Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 54, n°4Paru le : 01/06/2011 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierEvolution of spinal cord injuries due to cervical canal stenosis without radiographic evidence of trauma (SCIWORET): A prospective study in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 54, n°4 (Juin 2011)
[article]
Titre : Evolution of spinal cord injuries due to cervical canal stenosis without radiographic evidence of trauma (SCIWORET): A prospective study Titre original : Évolution des patients traumatisés médullaires sur canal cervical étroit sans fracture vertébrale : étude prospective Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.213-224 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte
Les traumatismes vertébromédullaires sur canal cervical étroit sont une pathologie en constante augmentation, dont l’évolution clinique et fonctionnelle restent mal connues.
Matériel et méthode
Nous exposons les résultats d’une étude prospective portant sur 20 patients, suivis durant un an, présentant un traumatisme vertébro-médullaire avec initialement un tableau neurologique aigu, et un canal cervical étroit défini à l’imagerie par un Torg ratio<0,8 et un rapport médullocanalaire>0,65, sans fracture vertébrale.
Résultats
Les traumatismes vertébromédullaires sur canal cervical étroit sont principalement liés à des chutes chez les sujets âgés, et à des conduites à risque chez les sujets jeunes. La plupart des patients présentent une tétraplégie incomplète, dont les deux tiers ont un syndrome centromédullaire. L’association d’une tétraplégie complète et d’un âge avancé semble un facteur prédictif de décès dans la phase précoce post-traumatique. Pour les tétraplégiques incomplets, l’essentiel de la récupération neurologique et fonctionnelle est observé au cours des six premiers mois. Les données radiologiques et les conditions de prise en charge chirurgicale ne semblent pas influencer le pronostic.
Conclusion
Cette étude souligne la nécessité d’une prise en charge spécialisée et individualisée des patients blessés médullaires sur canal cervical étroit, notamment selon leurs caractéristiques démographiques et lésionnelles.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24279
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.213-224[article] Evolution of spinal cord injuries due to cervical canal stenosis without radiographic evidence of trauma (SCIWORET): A prospective study = Évolution des patients traumatisés médullaires sur canal cervical étroit sans fracture vertébrale : étude prospective [texte imprimé] . - 2011 . - pp.213-224.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.213-224
Résumé : Contexte
Les traumatismes vertébromédullaires sur canal cervical étroit sont une pathologie en constante augmentation, dont l’évolution clinique et fonctionnelle restent mal connues.
Matériel et méthode
Nous exposons les résultats d’une étude prospective portant sur 20 patients, suivis durant un an, présentant un traumatisme vertébro-médullaire avec initialement un tableau neurologique aigu, et un canal cervical étroit défini à l’imagerie par un Torg ratio<0,8 et un rapport médullocanalaire>0,65, sans fracture vertébrale.
Résultats
Les traumatismes vertébromédullaires sur canal cervical étroit sont principalement liés à des chutes chez les sujets âgés, et à des conduites à risque chez les sujets jeunes. La plupart des patients présentent une tétraplégie incomplète, dont les deux tiers ont un syndrome centromédullaire. L’association d’une tétraplégie complète et d’un âge avancé semble un facteur prédictif de décès dans la phase précoce post-traumatique. Pour les tétraplégiques incomplets, l’essentiel de la récupération neurologique et fonctionnelle est observé au cours des six premiers mois. Les données radiologiques et les conditions de prise en charge chirurgicale ne semblent pas influencer le pronostic.
Conclusion
Cette étude souligne la nécessité d’une prise en charge spécialisée et individualisée des patients blessés médullaires sur canal cervical étroit, notamment selon leurs caractéristiques démographiques et lésionnelles.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24279 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtAdherence and effectiveness of rehabilitation in acute ankle sprain in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 54, n°4 (Juin 2011)
[article]
Titre : Adherence and effectiveness of rehabilitation in acute ankle sprain Titre original : Observance de la rééducation et son impact sur la guérison dans l’entorse de cheville Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.225-235 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Connaître l’observance du traitement par rééducation et son impact sur la guérison dans l’entorse de cheville.
Méthode
Quatre services d’accueil-urgences ont inclus, du 15/02 au 13/07/2009, les patients consultants pour entorse de cheville. Après l’examen initial (classification de l’entorse selon le degré de gravité), le patient recevait une orthèse semi-rigide et une ordonnance standardisée de rééducation. Puis le patient était contacté, par téléphone, au troisième mois, toujours par le même investigateur, pour savoir si la rééducation prescrite avait été faite, si le kinésithérapeute avait respecté le protocole de rééducation et enfin évaluer la guérison de l’entorse. Après trois appels téléphoniques sans réponse, le patient était exclu.
Résultats
Sur les 245 patients initialement inclus, 111 (67 hommes et 44 femmes) ont répondu au questionnaire téléphonique (17 entorses bénignes, 67 moyennes et 27 graves). Observance du traitement par le patient : 92 patients (82,9 %) ont fait leur rééducation qui a débuté 13,8jours après l’accident. Respect de la prescription par le kinésithérapeute : 88 patients (95,6 %) ont eu des massages, 71 (77,2 %) de la physiothérapie, 83 (90,2 %) de la musculation et 87 (94,5 %) de la proprioception. Quatre-vingt-deux patients disent avoir eu des manipulations non prescrites dans le protocole donné. Impact sur la guérison : 61 patients (55 %) s’estiment guéris (dix entorses bénignes, 42 moyennes et neuf graves) et 50 non guéris (sept entorses bénignes, 25 moyennes et 18 graves). Il n’y a pas de lien significatif entre la guérison et la rééducation. Mais la pratique des massages (p=0,004) et de la proprioception (p=0,017) sont des liens significatifs avec la guérison alors que la physiothérapie, la musculation et les manipulations ne sont pas liées.
Conclusion
L’observance thérapeutique pour la rééducation de l’entorse de cheville est bonne et les kinésithérapeutes respectent bien la prescription médicale. Cependant, il n’existe pas de lien significatif entre la kinésithérapie et la guérison de cette entorse, à trois mois. Il semble indispensable de réévaluer ces patients dans un délai plus long, un an, pour juger l’impact de la rééducation sur le taux de récidive d’entorse.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24280
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.225-235[article] Adherence and effectiveness of rehabilitation in acute ankle sprain = Observance de la rééducation et son impact sur la guérison dans l’entorse de cheville [texte imprimé] . - 2011 . - pp.225-235.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.225-235
Résumé : Objectif
Connaître l’observance du traitement par rééducation et son impact sur la guérison dans l’entorse de cheville.
Méthode
Quatre services d’accueil-urgences ont inclus, du 15/02 au 13/07/2009, les patients consultants pour entorse de cheville. Après l’examen initial (classification de l’entorse selon le degré de gravité), le patient recevait une orthèse semi-rigide et une ordonnance standardisée de rééducation. Puis le patient était contacté, par téléphone, au troisième mois, toujours par le même investigateur, pour savoir si la rééducation prescrite avait été faite, si le kinésithérapeute avait respecté le protocole de rééducation et enfin évaluer la guérison de l’entorse. Après trois appels téléphoniques sans réponse, le patient était exclu.
Résultats
Sur les 245 patients initialement inclus, 111 (67 hommes et 44 femmes) ont répondu au questionnaire téléphonique (17 entorses bénignes, 67 moyennes et 27 graves). Observance du traitement par le patient : 92 patients (82,9 %) ont fait leur rééducation qui a débuté 13,8jours après l’accident. Respect de la prescription par le kinésithérapeute : 88 patients (95,6 %) ont eu des massages, 71 (77,2 %) de la physiothérapie, 83 (90,2 %) de la musculation et 87 (94,5 %) de la proprioception. Quatre-vingt-deux patients disent avoir eu des manipulations non prescrites dans le protocole donné. Impact sur la guérison : 61 patients (55 %) s’estiment guéris (dix entorses bénignes, 42 moyennes et neuf graves) et 50 non guéris (sept entorses bénignes, 25 moyennes et 18 graves). Il n’y a pas de lien significatif entre la guérison et la rééducation. Mais la pratique des massages (p=0,004) et de la proprioception (p=0,017) sont des liens significatifs avec la guérison alors que la physiothérapie, la musculation et les manipulations ne sont pas liées.
Conclusion
L’observance thérapeutique pour la rééducation de l’entorse de cheville est bonne et les kinésithérapeutes respectent bien la prescription médicale. Cependant, il n’existe pas de lien significatif entre la kinésithérapie et la guérison de cette entorse, à trois mois. Il semble indispensable de réévaluer ces patients dans un délai plus long, un an, pour juger l’impact de la rééducation sur le taux de récidive d’entorse.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24280 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtAn assessment of patient satisfaction for a short-stay program in a physical and rehabilitation medicine day hospital in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 54, n°4 (Juin 2011)
[article]
Titre : An assessment of patient satisfaction for a short-stay program in a physical and rehabilitation medicine day hospital Titre original : Satisfaction du patient lors d’un programme d’évaluation court séjour en hospitalisation de jour de médecine physique et de réadaptation Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.236-247 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction
Le programme de l’hôpital de jour de médecine physique et de réadaptation (MPR) reçoit, à la différence d’hôpitaux de jour de soins de suite et de réadaptation, des patients sur une ou deux séances pour une évaluation globale. Son fonctionnement repose sur une équipe inter-professionnelle, une coopération inter-disciplinaire et un réseau ville–hôpital.
Objectif
Présenter l’élaboration d’un outil d’évaluation de la satisfaction des patients reçus et les résultats de l’enquête.
Patients et méthode
Réalisation d’un auto-questionnaire permettant une enquête de satisfaction des patients reçus en hôpital de jour de médecine physique et de réadaptation. Cet auto-questionnaire est composé de 27 questions fermées, deux échelles visuelles analogiques, et une question ouverte. L’enquête a été menée sur deux mois, correspondant à 143 séances des 603 annuelle.
Résultats
L’utilisation de l’auto-questionnaire a été facile, même si pour certains, une aide a été nécessaire. Il a permis de mettre en évidence des dysfonctionnements.
Conclusion
L’auto-questionnaire semble adapté à la réalisation de l’enquête de satisfaction des patients reçus en HDJ de MPR.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24281
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.236-247[article] An assessment of patient satisfaction for a short-stay program in a physical and rehabilitation medicine day hospital = Satisfaction du patient lors d’un programme d’évaluation court séjour en hospitalisation de jour de médecine physique et de réadaptation [texte imprimé] . - 2011 . - pp.236-247.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.236-247
Résumé : Introduction
Le programme de l’hôpital de jour de médecine physique et de réadaptation (MPR) reçoit, à la différence d’hôpitaux de jour de soins de suite et de réadaptation, des patients sur une ou deux séances pour une évaluation globale. Son fonctionnement repose sur une équipe inter-professionnelle, une coopération inter-disciplinaire et un réseau ville–hôpital.
Objectif
Présenter l’élaboration d’un outil d’évaluation de la satisfaction des patients reçus et les résultats de l’enquête.
Patients et méthode
Réalisation d’un auto-questionnaire permettant une enquête de satisfaction des patients reçus en hôpital de jour de médecine physique et de réadaptation. Cet auto-questionnaire est composé de 27 questions fermées, deux échelles visuelles analogiques, et une question ouverte. L’enquête a été menée sur deux mois, correspondant à 143 séances des 603 annuelle.
Résultats
L’utilisation de l’auto-questionnaire a été facile, même si pour certains, une aide a été nécessaire. Il a permis de mettre en évidence des dysfonctionnements.
Conclusion
L’auto-questionnaire semble adapté à la réalisation de l’enquête de satisfaction des patients reçus en HDJ de MPR.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24281 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtFear of falling as seen in the Multidisciplinary falls consultation in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 54, n°4 (Juin 2011)
[article]
Titre : Fear of falling as seen in the Multidisciplinary falls consultation Titre original : Évaluation de la peur de tomber en consultation multidisciplinaire de la chute Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.248-258 Langues : Français (fre) Résumé : La peur de tomber peut être aussi invalidante que la chute elle-même, pouvant entraîner une restriction d’activité, voire une perte d’autonomie.
Objectifs
L’objectif principal était de déterminer la prévalence de la peur de tomber dans une population de sujets âgés chuteurs, appréciée par une échelle d’évaluation dichotomique « Avez-vous peur de chuter ? Oui/Non » ; les objectifs secondaires étaient de déterminer les facteurs associés à la peur de tomber ; et de préciser le retentissement de la peur de tomber sur l’activité « sortir de chez soi ».
Patients et méthodes
Étude prospective des patients s’étant présentés consécutivement à la consultation multidisciplinaire de la chute (un gériatre, un neurologue, un médecin rééducateur) du centre hospitalier regional et universitaire (CHRU) de Lille (France) entre 1995 et 2006.
Résultats
Sur 635 patients d’âge moyen de 80,6 ans, 502 patients alléguaient une peur de tomber. Les patients reconnaissant une peur de tomber n’étaient pas plus âgés que ceux n’exprimant pas cette peur, mais étaient plus souvent des femmes (p<0,001), avaient présenté plus de chutes dans les six mois précédant la consultation (p=0,01), rapportaient plus fréquemment une chute avec un séjour prolongé au sol (p<0,001), présentaient plus souvent des troubles de l’équilibre (p=0,002) et utilisaient plus souvent une aide technique de marche (p=0,02). Les patients exprimant une peur de chuter sortaient moins souvent seul de chez eux (31 % vs 53 %, p<0,0001). Quatre-vingt-deux pour cent des patients ayant peur de tomber admettaient éviter de sortir de peur de tomber.
Conclusion
La forte prévalence de la peur de tomber observée ici et les conséquences de celle-ci en termes de restriction d’activité justifient sa recherche systématique chez un patient chuteur ou à risque de chute.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24282
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.248-258[article] Fear of falling as seen in the Multidisciplinary falls consultation = Évaluation de la peur de tomber en consultation multidisciplinaire de la chute [texte imprimé] . - 2011 . - pp.248-258.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.248-258
Résumé : La peur de tomber peut être aussi invalidante que la chute elle-même, pouvant entraîner une restriction d’activité, voire une perte d’autonomie.
Objectifs
L’objectif principal était de déterminer la prévalence de la peur de tomber dans une population de sujets âgés chuteurs, appréciée par une échelle d’évaluation dichotomique « Avez-vous peur de chuter ? Oui/Non » ; les objectifs secondaires étaient de déterminer les facteurs associés à la peur de tomber ; et de préciser le retentissement de la peur de tomber sur l’activité « sortir de chez soi ».
Patients et méthodes
Étude prospective des patients s’étant présentés consécutivement à la consultation multidisciplinaire de la chute (un gériatre, un neurologue, un médecin rééducateur) du centre hospitalier regional et universitaire (CHRU) de Lille (France) entre 1995 et 2006.
Résultats
Sur 635 patients d’âge moyen de 80,6 ans, 502 patients alléguaient une peur de tomber. Les patients reconnaissant une peur de tomber n’étaient pas plus âgés que ceux n’exprimant pas cette peur, mais étaient plus souvent des femmes (p<0,001), avaient présenté plus de chutes dans les six mois précédant la consultation (p=0,01), rapportaient plus fréquemment une chute avec un séjour prolongé au sol (p<0,001), présentaient plus souvent des troubles de l’équilibre (p=0,002) et utilisaient plus souvent une aide technique de marche (p=0,02). Les patients exprimant une peur de chuter sortaient moins souvent seul de chez eux (31 % vs 53 %, p<0,0001). Quatre-vingt-deux pour cent des patients ayant peur de tomber admettaient éviter de sortir de peur de tomber.
Conclusion
La forte prévalence de la peur de tomber observée ici et les conséquences de celle-ci en termes de restriction d’activité justifient sa recherche systématique chez un patient chuteur ou à risque de chute.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24282 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtAgressive behavior after traumatic brain injury in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 54, n°4 (Juin 2011)
[article]
Titre : Agressive behavior after traumatic brain injury Titre original : Agressivité après traumatisme crânien Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.259-269 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction
Dans les cas d’agitation et d’agressivité secondaire à un traumatisme crânien (TC) grave, le rapport bénéfice/risques des traitements médicamenteux est discuté. L’analyse qualitative de situations cliniques peut permettre de dégager l’efficacité de prises en charge psychothérapeutiques.
Observation
Un patient de 24ans présente en janvier 2005 un TC grave (Glasgow 4/15) avec des lésions intraparenchymateuses frontotemporales bilatérales et un hématome extradural temporal gauche. À j3 une lobectomie temporale droite est réalisée. L’évolution est marquée par des troubles du comportement majeurs avec des gestes hétéroagressifs envers les soignants et la famille. Les troubles deviennent tels qu’il doit être maintenu dans sa chambre en dehors des activités de rééducation et des visites. Les neuroleptiques à posologie maximale sont inefficaces. Un antidépresseur permet une amélioration du contact. Plusieurs hospitalisations en psychiatrie, où une prise en charge institutionnelle et psychothérapique est mise en place, montrent systématiquement une amélioration nette des troubles du comportement, une possibilité de participation à des activités de groupe et de déambulation libre dans un espace fermé.
Discussion/Conclusion
L’agressivité peut traduire les lésions cérébrales organiques, un syndrome dépressif, ainsi que le caractère iatrogène de l’environnement. Ce cas clinique appuie le fait que les neuroleptiques, en dehors de leur effet de sédation, ne sont pas un traitement efficace de l’agitation après TC. Il permet de mettre en évidence combien la prise en charge des troubles du comportement relève surtout de stratégies autres que médicamenteuses et est à la frontière avec d’autres spécialités.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24283
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.259-269[article] Agressive behavior after traumatic brain injury = Agressivité après traumatisme crânien [texte imprimé] . - 2011 . - pp.259-269.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 54, n°4 (Juin 2011) . - pp.259-269
Résumé : Introduction
Dans les cas d’agitation et d’agressivité secondaire à un traumatisme crânien (TC) grave, le rapport bénéfice/risques des traitements médicamenteux est discuté. L’analyse qualitative de situations cliniques peut permettre de dégager l’efficacité de prises en charge psychothérapeutiques.
Observation
Un patient de 24ans présente en janvier 2005 un TC grave (Glasgow 4/15) avec des lésions intraparenchymateuses frontotemporales bilatérales et un hématome extradural temporal gauche. À j3 une lobectomie temporale droite est réalisée. L’évolution est marquée par des troubles du comportement majeurs avec des gestes hétéroagressifs envers les soignants et la famille. Les troubles deviennent tels qu’il doit être maintenu dans sa chambre en dehors des activités de rééducation et des visites. Les neuroleptiques à posologie maximale sont inefficaces. Un antidépresseur permet une amélioration du contact. Plusieurs hospitalisations en psychiatrie, où une prise en charge institutionnelle et psychothérapique est mise en place, montrent systématiquement une amélioration nette des troubles du comportement, une possibilité de participation à des activités de groupe et de déambulation libre dans un espace fermé.
Discussion/Conclusion
L’agressivité peut traduire les lésions cérébrales organiques, un syndrome dépressif, ainsi que le caractère iatrogène de l’environnement. Ce cas clinique appuie le fait que les neuroleptiques, en dehors de leur effet de sédation, ne sont pas un traitement efficace de l’agitation après TC. Il permet de mettre en évidence combien la prise en charge des troubles du comportement relève surtout de stratégies autres que médicamenteuses et est à la frontière avec d’autres spécialités.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=24283 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt