation aux AVQi. Les études sur le sujet ne sont cependant pas équivalentes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24403
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.224-233[article] Value and efficacy of early supported discharge from stroke units = Intérêt et efficience de la sortie précoce et accompagnée des unités neurovasculaires [texte imprimé] . - 2009 . - pp.224-233.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.224-233
Résumé : Objectifs
Les objectifs de la sortie précoce et accompagnée (SPA) sont de réduire la durée d’hospitalisation dans l’unité neurovasculaire (UNV) et de gérer la rééducation pendant le séjour puis au domicile. Ici, nous avons présenté et discuté son efficacité chez les patients victimes d’un accident vasculaire cérébral (AVC).
Méthodes
Analyse des études comparatives randomisées et des méta-analyses à partir des bases de données Medline et Cochrane.
Résultats
L’effet de la SPA a été évalué dans plus de dix études ayant inclus des patients ayant généralement un AVC de sévérité légère ou moyenne. Les méta-analyses ont montré un effet positif, en comparaison avec la prise en charge usuelle, sur le risque de décès ou d’institutionnalisation et de décès ou de dépendance, et la participation aux activités de vie quotidienne instrumentales (AVQi). La durée d’hospitalisation en UNV et le coût global de la prise en charge étaient significativement réduits. Les études individuelles montraient une variabilité dans les critères d’inclusion, le type de prise en charge, les comparaisons effectuées et les résultats. La supériorité sur le risque de décès ou de dépendance était principalement décrite dans une étude norvégienne, celle sur la participation aux AVQi dans une étude suédoise. Il n’y avait pas d’effet spécifique sur les fonctions déficitaires et les AVQ personnelles.
Discussion
Cette technique diminue la durée d’hospitalisation et le coût global, tout en réduisant le risque de décès ou d’institutionnalisation et en favorisant la participation aux AVQi. Les études sur le sujet ne sont cependant pas équivalentes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24403 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtWhich factors affect the duration of inpatient rehabilitation after total knee arthroplasty in the absence of complications? in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 52, n°3 (Avril 2009)
[article]
Titre : Which factors affect the duration of inpatient rehabilitation after total knee arthroplasty in the absence of complications? Titre original : Quels sont les facteurs qui affectent la durée de séjour en hospitalisation pour rééducation après prothèse totale du genou non compliquée? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.234-245 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Le but de cette étude a été de déterminer quels facteurs étaient capables de prédire la durée d’hospitalisation en rééducation des patients opérés d’une prothèse totale de genou non compliquée.
Méthode
Deux cent quatre-vingt-deux patients qui ont bénéficié d’une prothèse totale de genou de première intention pour gonarthrose primitive ont été inclus. L’objectif du programme de rééducation était de récupérer 90 degrés de flexion active de genou et un bon état fonctionnel autorisant un retour directement à domicile. Les patients qui ont présenté des complications ont été exclus. Les facteurs démographiques, les comorbidités, les antécédents de prothèses de membre inférieur, la présence d’une aide ménagère, le vécu douloureux (EVA) et les facteurs fonctionnels ont été analysés avant la chirurgie. La durée de séjour en unité chirurgicale d’orthopédie a été prise en considération. La durée de séjour en hospitalisation pour rééducation dans un centre hospitalier régional non universitaire a été analysée afin de déterminer les facteurs de prédiction selon une régression linéaire univariée puis selon une analyse multivariée.
Résultats
La durée de séjour (24,1±8,1 jours) dépend du sexe féminin, du fait de vivre seul, de la présence d’une aide ménagère et des antécédents de prothèse (p<0,25). Quand ces facteurs sont introduits afin d’établir le modèle prédictif en utilisant une analyse multivariée, seulement 2 % de la variation de la durée de séjour est expliquée.
Conclusion
La durée de séjour en hospitalisation pour rééducation après prothèse totale du genou non compliquée ne peut pas être modélisée statistiquement à partir des paramètres préopératoires étudiés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24404
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.234-245[article] Which factors affect the duration of inpatient rehabilitation after total knee arthroplasty in the absence of complications? = Quels sont les facteurs qui affectent la durée de séjour en hospitalisation pour rééducation après prothèse totale du genou non compliquée? [texte imprimé] . - 2009 . - pp.234-245.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.234-245
Résumé : Objectif
Le but de cette étude a été de déterminer quels facteurs étaient capables de prédire la durée d’hospitalisation en rééducation des patients opérés d’une prothèse totale de genou non compliquée.
Méthode
Deux cent quatre-vingt-deux patients qui ont bénéficié d’une prothèse totale de genou de première intention pour gonarthrose primitive ont été inclus. L’objectif du programme de rééducation était de récupérer 90 degrés de flexion active de genou et un bon état fonctionnel autorisant un retour directement à domicile. Les patients qui ont présenté des complications ont été exclus. Les facteurs démographiques, les comorbidités, les antécédents de prothèses de membre inférieur, la présence d’une aide ménagère, le vécu douloureux (EVA) et les facteurs fonctionnels ont été analysés avant la chirurgie. La durée de séjour en unité chirurgicale d’orthopédie a été prise en considération. La durée de séjour en hospitalisation pour rééducation dans un centre hospitalier régional non universitaire a été analysée afin de déterminer les facteurs de prédiction selon une régression linéaire univariée puis selon une analyse multivariée.
Résultats
La durée de séjour (24,1±8,1 jours) dépend du sexe féminin, du fait de vivre seul, de la présence d’une aide ménagère et des antécédents de prothèse (p<0,25). Quand ces facteurs sont introduits afin d’établir le modèle prédictif en utilisant une analyse multivariée, seulement 2 % de la variation de la durée de séjour est expliquée.
Conclusion
La durée de séjour en hospitalisation pour rééducation après prothèse totale du genou non compliquée ne peut pas être modélisée statistiquement à partir des paramètres préopératoires étudiés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24404 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtTreatment of muscle trauma in sportspeople (from injury on the field to resumption of the sport) in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 52, n°3 (Avril 2009)
[article]
Titre : Treatment of muscle trauma in sportspeople (from injury on the field to resumption of the sport) Titre original : Prise en charge thérapeutique des lésions musculaires du sportif (de la blessure sur le terrain à la reprise du sport) Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.246-255 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
La traumatologie musculaire est principalement d’origine sportive et représente 10 à 55 % de l’ensemble des blessures sportives. Les connaissances sur le traitement sont encore limitées. Nous avons conduit une étude dont le but est double : connaître la prise en charge initiale de la lésion musculaire du sportif ; apprécier l’observance du traitement par rééducation et connaître son impact sur la guérison de la lésion musculaire.
Méthode
Pendant un an, tous les patients consultants pour une douleur musculaire aiguë apparue en sport, ayant consulté un seul médecin du cabinet de médecine du sport du Questel (Brest), ont été inclus. Outre un interrogatoire sur les circonstances de survenu, les antécédents, le patient était interrogé sur la prise en charge initiale (protocole RICE). Après l’examen clinique suivi de l’échographie et, une fois la gestion d’un éventuel hématome réglée, le patient était adressé au kinésithérapeute de son choix, avec le même protocole de rééducation (musculation, vélo, conseils pour la reprise du sport). Puis le patient était contacté, à deux reprises, par téléphone : au quatrième mois (pour connaître la date de reprise du sport doux et du sport au même niveau égale à la guérison, savoir si le patient avait fait la rééducation prescrite et si le kinésithérapeute avait respecté la prescription) et au 15e mois (pour connaître les récidives et/ou autre lésion musculaire). Nous avons distingué deux groupes: le « groupe 1 » : patients ayant pu reprendre totalement le sport dans les 40 jours (lésions musculaires mineures) et le « groupe 2 » : patients ayant pu reprendre totalement le sport au-delà du 40e jour (lésions musculaires majeures). Nous avons comparé les deux groupes pour rechercher les facteurs associés au devenir.
Résultats
Quatre-vingt-quinze cas ont été inclus avec 93 patients (deux patients avec deux lésions différentes) ; protocole RICE : l’arrêt du sport a été immédiat dans 90 cas et retardé dans cinq cas. La glace a été appliquée dans 57 cas (60 %). La compression a été faite dans 17 cas (17,8 %). Il y avait 34 patients (soit 35,8 %) dans le groupe 1 avec, en moyenne, une reprise du sport doux au 11e jour et une reprise totale du sport au 23e jour et 61 patients (64,2 %) dans le groupe 2 avec, en moyenne, une reprise du sport doux au 39e jour et une reprise totale du sport au 69e jour. Observance de la prescription : la rééducation prescrite n’a été faite que dans 62 cas (64,5 %), sans différence significative entre les groupes 1 et 2. Respect de la prescription par le kinésithérapeute : pour ces 62 patients, 40 ont fait du travail musculaire, 29 ont fait du vélo et 58 ont eu des conseils pour leur reprise du sport. Reprise du sport : le temps d’indisponibilité sportive est statistiquement le même que la rééducation soit faite ou pas, avec ou sans musculation, aussi bien pour le groupe 1 que le groupe 2. Pour le second appel téléphonique, nous avons obtenu 84 réponses (88 %) : sept patients (8 %) ont récidivé sur le même groupe musculaire (pas de différence entre les groupes 1 et 2) et 22 patients (26 %) ont eu une autre lésion musculaire.
Conclusion
Le protocole RICE pourrait être optimisé, notamment sur la compression. Pour la rééducation, l’observance thérapeutique est moyenne et les kinésithérapeutes respectent mal la prescription médicale mais, aussi bien pour les lésions musculaires mineures que majeures, la rééducation, telle qu’elle est faite par les kinésithérapeutes, ne permet pas une guérison plus rapide.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24405
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.246-255[article] Treatment of muscle trauma in sportspeople (from injury on the field to resumption of the sport) = Prise en charge thérapeutique des lésions musculaires du sportif (de la blessure sur le terrain à la reprise du sport) [texte imprimé] . - 2009 . - pp.246-255.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.246-255
Résumé : Objectif
La traumatologie musculaire est principalement d’origine sportive et représente 10 à 55 % de l’ensemble des blessures sportives. Les connaissances sur le traitement sont encore limitées. Nous avons conduit une étude dont le but est double : connaître la prise en charge initiale de la lésion musculaire du sportif ; apprécier l’observance du traitement par rééducation et connaître son impact sur la guérison de la lésion musculaire.
Méthode
Pendant un an, tous les patients consultants pour une douleur musculaire aiguë apparue en sport, ayant consulté un seul médecin du cabinet de médecine du sport du Questel (Brest), ont été inclus. Outre un interrogatoire sur les circonstances de survenu, les antécédents, le patient était interrogé sur la prise en charge initiale (protocole RICE). Après l’examen clinique suivi de l’échographie et, une fois la gestion d’un éventuel hématome réglée, le patient était adressé au kinésithérapeute de son choix, avec le même protocole de rééducation (musculation, vélo, conseils pour la reprise du sport). Puis le patient était contacté, à deux reprises, par téléphone : au quatrième mois (pour connaître la date de reprise du sport doux et du sport au même niveau égale à la guérison, savoir si le patient avait fait la rééducation prescrite et si le kinésithérapeute avait respecté la prescription) et au 15e mois (pour connaître les récidives et/ou autre lésion musculaire). Nous avons distingué deux groupes: le « groupe 1 » : patients ayant pu reprendre totalement le sport dans les 40 jours (lésions musculaires mineures) et le « groupe 2 » : patients ayant pu reprendre totalement le sport au-delà du 40e jour (lésions musculaires majeures). Nous avons comparé les deux groupes pour rechercher les facteurs associés au devenir.
Résultats
Quatre-vingt-quinze cas ont été inclus avec 93 patients (deux patients avec deux lésions différentes) ; protocole RICE : l’arrêt du sport a été immédiat dans 90 cas et retardé dans cinq cas. La glace a été appliquée dans 57 cas (60 %). La compression a été faite dans 17 cas (17,8 %). Il y avait 34 patients (soit 35,8 %) dans le groupe 1 avec, en moyenne, une reprise du sport doux au 11e jour et une reprise totale du sport au 23e jour et 61 patients (64,2 %) dans le groupe 2 avec, en moyenne, une reprise du sport doux au 39e jour et une reprise totale du sport au 69e jour. Observance de la prescription : la rééducation prescrite n’a été faite que dans 62 cas (64,5 %), sans différence significative entre les groupes 1 et 2. Respect de la prescription par le kinésithérapeute : pour ces 62 patients, 40 ont fait du travail musculaire, 29 ont fait du vélo et 58 ont eu des conseils pour leur reprise du sport. Reprise du sport : le temps d’indisponibilité sportive est statistiquement le même que la rééducation soit faite ou pas, avec ou sans musculation, aussi bien pour le groupe 1 que le groupe 2. Pour le second appel téléphonique, nous avons obtenu 84 réponses (88 %) : sept patients (8 %) ont récidivé sur le même groupe musculaire (pas de différence entre les groupes 1 et 2) et 22 patients (26 %) ont eu une autre lésion musculaire.
Conclusion
Le protocole RICE pourrait être optimisé, notamment sur la compression. Pour la rééducation, l’observance thérapeutique est moyenne et les kinésithérapeutes respectent mal la prescription médicale mais, aussi bien pour les lésions musculaires mineures que majeures, la rééducation, telle qu’elle est faite par les kinésithérapeutes, ne permet pas une guérison plus rapide.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24405 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSacral reflexes and urinary incontinence in women: New concepts in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 52, n°3 (Avril 2009)
[article]
Titre : Sacral reflexes and urinary incontinence in women: New concepts Titre original : Continence urinaire chez la femme et réflexes périnéaux : nouveaux concepts Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.256-268 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
La physiologie de la continence urinaire à l’effort est complexe et les rôles respectifs des mécanismes actifs et passifs mis en jeu demeurent mal connus. De nombreux réflexes périnéaux sont impliqués dans cette continence. Cette revue de la littérature se focalise sur les mécanismes neuromusculaires réflexes impliqués dans la physiopathologie de l’incontinence urinaire à l’effort de la femme.
Matériel et méthode
Revue systématique de la littérature à partir des bases de données Medline, Pascal et Embase en utilisant les mots clés : réflexe, périnéal, sacré, fatigue, continence, incontinence, plancher pelvien, urètre, pression urétrale, muscle…
Résultats
Depuis quelques années, de nouvelles hypothèses physiopathologiques sont évoquées impliquant des anomalies de la réponse réflexe de la musculature pelvipérinéale dont des anomalies de la cinétique d’activation des muscles pelvipérinéaux lors de la toux. De plus, il pourrait également exister une fatigabilité excessive de la réponse réflexe périnéale chez certaines femmes.
Conclusion
Au total, il existe des arguments en faveur de la participation de dysfonctionnements neuromusculaires dans la physiopathologie de l’incontinence urinaire à l’effort de la femme, en particulier un défaut et un retard d’activation de la musculature du plancher pelvien lors de la toux. Il serait intéressant d’étudier si ces dysfonctionnements neuromusculaires sont réversibles par la rééducation périnéosphinctérienne.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24406
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.256-268[article] Sacral reflexes and urinary incontinence in women: New concepts = Continence urinaire chez la femme et réflexes périnéaux : nouveaux concepts [texte imprimé] . - 2009 . - pp.256-268.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.256-268
Résumé : Objectif
La physiologie de la continence urinaire à l’effort est complexe et les rôles respectifs des mécanismes actifs et passifs mis en jeu demeurent mal connus. De nombreux réflexes périnéaux sont impliqués dans cette continence. Cette revue de la littérature se focalise sur les mécanismes neuromusculaires réflexes impliqués dans la physiopathologie de l’incontinence urinaire à l’effort de la femme.
Matériel et méthode
Revue systématique de la littérature à partir des bases de données Medline, Pascal et Embase en utilisant les mots clés : réflexe, périnéal, sacré, fatigue, continence, incontinence, plancher pelvien, urètre, pression urétrale, muscle…
Résultats
Depuis quelques années, de nouvelles hypothèses physiopathologiques sont évoquées impliquant des anomalies de la réponse réflexe de la musculature pelvipérinéale dont des anomalies de la cinétique d’activation des muscles pelvipérinéaux lors de la toux. De plus, il pourrait également exister une fatigabilité excessive de la réponse réflexe périnéale chez certaines femmes.
Conclusion
Au total, il existe des arguments en faveur de la participation de dysfonctionnements neuromusculaires dans la physiopathologie de l’incontinence urinaire à l’effort de la femme, en particulier un défaut et un retard d’activation de la musculature du plancher pelvien lors de la toux. Il serait intéressant d’étudier si ces dysfonctionnements neuromusculaires sont réversibles par la rééducation périnéosphinctérienne.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24406 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRehabilitation of arm function after stroke. Literature review in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 52, n°3 (Avril 2009)
[article]
Titre : Rehabilitation of arm function after stroke. Literature review Titre original : Rééducation de la préhension après hémiplégie vasculaire. Revue de la littérature Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.269-293 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction
La rééducation du membre supérieur hémiplégique après accident vasculaire cérébral fait l’objet d’une large littérature actuelle. Les nouvelles techniques en cours d’évaluation sont l’application pratique du concept de plasticité cérébrale post-lésionnelle.
Méthodes
Cette revue de la littérature porte sur les essais contrôlés randomisés, revues et méta-analyses publiés en langue anglaise de 2004 à 2008. La recherche a été effectuée dans MEDLINE avec les mots-clés suivants : « upper limb », « stroke », « rehabilitation ».
Résultats
Soixante-six études ont été revues. Les principes thérapeutiques essentiels sont : l’activation du cortex moteur ipsilésionnel, l’inhibition du cortex moteur contralésionnel et la modulation des afférences sensorielles. Conserver une représentation corticale de l’extrémité distale du membre supérieur préviendrait le syndrome de non-utilisation acquise. La modulation des afférences sensorielles est proposée dans ce sens : électrostimulation cutanée distale, anesthésie de la partie proximale du membre parétique, thérapie par miroir, réalité virtuelle. L’intensification de la prise en charge consiste à augmenter le volume horaire total de rééducation dédiée au membre supérieur parétique (stimulations proprioceptives et répétition du mouvement). Elle est facilitée par l’usage du robot en mode actif aidé, l’usage de l’électrostimulation neuromusculaire et par la réalisation de tâches bimanuelles. L’intensification améliore significativement le pronostic fonctionnel de préhension lorsqu’elle est proposée en phase précoce (< six mois). La neurostimulation ipsilésionnelle ou encore l’imagerie mentale ont été évaluées en cas de déficit moteur léger : elles potentialisent l’effet de la répétition du geste. La neurostimulation contralésionnelle ou l’anesthésie de la main saine améliorent la dextérité de la main parétique via une diminution de l’inhibition transcalleuse. Ce mécanisme physiopathologique pourrait aussi expliquer l’effet régulièrement positif de la thérapie de contrainte en situation écologique chez l’hémiparétique chronique.
Conclusion
La répétition intensive du geste dans un objectif fonctionnel est la base de la rééducation du membre supérieur hémiplégique. Cette revue montre que la mobilisation du poignet et de la main parétique est indispensable à toutes les étapes du programme de rééducation. Les nouvelles données issues des neurosciences suggèrent en effet de prioriser l’excitabilité corticospinale ipsilésionnelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24407
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.269-293[article] Rehabilitation of arm function after stroke. Literature review = Rééducation de la préhension après hémiplégie vasculaire. Revue de la littérature [texte imprimé] . - 2009 . - pp.269-293.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 52, n°3 (Avril 2009) . - pp.269-293
Résumé : Introduction
La rééducation du membre supérieur hémiplégique après accident vasculaire cérébral fait l’objet d’une large littérature actuelle. Les nouvelles techniques en cours d’évaluation sont l’application pratique du concept de plasticité cérébrale post-lésionnelle.
Méthodes
Cette revue de la littérature porte sur les essais contrôlés randomisés, revues et méta-analyses publiés en langue anglaise de 2004 à 2008. La recherche a été effectuée dans MEDLINE avec les mots-clés suivants : « upper limb », « stroke », « rehabilitation ».
Résultats
Soixante-six études ont été revues. Les principes thérapeutiques essentiels sont : l’activation du cortex moteur ipsilésionnel, l’inhibition du cortex moteur contralésionnel et la modulation des afférences sensorielles. Conserver une représentation corticale de l’extrémité distale du membre supérieur préviendrait le syndrome de non-utilisation acquise. La modulation des afférences sensorielles est proposée dans ce sens : électrostimulation cutanée distale, anesthésie de la partie proximale du membre parétique, thérapie par miroir, réalité virtuelle. L’intensification de la prise en charge consiste à augmenter le volume horaire total de rééducation dédiée au membre supérieur parétique (stimulations proprioceptives et répétition du mouvement). Elle est facilitée par l’usage du robot en mode actif aidé, l’usage de l’électrostimulation neuromusculaire et par la réalisation de tâches bimanuelles. L’intensification améliore significativement le pronostic fonctionnel de préhension lorsqu’elle est proposée en phase précoce (< six mois). La neurostimulation ipsilésionnelle ou encore l’imagerie mentale ont été évaluées en cas de déficit moteur léger : elles potentialisent l’effet de la répétition du geste. La neurostimulation contralésionnelle ou l’anesthésie de la main saine améliorent la dextérité de la main parétique via une diminution de l’inhibition transcalleuse. Ce mécanisme physiopathologique pourrait aussi expliquer l’effet régulièrement positif de la thérapie de contrainte en situation écologique chez l’hémiparétique chronique.
Conclusion
La répétition intensive du geste dans un objectif fonctionnel est la base de la rééducation du membre supérieur hémiplégique. Cette revue montre que la mobilisation du poignet et de la main parétique est indispensable à toutes les étapes du programme de rééducation. Les nouvelles données issues des neurosciences suggèrent en effet de prioriser l’excitabilité corticospinale ipsilésionnelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24407 Exemplaires (1)
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