Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 53, n°4Paru le : 01/05/2010 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
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[article]
Titre : Seeking care for lower back pain in the French population aged from 30 to 69: The results of the 2002–2003 Décennale Santé survey Titre original : Recours à un professionnel de santé pour lombalgie dans la population française de 30 à 69 ans : résultats issus de l'enquête décennale santé 2002-2003 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp.224-238 Langues : Français (fre) Résumé : Décrire la fréquence du recours aux soins pour lombalgie dans la population française de 30 à 69 ans et mettre en évidence les facteurs associés.
Matériel et méthodes
Les données sont issues de l’enquête Décennale santé 2002–2003, enquête représentative des « ménages ordinaires » résidant en France métropolitaine. La fréquence du recours aux soins pour lombalgie a été étudiée parmi les 17 792 personnes enquêtées. Trois types de recours ont été considérés : le recours à un professionnel de santé (en général), à un médecin généraliste et à un kinésithérapeute.
Résultats
Dans cette étude, 4,5 % des personnes déclarent avoir eu recours au moins une fois à un professionnel de santé pour lombalgie sur la période d’étude (deux mois). Le recours aux soins est associé à des critères de sévérité de la lombalgie telle que la durée de la lombalgie qui est associée à tous les types de recours étudiés. Des facteurs sociodémographiques, économiques et des facteurs d’exposition professionnelle interviennent également. Le revenu est lié au recours au kinésithérapeute.
Conclusion
Ces premiers résultats sur l’ensemble de la population française montrent que les facteurs associés aux recours aux soins pour lombalgie diffèrent selon le type de recours.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24340
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.224-238[article] Seeking care for lower back pain in the French population aged from 30 to 69: The results of the 2002–2003 Décennale Santé survey = Recours à un professionnel de santé pour lombalgie dans la population française de 30 à 69 ans : résultats issus de l'enquête décennale santé 2002-2003 [texte imprimé] . - 2010 . - pp.224-238.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.224-238
Résumé : Décrire la fréquence du recours aux soins pour lombalgie dans la population française de 30 à 69 ans et mettre en évidence les facteurs associés.
Matériel et méthodes
Les données sont issues de l’enquête Décennale santé 2002–2003, enquête représentative des « ménages ordinaires » résidant en France métropolitaine. La fréquence du recours aux soins pour lombalgie a été étudiée parmi les 17 792 personnes enquêtées. Trois types de recours ont été considérés : le recours à un professionnel de santé (en général), à un médecin généraliste et à un kinésithérapeute.
Résultats
Dans cette étude, 4,5 % des personnes déclarent avoir eu recours au moins une fois à un professionnel de santé pour lombalgie sur la période d’étude (deux mois). Le recours aux soins est associé à des critères de sévérité de la lombalgie telle que la durée de la lombalgie qui est associée à tous les types de recours étudiés. Des facteurs sociodémographiques, économiques et des facteurs d’exposition professionnelle interviennent également. Le revenu est lié au recours au kinésithérapeute.
Conclusion
Ces premiers résultats sur l’ensemble de la population française montrent que les facteurs associés aux recours aux soins pour lombalgie diffèrent selon le type de recours.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24340 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtA study of isokinetic trunk and knee muscle strength in patients with chronic sciatica in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 53, n°4 (Mai 2010)
[article]
Titre : A study of isokinetic trunk and knee muscle strength in patients with chronic sciatica Titre original : Etude de la force musculaire isocinétique du tronc et des genoux chez les patients ayant une lombosciatique chronique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp.239-149 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Évaluer la force musculaire du tronc et des genoux chez des adultes ayant une lombosciatique chronique.
Patients et méthodes
Vingt-huit patients ayant une lombosciatique chronique droite (G1) et 40 sujets sains (G2) ont bénéficié d’une évaluation isocinétique en concentrique de la force du quadriceps et des ischio-jambiers des genoux aux vitesses angulaires 60 et 120°/s (s : seconde) et des muscles extenseurs et fléchisseurs du rachis lombaire aux vitesses angulaires 60 et 90°/s à l’aide d’un dynamomètre isocinétique (Cybex Norm II). L’évaluation isocinétique de ces muscles a été réalisée le même jour à un intervalle d’une heure pour chacun de nos patients.
Résultats
Le premier groupe G1 a comporté 15 femmes et 13 hommes d’âge, de poids et de taille moyens respectivement : 34,787±6,06 ans ; 65,85±5,33 kg et 165±6,92cm. Le deuxième groupe G2 a comporté 20 femmes et 20 hommes d’âge, de poids et de taille moyens respectivement : 35,92±6,66 ans ; 67,07±6,12kg et 165,82±7,65cm. Les deux groupes ont été jugés comparables selon ces différents paramètres. Pour les muscles du tronc, les moyennes des moments de force maximaux des extenseurs du tronc des patients du G1 étaient respectivement de 123,71±32,45 et 108,85±32,07Nm aux vitesses 60 et 90°/s. Celles du G2 étaient respectivement de 192,73±64,24 et 168,65±53,96Nm. Les moyennes des moments de force maximaux des fléchisseurs du tronc du G1 étaient respectivement de 134,32±30,77 et 124,39±32,59 Nm aux vitesses 60 et 90°/s. Celles du G2 étaient respectivement de 177,44±44,1 et 157,81±39,01Nm. Les différences de ces moyennes entre les deux groupes étaient statistiquement significatives. Les moyennes des moments de force maximaux du quadriceps du côté droit du G1 étaient de 100,03±24,45 et 78,71±22,92Nm aux vitesses 60 et 120°/s. Celles du G2 étaient respectivement de 160,5±36,34 et 131,05±33,42Nm. Les moyennes des moments de force maximaux des ischio-jambiers du G1 étaient de 56,42±13,02 et 50±13,55Nm aux vitesses 60 et 120°/s. Celles du G2 étaient respectivement de 97,77±33,32 et 84,72±31,41Nm. Les différences de ces moyennes entre les deux groupes étaient statistiquement significatives. Nous avons constaté également des différences significatives entre les moyennes des moments de force maximaux des muscles quadriceps et ischio-jambiers du côté gauche du G1 par rapport à celles du G2. En comparant le côté sciatique au côté controlatéral, nous avons noté une faiblesse du quadriceps et des ischio-jambiers du côté de la sciatique.
Conclusion
Cette étude montre une faiblesse des muscles du tronc et des genoux chez les patients ayant une lombosciatique chronique comparativement aux sujets normaux. Cette faiblesse est plus marquée du côté de la sciatique. Par conséquent, la prise en charge en rééducation des patients ayant une lombosciatique chronique doit inclure un programme de renforcement des muscles du genou.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24341
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.239-149[article] A study of isokinetic trunk and knee muscle strength in patients with chronic sciatica = Etude de la force musculaire isocinétique du tronc et des genoux chez les patients ayant une lombosciatique chronique [texte imprimé] . - 2010 . - pp.239-149.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.239-149
Résumé : Objectif
Évaluer la force musculaire du tronc et des genoux chez des adultes ayant une lombosciatique chronique.
Patients et méthodes
Vingt-huit patients ayant une lombosciatique chronique droite (G1) et 40 sujets sains (G2) ont bénéficié d’une évaluation isocinétique en concentrique de la force du quadriceps et des ischio-jambiers des genoux aux vitesses angulaires 60 et 120°/s (s : seconde) et des muscles extenseurs et fléchisseurs du rachis lombaire aux vitesses angulaires 60 et 90°/s à l’aide d’un dynamomètre isocinétique (Cybex Norm II). L’évaluation isocinétique de ces muscles a été réalisée le même jour à un intervalle d’une heure pour chacun de nos patients.
Résultats
Le premier groupe G1 a comporté 15 femmes et 13 hommes d’âge, de poids et de taille moyens respectivement : 34,787±6,06 ans ; 65,85±5,33 kg et 165±6,92cm. Le deuxième groupe G2 a comporté 20 femmes et 20 hommes d’âge, de poids et de taille moyens respectivement : 35,92±6,66 ans ; 67,07±6,12kg et 165,82±7,65cm. Les deux groupes ont été jugés comparables selon ces différents paramètres. Pour les muscles du tronc, les moyennes des moments de force maximaux des extenseurs du tronc des patients du G1 étaient respectivement de 123,71±32,45 et 108,85±32,07Nm aux vitesses 60 et 90°/s. Celles du G2 étaient respectivement de 192,73±64,24 et 168,65±53,96Nm. Les moyennes des moments de force maximaux des fléchisseurs du tronc du G1 étaient respectivement de 134,32±30,77 et 124,39±32,59 Nm aux vitesses 60 et 90°/s. Celles du G2 étaient respectivement de 177,44±44,1 et 157,81±39,01Nm. Les différences de ces moyennes entre les deux groupes étaient statistiquement significatives. Les moyennes des moments de force maximaux du quadriceps du côté droit du G1 étaient de 100,03±24,45 et 78,71±22,92Nm aux vitesses 60 et 120°/s. Celles du G2 étaient respectivement de 160,5±36,34 et 131,05±33,42Nm. Les moyennes des moments de force maximaux des ischio-jambiers du G1 étaient de 56,42±13,02 et 50±13,55Nm aux vitesses 60 et 120°/s. Celles du G2 étaient respectivement de 97,77±33,32 et 84,72±31,41Nm. Les différences de ces moyennes entre les deux groupes étaient statistiquement significatives. Nous avons constaté également des différences significatives entre les moyennes des moments de force maximaux des muscles quadriceps et ischio-jambiers du côté gauche du G1 par rapport à celles du G2. En comparant le côté sciatique au côté controlatéral, nous avons noté une faiblesse du quadriceps et des ischio-jambiers du côté de la sciatique.
Conclusion
Cette étude montre une faiblesse des muscles du tronc et des genoux chez les patients ayant une lombosciatique chronique comparativement aux sujets normaux. Cette faiblesse est plus marquée du côté de la sciatique. Par conséquent, la prise en charge en rééducation des patients ayant une lombosciatique chronique doit inclure un programme de renforcement des muscles du genou.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24341 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtAssessment of compliance with prescribed activity by hemiplegic stroke patients after an exercise programme and physical activity education in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 53, n°4 (Mai 2010)
[article]
Titre : Assessment of compliance with prescribed activity by hemiplegic stroke patients after an exercise programme and physical activity education Titre original : Estimation de l'observance de la prescription d'activité chez l'hémiplégique après un programme de réentrainement et d'éducation à l'activité physique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp.250-265 Langues : Français (fre) Résumé : Un réentraînement à l’effort en post-AVC améliore les capacités à l’effort et fonctionnelles à court terme. Son impact sur les performances en milieu ordinaire est peu connu.
Objectifs
Évaluer l’observance d’une activité physique chez des patients hémiplégiques d’origine vasculaire. Comparer l’activité auto-estimée par ces patients à l’activité réalisée.
Patients et méthode
Étude pilote prospective réalisée chez neuf patients hémiplégiques depuis plus de trois mois, bénéficiant d’un réentraînement. L’activité des patients est mesurée par accélérométrie (ActivPAL™) avant, pendant, en fin de programme et après trois mois. L’activité réalisée est comparée aux recommandations des sociétés savantes. À distance du réentraînement, l’activité déclarée, évaluée par questionnaire est comparée à l’activité enregistrée par accélérométrie : fréquence et durée des séances.
Résultats
Immédiatement après le programme, quatre patients pratiquent le volume d’activité recommandé. À trois mois, un seul patient poursuit une activité conforme aux recommandations. Huit patients surestiment l’activité réalisée pour la fréquence et la durée des séances.
Conclusion
À trois mois de l’arrêt d’un programme, l’observance d’une activité physique est faible. Le monitorage d’activité par accélérométrie, facile d’usage et acceptable, peut servir d’outil d’évaluation et d’éducation. La connaissance objective des données d’activité doit contribuer à l’amélioration de l’éducation thérapeutique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24342
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.250-265[article] Assessment of compliance with prescribed activity by hemiplegic stroke patients after an exercise programme and physical activity education = Estimation de l'observance de la prescription d'activité chez l'hémiplégique après un programme de réentrainement et d'éducation à l'activité physique [texte imprimé] . - 2010 . - pp.250-265.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.250-265
Résumé : Un réentraînement à l’effort en post-AVC améliore les capacités à l’effort et fonctionnelles à court terme. Son impact sur les performances en milieu ordinaire est peu connu.
Objectifs
Évaluer l’observance d’une activité physique chez des patients hémiplégiques d’origine vasculaire. Comparer l’activité auto-estimée par ces patients à l’activité réalisée.
Patients et méthode
Étude pilote prospective réalisée chez neuf patients hémiplégiques depuis plus de trois mois, bénéficiant d’un réentraînement. L’activité des patients est mesurée par accélérométrie (ActivPAL™) avant, pendant, en fin de programme et après trois mois. L’activité réalisée est comparée aux recommandations des sociétés savantes. À distance du réentraînement, l’activité déclarée, évaluée par questionnaire est comparée à l’activité enregistrée par accélérométrie : fréquence et durée des séances.
Résultats
Immédiatement après le programme, quatre patients pratiquent le volume d’activité recommandé. À trois mois, un seul patient poursuit une activité conforme aux recommandations. Huit patients surestiment l’activité réalisée pour la fréquence et la durée des séances.
Conclusion
À trois mois de l’arrêt d’un programme, l’observance d’une activité physique est faible. Le monitorage d’activité par accélérométrie, facile d’usage et acceptable, peut servir d’outil d’évaluation et d’éducation. La connaissance objective des données d’activité doit contribuer à l’amélioration de l’éducation thérapeutique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24342 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtInfluence of electrical stimulation frequency on skeletal muscle force and fatigue in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 53, n°4 (Mai 2010)
[article]
Titre : Influence of electrical stimulation frequency on skeletal muscle force and fatigue Titre original : Influence de la fréquence en stimulation électrique sur la force et la fatigue musculaire Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp.266-277 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs
L’objectif est de déterminer l’influence de la fréquence de stimulation électrique sur la force et la fatigue musculaire et de proposer des modalités d’application dans une optique d’entraînement sportif ou de rééducation.
Méthode
La force maximale volontaire et électro-induite isométrique du quadriceps fémoral de 26 sujets est mesurée avant, pendant et après une séance de stimulation électrique de 20minutes, soit 60 contractions tétaniques de cinq secondes séparées de 15 secondes de repos. Trois fréquences de courant sont utilisées 100, 50 et 20Hz.
Résultats
Une fréquence de 100Hz permet d’obtenir 71 % de la force maximale volontaire de début de séance (FMVd). Le déclin de force en fin de séance est significativement plus important pour les fréquences les plus élevées respectivement 27, 33 et 38 % de FMVd pour 100, 50 et 20Hz.
Conclusion
La fréquence et le nombre de contractions par séance conditionnent l’efficacité d’une stimulation électrique, visant à améliorer la force musculaire. L’influence de la fréquence des impulsions influe sur la fatigue musculaire. L’entraînement classique sous stimulation électrique d’une durée de 20minutes avec de nombreuses contractions (60 ou plus) est à remettre en cause.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24343
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.266-277[article] Influence of electrical stimulation frequency on skeletal muscle force and fatigue = Influence de la fréquence en stimulation électrique sur la force et la fatigue musculaire [texte imprimé] . - 2010 . - pp.266-277.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.266-277
Résumé : Objectifs
L’objectif est de déterminer l’influence de la fréquence de stimulation électrique sur la force et la fatigue musculaire et de proposer des modalités d’application dans une optique d’entraînement sportif ou de rééducation.
Méthode
La force maximale volontaire et électro-induite isométrique du quadriceps fémoral de 26 sujets est mesurée avant, pendant et après une séance de stimulation électrique de 20minutes, soit 60 contractions tétaniques de cinq secondes séparées de 15 secondes de repos. Trois fréquences de courant sont utilisées 100, 50 et 20Hz.
Résultats
Une fréquence de 100Hz permet d’obtenir 71 % de la force maximale volontaire de début de séance (FMVd). Le déclin de force en fin de séance est significativement plus important pour les fréquences les plus élevées respectivement 27, 33 et 38 % de FMVd pour 100, 50 et 20Hz.
Conclusion
La fréquence et le nombre de contractions par séance conditionnent l’efficacité d’une stimulation électrique, visant à améliorer la force musculaire. L’influence de la fréquence des impulsions influe sur la fatigue musculaire. L’entraînement classique sous stimulation électrique d’une durée de 20minutes avec de nombreuses contractions (60 ou plus) est à remettre en cause.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24343 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtNon-steroidal anti-inflammatory drugs for athletes: An update in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 53, n°4 (Mai 2010)
[article]
Titre : Non-steroidal anti-inflammatory drugs for athletes: An update Titre original : Anti-inflammatoires non-stéroïdiens en médecine du sport : utilité et controverses Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp.278-288 Langues : Français (fre) Résumé : L’épisode douloureux en médecine du sport est fréquemment traité par des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Pourtant, à l’heure actuelle, une controverse se fait jour quant à leur efficacité et leurs effets secondaires ne sont pas anodins. L’inhibition de la réponse inflammatoire précoce peut altérer la cicatrisation naturelle d’une lésion et avoir un impact négatif sur le processus de réparation ultérieur. Dans le cas de lésions ligamentaires fraîches, l’administration d’anti-inflammatoires non stéroïdiens paraît être une option utile, à condition de respecter une cure de courte durée. Lors de tendinopathie par surcharge, il n’y a pas à proprement parler de phénomène inflammatoire ; de fait, les anti-inflammatoires non stéroïdiens ne sont pas recommandés. Il convient aussi de les éviter après une fracture en raison de leurs effets délétères sur la formation osseuse. Enfin, les études ne démontrent pas d’intérêt notable à leur utilisation lors de lésions musculaires aiguës. Une réflexion s’impose donc pour savoir s’il est justifié de masquer les symptômes douloureux d’un athlète afin de lui permettre une interruption la plus courte possible de sa pratique sportive, au détriment peut-être de sa guérison. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24344
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.278-288[article] Non-steroidal anti-inflammatory drugs for athletes: An update = Anti-inflammatoires non-stéroïdiens en médecine du sport : utilité et controverses [texte imprimé] . - 2010 . - pp.278-288.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 53, n°4 (Mai 2010) . - pp.278-288
Résumé : L’épisode douloureux en médecine du sport est fréquemment traité par des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Pourtant, à l’heure actuelle, une controverse se fait jour quant à leur efficacité et leurs effets secondaires ne sont pas anodins. L’inhibition de la réponse inflammatoire précoce peut altérer la cicatrisation naturelle d’une lésion et avoir un impact négatif sur le processus de réparation ultérieur. Dans le cas de lésions ligamentaires fraîches, l’administration d’anti-inflammatoires non stéroïdiens paraît être une option utile, à condition de respecter une cure de courte durée. Lors de tendinopathie par surcharge, il n’y a pas à proprement parler de phénomène inflammatoire ; de fait, les anti-inflammatoires non stéroïdiens ne sont pas recommandés. Il convient aussi de les éviter après une fracture en raison de leurs effets délétères sur la formation osseuse. Enfin, les études ne démontrent pas d’intérêt notable à leur utilisation lors de lésions musculaires aiguës. Une réflexion s’impose donc pour savoir s’il est justifié de masquer les symptômes douloureux d’un athlète afin de lui permettre une interruption la plus courte possible de sa pratique sportive, au détriment peut-être de sa guérison. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24344 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt