Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
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Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Février 2010
Paru le : 01/02/2010
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
The importance of fear, beliefs, catastrophizing and kinesiophobia in chronic low back pain rehabilitation |
Titre original : |
Importance des peurs et croyances, du catastrophisme et de la kinésiophobie chez le lombalgique chronique en rééducation |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
pp.3-14 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectif
Étudier la prévalence des peurs et croyances, du catastrophisme et de la kinésiophobie chez des patients lombalgiques chroniques devant débuter un programme de réentraînement à l’effort en centre de rééducation.
Patients et méthodes
Cinquante patients lombalgiques chroniques des deux sexes ont eu, au cours d’un séjour en service de rhumatologie et médecine physique, une évaluation par des échelles adaptées et validées en français, du handicap, de la qualité de vie et des facteurs psychosociaux associés à leur lombalgie chronique.
Résultats
Dans la population étudiée, 70 % des patients avait un retentissement fonctionnel important (supérieur à 12 points sur l’échelle EIFEL) et près de 73 % avait une altération de la qualité de vie (composante activités quotidiennes de l’échelle DRAD). La douleur lombaire était associée à l’incapacité fonctionnelle et à la dépression mais pas avec le catastrophisme ou la kinésiophobie. Le handicap était corrélé au catastrophisme et à la kinésiophobie.
Conclusion
Les facteurs psychosociaux sont significativement associés au handicap et à l’altération de la qualité de vie du lombalgique chronique. Dans l’avenir, l’élaboration des programmes de rééducation pourrait tenir compte de l’importance des peurs et croyances, du catastrophisme et de la kinésiophobie pour une prise en charge optimale du lombalgique chronique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24358 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.3-14
[article] The importance of fear, beliefs, catastrophizing and kinesiophobia in chronic low back pain rehabilitation = Importance des peurs et croyances, du catastrophisme et de la kinésiophobie chez le lombalgique chronique en rééducation [texte imprimé] . - 2010 . - pp.3-14. Langues : Français ( fre) in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.3-14
Résumé : |
Objectif
Étudier la prévalence des peurs et croyances, du catastrophisme et de la kinésiophobie chez des patients lombalgiques chroniques devant débuter un programme de réentraînement à l’effort en centre de rééducation.
Patients et méthodes
Cinquante patients lombalgiques chroniques des deux sexes ont eu, au cours d’un séjour en service de rhumatologie et médecine physique, une évaluation par des échelles adaptées et validées en français, du handicap, de la qualité de vie et des facteurs psychosociaux associés à leur lombalgie chronique.
Résultats
Dans la population étudiée, 70 % des patients avait un retentissement fonctionnel important (supérieur à 12 points sur l’échelle EIFEL) et près de 73 % avait une altération de la qualité de vie (composante activités quotidiennes de l’échelle DRAD). La douleur lombaire était associée à l’incapacité fonctionnelle et à la dépression mais pas avec le catastrophisme ou la kinésiophobie. Le handicap était corrélé au catastrophisme et à la kinésiophobie.
Conclusion
Les facteurs psychosociaux sont significativement associés au handicap et à l’altération de la qualité de vie du lombalgique chronique. Dans l’avenir, l’élaboration des programmes de rééducation pourrait tenir compte de l’importance des peurs et croyances, du catastrophisme et de la kinésiophobie pour une prise en charge optimale du lombalgique chronique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24358 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Sensitivity to change of the Quebec Back Pain Disability Scale and the Dallas Pain Questionnaire |
Titre original : |
Etude de la sensibilité au changement de l'échelle de Québec et du questionnaire de Dallas |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
pp.15-23 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectif
Étudier la sensibilité au changement de l’échelle de Québec (QBPDS) et la comparer à celle du questionnaire de Dallas (DPQ), en langue française.
Méthode
Étude rétrospective à partir de 30 dossiers de patients lombalgiques chroniques pris en charge lors d’un programme de réentraînement à l’effort sur une période de quatre semaines ; analyse à j0 et j25 du programme, de données cliniques physiques (échelle visuelle analogique, indice de Schöber, test de Sorensen et de Shirado, distance mains-sol), et fonctionnelles avec l’échelle de Québec et le questionnaire de Dallas. L’étude de la sensibilité au changement est effectuée par l’indice de réponse standardisée moyenne (SRM) et par l’effet taille (effect size [ES]).
Résultats
Il existe une amélioration significative du score total et des sous-chelles du QBPDS et du DPQ sauf la dimension « comportements sociaux ». On retrouve une bonne sensibilité au changement du QBPDS (SRM=0,80 ; ES=0,62) et modérée pour DPQ (SRM=0,59 ; ES=0,61).
Discussion-Conclusion
Les résultats de cette étude montre une sensibilité au changement clinique du QBPDS plus satisfaisante que le DPQ dans le cas de la lombalgie chronique. Il serait utile d’évaluer cette sensibilité dans le cas de la lombalgie aiguë ou sub-aiguë, et à distance d’un programme pour déterminer la sensibilité des dimensions « comportements sociaux » du DPQ. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24359 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.15-23
[article] Sensitivity to change of the Quebec Back Pain Disability Scale and the Dallas Pain Questionnaire = Etude de la sensibilité au changement de l'échelle de Québec et du questionnaire de Dallas [texte imprimé] . - 2010 . - pp.15-23. Langues : Français ( fre) in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.15-23
Résumé : |
Objectif
Étudier la sensibilité au changement de l’échelle de Québec (QBPDS) et la comparer à celle du questionnaire de Dallas (DPQ), en langue française.
Méthode
Étude rétrospective à partir de 30 dossiers de patients lombalgiques chroniques pris en charge lors d’un programme de réentraînement à l’effort sur une période de quatre semaines ; analyse à j0 et j25 du programme, de données cliniques physiques (échelle visuelle analogique, indice de Schöber, test de Sorensen et de Shirado, distance mains-sol), et fonctionnelles avec l’échelle de Québec et le questionnaire de Dallas. L’étude de la sensibilité au changement est effectuée par l’indice de réponse standardisée moyenne (SRM) et par l’effet taille (effect size [ES]).
Résultats
Il existe une amélioration significative du score total et des sous-chelles du QBPDS et du DPQ sauf la dimension « comportements sociaux ». On retrouve une bonne sensibilité au changement du QBPDS (SRM=0,80 ; ES=0,62) et modérée pour DPQ (SRM=0,59 ; ES=0,61).
Discussion-Conclusion
Les résultats de cette étude montre une sensibilité au changement clinique du QBPDS plus satisfaisante que le DPQ dans le cas de la lombalgie chronique. Il serait utile d’évaluer cette sensibilité dans le cas de la lombalgie aiguë ou sub-aiguë, et à distance d’un programme pour déterminer la sensibilité des dimensions « comportements sociaux » du DPQ. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24359 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Aging and sequelae of poliomyelitis |
Titre original : |
Vieillissement et séquelles de poliomyélite |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
pp.24-33 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
démarche |
Résumé : |
Objectif
On estime à 50 000 le nombre d’anciens poliomyélitiques en France (moyenne d’âge évaluée entre 50 et 65 ans). Après plusieurs dizaines d’années de stabilité, 30 à 65 % des anciens poliomyélitiques décrivent une dégradation tardive.
Méthode
Revue de la littérature sur PubMed à partir des mots clés « Poliomyélitis » et « Post-Polio Syndrome (PPS) ».
Résultats
Cette dégradation tardive associe asthénie, faiblesse et fatigabilité musculaire, douleurs musculaires et/ou articulaires, fonte musculaire. Le tout entraîne une diminution des capacités de marche, des chutes, une perte d’autonomie… Les causes sont souvent intriquées. Les phénomènes de vieillissement et la prise de poids sont régulièrement en cause. Les troubles respiratoires et les troubles du sommeil doivent être recherchés : insuffisance respiratoire, syndrome des apnées du sommeil (SAS), syndrome des jambes sans repos. Les complications orthopédiques sont courantes : pathologies abarticulaires des membres supérieurs, pathologies dégénératives des grosses articulations ou du rachis, fractures secondaires à des chutes. Enfin, la survenue d’un authentique syndrome post-poliomyélitique (SPP) est possible.
Conclusion
La prise en charge de cette dégradation secondaire nécessite des bilans réguliers afin de mettre en place des mesures préventives et curatives. Elle doit être multidisciplinaire. La rééducation, l’appareillage et les aides techniques ont une place importante. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24360 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.24-33
[article] Aging and sequelae of poliomyelitis = Vieillissement et séquelles de poliomyélite [texte imprimé] . - 2010 . - pp.24-33. Langues : Français ( fre) in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.24-33
Mots-clés : |
démarche |
Résumé : |
Objectif
On estime à 50 000 le nombre d’anciens poliomyélitiques en France (moyenne d’âge évaluée entre 50 et 65 ans). Après plusieurs dizaines d’années de stabilité, 30 à 65 % des anciens poliomyélitiques décrivent une dégradation tardive.
Méthode
Revue de la littérature sur PubMed à partir des mots clés « Poliomyélitis » et « Post-Polio Syndrome (PPS) ».
Résultats
Cette dégradation tardive associe asthénie, faiblesse et fatigabilité musculaire, douleurs musculaires et/ou articulaires, fonte musculaire. Le tout entraîne une diminution des capacités de marche, des chutes, une perte d’autonomie… Les causes sont souvent intriquées. Les phénomènes de vieillissement et la prise de poids sont régulièrement en cause. Les troubles respiratoires et les troubles du sommeil doivent être recherchés : insuffisance respiratoire, syndrome des apnées du sommeil (SAS), syndrome des jambes sans repos. Les complications orthopédiques sont courantes : pathologies abarticulaires des membres supérieurs, pathologies dégénératives des grosses articulations ou du rachis, fractures secondaires à des chutes. Enfin, la survenue d’un authentique syndrome post-poliomyélitique (SPP) est possible.
Conclusion
La prise en charge de cette dégradation secondaire nécessite des bilans réguliers afin de mettre en place des mesures préventives et curatives. Elle doit être multidisciplinaire. La rééducation, l’appareillage et les aides techniques ont une place importante. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24360 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Post-polio syndrome: Pathophysiological hypotheses, diagnosis criteria, medication therapeutics |
Titre original : |
Syndrome post-poliomyélitique : hypothèses physiopathologiques, critères diagnostiques, traitements médicamenteux |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
pp.34-41 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Le syndrome post-poliomyélitique (SPP) est un diagnostic clinique. Il touche les personnes avec des séquelles de poliomyélite qui se plaignent de nouveaux troubles musculosquelettiques, d’une perte de force ou d’endurance musculaire. Un patient avec un SPP est fatigué, douloureux et perçoit de nouvelles déficiences musculaires inhabituelles, que ce soit sur des muscles sains ou déficients à la suite de l’infection par le Poliovirus. Une fois le diagnostic clinique établi, les alternatives thérapeutiques peuvent être discutées. Certains mécanismes physiopathologiques ont été validés par des travaux de recherche (dysrégulation inflammatoire dans le liquide céphalorachidien et cytokines). Un certain nombre de travaux ont été menés pour valider des procédures thérapeutiques médicamenteuses ou des protocoles d’exercices physiques. Cet article fait le point sur l’intérêt et l’efficacité attendue de ces thérapeutiques. Peu d’études thérapeutiques ont conclu à des effets positifs. Les traitements médicamenteux combinés à des exercices physiques individualisés et supervisés apparaissent comme des stratégies thérapeutiques prometteuses pour la prise en charge de personnes atteintes d’un SPP. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24361 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.34-41
[article] Post-polio syndrome: Pathophysiological hypotheses, diagnosis criteria, medication therapeutics = Syndrome post-poliomyélitique : hypothèses physiopathologiques, critères diagnostiques, traitements médicamenteux [texte imprimé] . - 2010 . - pp.34-41. Langues : Français ( fre) in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.34-41
Résumé : |
Le syndrome post-poliomyélitique (SPP) est un diagnostic clinique. Il touche les personnes avec des séquelles de poliomyélite qui se plaignent de nouveaux troubles musculosquelettiques, d’une perte de force ou d’endurance musculaire. Un patient avec un SPP est fatigué, douloureux et perçoit de nouvelles déficiences musculaires inhabituelles, que ce soit sur des muscles sains ou déficients à la suite de l’infection par le Poliovirus. Une fois le diagnostic clinique établi, les alternatives thérapeutiques peuvent être discutées. Certains mécanismes physiopathologiques ont été validés par des travaux de recherche (dysrégulation inflammatoire dans le liquide céphalorachidien et cytokines). Un certain nombre de travaux ont été menés pour valider des procédures thérapeutiques médicamenteuses ou des protocoles d’exercices physiques. Cet article fait le point sur l’intérêt et l’efficacité attendue de ces thérapeutiques. Peu d’études thérapeutiques ont conclu à des effets positifs. Les traitements médicamenteux combinés à des exercices physiques individualisés et supervisés apparaissent comme des stratégies thérapeutiques prometteuses pour la prise en charge de personnes atteintes d’un SPP. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24361 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Post-polio syndrome and rehabilitation |
Titre original : |
La rééducation du syndrome post-polio |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
pp.42-50 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Le syndrome post-poliomyelitique ou « syndrome post-polio » (SPP) est une entité clinique définie par l’association de nouveaux symptômes qui surviennent après une longue période de stabilité chez des personnes qui ont contracté la poliomyélite antérieure aiguë. Les mécanismes de ce syndrome ne sont pas encore élucidés, un épuisement des phénomènes physiologiques de dénervation-réinnervation est suspecté. Les fibres musculaires des muscles partiellement dénervés présentent des modifications structurelles et métaboliques progressives. Cependant, les effets de la rééducation musculaire et de l’entraînement en endurance dans le SPP ont été étudiés, ils sont bénéfiques sur la fonction musculaire et cardiovasculaire avec des modalités de renforcement contre résistance modérée et en entraînement sous-maximal. La balnéothérapie apporte un bénéfice musculaire et sur la douleur. Chez les sujets en situation de fatigue intense, il est souhaitable d’adapter le rythme des activités quotidiennes. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24362 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.42-50
[article] Post-polio syndrome and rehabilitation = La rééducation du syndrome post-polio [texte imprimé] . - 2010 . - pp.42-50. Langues : Français ( fre) in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.42-50
Résumé : |
Le syndrome post-poliomyelitique ou « syndrome post-polio » (SPP) est une entité clinique définie par l’association de nouveaux symptômes qui surviennent après une longue période de stabilité chez des personnes qui ont contracté la poliomyélite antérieure aiguë. Les mécanismes de ce syndrome ne sont pas encore élucidés, un épuisement des phénomènes physiologiques de dénervation-réinnervation est suspecté. Les fibres musculaires des muscles partiellement dénervés présentent des modifications structurelles et métaboliques progressives. Cependant, les effets de la rééducation musculaire et de l’entraînement en endurance dans le SPP ont été étudiés, ils sont bénéfiques sur la fonction musculaire et cardiovasculaire avec des modalités de renforcement contre résistance modérée et en entraînement sous-maximal. La balnéothérapie apporte un bénéfice musculaire et sur la douleur. Chez les sujets en situation de fatigue intense, il est souhaitable d’adapter le rythme des activités quotidiennes. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24362 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Orthotic devices and gait in polio patients |
Titre original : |
Appareillage et marche du patient poliomyélitique |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
pp.51-59 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
démarche |
Résumé : |
La population des patients poliomyélitiques est vieillissante et polypathologique. La marche est rendue difficile par le déficit moteur induit par la maladie mais aussi la prise de poids, la dégénérescence ostéoarticulaire avec les douleurs induites, les complications cardiorespiratoires, voire le syndrome post-polio. Ces troubles de la marche sont pourvoyeurs de chutes dans une population dont le risque fracturaire est important. L’articulation clé est celle du genou. Souvent déficitaires, les muscles stabilisateurs de genou sont compensés par des stratégies de marches qui peuvent à moyen ou long terme être délétère pour l’appareil locomoteur. Le recurvatum de genou permet classiquement de verrouiller le genou lors du pas portant. S’il s’aggrave et dépasse 10°, il devient instable et ne permet plus des déplacements en sécurité. Il nécessite donc une surveillance clinique régulière. L’appareillage est le pivot de la prise en charge du patient poliomyélitique. Il s’attachera souvent à sécuriser le genou, prévenir un récurvatum excessif tout en s’inscrivant dans le schéma de marche habituel du patient. Il doit être léger sans zone d’hyper-appui pour être toléré et donc efficace. Les autres articulations sont moins problématiques et l’appareillage est rarement indiqué uniquement pour ces articulations. La difficulté réside dans l’évaluation, a priori, des retentissements du traitement proposé. Certaines déformations sont aidantes et certaines corrections envisagées, notamment celles voulant se rapprocher de la normalité anatomique, sont délétères. Toute modification d’appareillage et toute chirurgie correctrice des membres inférieurs doit être évaluée avec soins. Cette prise en charge doit être réalisée par des équipes spécialisées. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24363 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.51-59
[article] Orthotic devices and gait in polio patients = Appareillage et marche du patient poliomyélitique [texte imprimé] . - 2010 . - pp.51-59. Langues : Français ( fre) in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.51-59
Mots-clés : |
démarche |
Résumé : |
La population des patients poliomyélitiques est vieillissante et polypathologique. La marche est rendue difficile par le déficit moteur induit par la maladie mais aussi la prise de poids, la dégénérescence ostéoarticulaire avec les douleurs induites, les complications cardiorespiratoires, voire le syndrome post-polio. Ces troubles de la marche sont pourvoyeurs de chutes dans une population dont le risque fracturaire est important. L’articulation clé est celle du genou. Souvent déficitaires, les muscles stabilisateurs de genou sont compensés par des stratégies de marches qui peuvent à moyen ou long terme être délétère pour l’appareil locomoteur. Le recurvatum de genou permet classiquement de verrouiller le genou lors du pas portant. S’il s’aggrave et dépasse 10°, il devient instable et ne permet plus des déplacements en sécurité. Il nécessite donc une surveillance clinique régulière. L’appareillage est le pivot de la prise en charge du patient poliomyélitique. Il s’attachera souvent à sécuriser le genou, prévenir un récurvatum excessif tout en s’inscrivant dans le schéma de marche habituel du patient. Il doit être léger sans zone d’hyper-appui pour être toléré et donc efficace. Les autres articulations sont moins problématiques et l’appareillage est rarement indiqué uniquement pour ces articulations. La difficulté réside dans l’évaluation, a priori, des retentissements du traitement proposé. Certaines déformations sont aidantes et certaines corrections envisagées, notamment celles voulant se rapprocher de la normalité anatomique, sont délétères. Toute modification d’appareillage et toute chirurgie correctrice des membres inférieurs doit être évaluée avec soins. Cette prise en charge doit être réalisée par des équipes spécialisées. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24363 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
The psychological aspects of polio survivors through their life experience |
Titre original : |
Aspects psychologiques du vécu de personnes vivant avec des séquelles de poliomyélite |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
pp.60-67 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs
Les personnes vivant avec des séquelles de poliomyélite ressentent souvent, après des décennies de stabilité, une aggravation secondaire pouvant se traduire par une fatigue générale et musculaire, une baisse de force musculaire et des douleurs. La composante psychologique de ces symptômes a pu être envisagée.
Méthode
Cet article fait le point sur le vécu de ces personnes à partir de la littérature et de l’expérience des auteurs.
Résultats
La littérature ne montre pas chez les anciens polio de fréquence plus grande de troubles psychiques (troubles de la personnalité, dépression) que dans la population générale. En revanche, le retentissement psychique de la diminution des performances, qu’elle qu’en soit la cause, est régulièrement rapportée. Une majorité d’entre eux rapporte une restriction de leur capacité de participation.
Discussion et conclusion
Les caractéristiques du parcours souvent vécu par ces patients dans leur enfance doivent être connues pour comprendre les différentes possibilités d’expression de leurs plaintes et parfois la réticence à faire appel à nouveau au milieu médical. La crainte de la réviviscence de la maladie est avivée par les informations largement répandues sur le syndrome post-poliomyélite (SPP) et plus encore par les incertitudes le concernant. Il faut du temps, écoute et connaissances pour démêler si possible les différentes composantes physiques et psychiques des symptômes de fatigue et de douleurs afin de donner les meilleurs conseils thérapeutiques. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24364 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.60-67
[article] The psychological aspects of polio survivors through their life experience = Aspects psychologiques du vécu de personnes vivant avec des séquelles de poliomyélite [texte imprimé] . - 2010 . - pp.60-67. Langues : Français ( fre) in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°1 (Février 2010) . - pp.60-67
Résumé : |
Objectifs
Les personnes vivant avec des séquelles de poliomyélite ressentent souvent, après des décennies de stabilité, une aggravation secondaire pouvant se traduire par une fatigue générale et musculaire, une baisse de force musculaire et des douleurs. La composante psychologique de ces symptômes a pu être envisagée.
Méthode
Cet article fait le point sur le vécu de ces personnes à partir de la littérature et de l’expérience des auteurs.
Résultats
La littérature ne montre pas chez les anciens polio de fréquence plus grande de troubles psychiques (troubles de la personnalité, dépression) que dans la population générale. En revanche, le retentissement psychique de la diminution des performances, qu’elle qu’en soit la cause, est régulièrement rapportée. Une majorité d’entre eux rapporte une restriction de leur capacité de participation.
Discussion et conclusion
Les caractéristiques du parcours souvent vécu par ces patients dans leur enfance doivent être connues pour comprendre les différentes possibilités d’expression de leurs plaintes et parfois la réticence à faire appel à nouveau au milieu médical. La crainte de la réviviscence de la maladie est avivée par les informations largement répandues sur le syndrome post-poliomyélite (SPP) et plus encore par les incertitudes le concernant. Il faut du temps, écoute et connaissances pour démêler si possible les différentes composantes physiques et psychiques des symptômes de fatigue et de douleurs afin de donner les meilleurs conseils thérapeutiques. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=24364 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |