Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur R. Loursac |
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Étude épidémiologique des blessures liées à la pratique du rugby à XV en équipe de France féminine / A. Calcar in Journal de traumatologie du sport, Vol.41 N°1 (mars 2024)
[article]
Titre : Étude épidémiologique des blessures liées à la pratique du rugby à XV en équipe de France féminine Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Calcar ; J.-P. Hager ; R. Delaitre ; J. Deloire ; R. Loursac Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 46-57 Note générale : https://doi : 10.1016/j.jts.2023.08.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épidémiologie Rugby Féminin International Blessures Traumatologie Médecine du sport Résumé : Objectif
Déterminer l’incidence, la sévérité et les caractéristiques des blessures survenues en match et à l’entraînement lors de la pratique du rugby à XV en équipe de France féminine, durant trois saisons internationales, ainsi que les facteurs favorisant leur survenue.
Méthodes
Nous avons réalisé une étude rétrospective sur 71 joueuses évoluant au sein de l’équipe de France féminine lors des saisons 2019/2020/2021. Le protocole de l’étude a suivi les définitions et procédures décrites dans le consensus international sur la surveillance des blessures dans le rugby à XV. Les données recueillies comprenaient l’âge (années), le poids (kg), la taille (cm), le poste (arrière ou avant) des joueuses ainsi que l’incidence pour 1000heures de jeu, la moyenne et la médiane de sévérité (jours d’arrêt), la localisation (%), le type (%) et les facteurs favorisants (%) des blessures lors des matchs et des entraînements.
Résultats
L’incidence des blessures en match était de 73,9 blessures/1000heures de jeu et 4,2 blessures/1000heures de jeu à l’entraînement. La sévérité moyenne était de 61,3jours d’arrêt en match et 16,1jours d’arrêt à l’entraînement. Pendant les matchs, les atteintes des membres inférieurs (55,9 %) étaient la localisation la plus fréquente et les blessures les plus courantes étaient les entorses de la cheville (17,4 blessures/1000heures de jeu), les lésions musculaires (15,2 blessures/1000heures de jeu) et les commotions (13 blessures/1000heures de jeu). À l’entraînement, la localisation la plus fréquente était les membres inférieurs (76,7 %), et les blessures les plus fréquentes étaient les lésions musculaires (2,5 blessures/1000heures de jeu). Le plaquage (64,8 %) était l’action la plus pourvoyeuse de blessures en match. Les séances d’entraînement avec contact étaient le type d’entraînement le plus vulnérant (10,4 blessures/1000heures de jeu).
Conclusion
Nos résultats semblent retrouver une incidence de blessures en match élevée et se rapprochant de l’incidence décrite dans le rugby masculin.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116662
in Journal de traumatologie du sport > Vol.41 N°1 (mars 2024) . - p. 46-57[article] Étude épidémiologique des blessures liées à la pratique du rugby à XV en équipe de France féminine [texte imprimé] / A. Calcar ; J.-P. Hager ; R. Delaitre ; J. Deloire ; R. Loursac . - 2024 . - p. 46-57.
https://doi : 10.1016/j.jts.2023.08.001
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.41 N°1 (mars 2024) . - p. 46-57
Mots-clés : Épidémiologie Rugby Féminin International Blessures Traumatologie Médecine du sport Résumé : Objectif
Déterminer l’incidence, la sévérité et les caractéristiques des blessures survenues en match et à l’entraînement lors de la pratique du rugby à XV en équipe de France féminine, durant trois saisons internationales, ainsi que les facteurs favorisant leur survenue.
Méthodes
Nous avons réalisé une étude rétrospective sur 71 joueuses évoluant au sein de l’équipe de France féminine lors des saisons 2019/2020/2021. Le protocole de l’étude a suivi les définitions et procédures décrites dans le consensus international sur la surveillance des blessures dans le rugby à XV. Les données recueillies comprenaient l’âge (années), le poids (kg), la taille (cm), le poste (arrière ou avant) des joueuses ainsi que l’incidence pour 1000heures de jeu, la moyenne et la médiane de sévérité (jours d’arrêt), la localisation (%), le type (%) et les facteurs favorisants (%) des blessures lors des matchs et des entraînements.
Résultats
L’incidence des blessures en match était de 73,9 blessures/1000heures de jeu et 4,2 blessures/1000heures de jeu à l’entraînement. La sévérité moyenne était de 61,3jours d’arrêt en match et 16,1jours d’arrêt à l’entraînement. Pendant les matchs, les atteintes des membres inférieurs (55,9 %) étaient la localisation la plus fréquente et les blessures les plus courantes étaient les entorses de la cheville (17,4 blessures/1000heures de jeu), les lésions musculaires (15,2 blessures/1000heures de jeu) et les commotions (13 blessures/1000heures de jeu). À l’entraînement, la localisation la plus fréquente était les membres inférieurs (76,7 %), et les blessures les plus fréquentes étaient les lésions musculaires (2,5 blessures/1000heures de jeu). Le plaquage (64,8 %) était l’action la plus pourvoyeuse de blessures en match. Les séances d’entraînement avec contact étaient le type d’entraînement le plus vulnérant (10,4 blessures/1000heures de jeu).
Conclusion
Nos résultats semblent retrouver une incidence de blessures en match élevée et se rapprochant de l’incidence décrite dans le rugby masculin.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116662 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtProfil anthropométrique des joueuses des équipes de France féminine de rugby à XV et à VII / M. Pingon in Science & sports, Vol.38 N°3 (Mai 2023)
[article]
Titre : Profil anthropométrique des joueuses des équipes de France féminine de rugby à XV et à VII Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Pingon ; R. Loursac ; J. Girardin ; S. Lustig ; E. Servien Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 241-246 Note générale : 10.1016/j.scispo.2021.06.016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anthropométrie Composition corporelle Femmes Professionnalisme Rugby Résumé : Le rugby féminin est un sport par équipe dont l’engouement a permis la professionnalisation récente. Dans ce sport, il a été montré que les performances sont dépendantes de la composition corporelle chez les joueurs de rugby masculin. Peu d’études ont analysé les joueuses de rugby. Le but de cette étude était de déterminer et comparer la composition corporelle et les variables anthropométriques des joueuses de l’équipe de France à VII et à XV.
Matériel & méthode
La composition corporelle de 53 joueuses de rugby professionnelles issus des équipes nationales Françaises à XV (17 Avants et 12 Arrières) et à VII (10 Avants et 14 Arrières) a été mesurée par DEXA (Dual-Energy X-ray Absorptiometry). Ces données ont été obtenues au début de la saison 2109-2020. Les variables retenues étaient l’âge (années), la taille (cm), le poids (kg), l’indice de masse corporelle (IMC) (kg.m−2), taux de masse grasse (BF%)(%), la Concentration minérale osseuse (BMC)(g), la masse grasse(FM)(kg) et maigre (LM) (Total, Bras, Jambes et Tronc) (kg) et les index de masse grasse (FMI) et maigre (FFMI) (kg.m−2). Les différences anthropométriques ont été identifiées via des tests statistiques non paramétrique de Mann-Whitney.
Résultat
Les données corporelles des joueuses à VII différent significativement des joueuses à XV. Les athlètes du VII possèdent une masse corporelle (68,0±6,5kg vs 74,8±10,8kg), un IMC (23,3±1,6kg/m2 vs 25,3±2,9kg/m2), un BF% (18,4±3 % vs 23±4,6 %), un BMC (2,8±0,3kg vs 3,1±0,4kg) et une FM totale (11,7±2,7kg vs 16,3±5,3kg) et régionale plus faibles que les joueuses à XV. Le FM Index était également en faveur des joueuses à 7 (p <0,001) (4,0±0. 9kg/m2 vs 5,5±1,7kg/m2). Des différences similaires (p <0,05) ont été retrouvées en comparant les avants des équipes à XV et à VII. En revanche, aucune différence n’a été retrouvée en effectuant ces analyses sur les valeurs totales entre les arrières des deux groupes. En comparant les arrières et les avants de l’équipe de rugby à XV, il a été retrouvé des différences significatives (p<0,05) selon ces mêmes variables mais également une masse maigre totale (54,0±5,0kg vs 46,3±3,8kg ; p <0,001) et régionale plus importante en faveur des avants. De même, le FFM Index était plus important pour les avants (18,9±1,2 vs 17,3±1,0kg/m2). En ce qui concerne l’équipe de rugby à VII, seul l’IMC différait de manière statistiquement significative entre les arrières (22,8±1,50) et les avants (24,1±1,52). Par contre, aucune différence statistique n’a pu être mise en évidence selon les critères totaux étudiés en comparant les joueuses évoluant aux postes d’arrière de l’équipe de France à XV et l’ensemble des joueuses (avants et arrières) de l’équipe de France à VII.
Conclusion
Il s’agit de la première étude rapportant les différences du profil anthropométrique et de la composition corporelle des joueuses des équipes nationales professionnelles de rugby à XV et VII. Les résultats de cette étude confirment que les joueuses à VII sont plus athlétiques que joueuses à XV dans leur ensemble. Cependant, il n’est pas retrouvé de différences significatives si l’on compare les profils anthropométriques des joueuses à VII et les arrières à XV.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112224
in Science & sports > Vol.38 N°3 (Mai 2023) . - p. 241-246[article] Profil anthropométrique des joueuses des équipes de France féminine de rugby à XV et à VII [texte imprimé] / M. Pingon ; R. Loursac ; J. Girardin ; S. Lustig ; E. Servien . - 2023 . - p. 241-246.
10.1016/j.scispo.2021.06.016
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.38 N°3 (Mai 2023) . - p. 241-246
Mots-clés : Anthropométrie Composition corporelle Femmes Professionnalisme Rugby Résumé : Le rugby féminin est un sport par équipe dont l’engouement a permis la professionnalisation récente. Dans ce sport, il a été montré que les performances sont dépendantes de la composition corporelle chez les joueurs de rugby masculin. Peu d’études ont analysé les joueuses de rugby. Le but de cette étude était de déterminer et comparer la composition corporelle et les variables anthropométriques des joueuses de l’équipe de France à VII et à XV.
Matériel & méthode
La composition corporelle de 53 joueuses de rugby professionnelles issus des équipes nationales Françaises à XV (17 Avants et 12 Arrières) et à VII (10 Avants et 14 Arrières) a été mesurée par DEXA (Dual-Energy X-ray Absorptiometry). Ces données ont été obtenues au début de la saison 2109-2020. Les variables retenues étaient l’âge (années), la taille (cm), le poids (kg), l’indice de masse corporelle (IMC) (kg.m−2), taux de masse grasse (BF%)(%), la Concentration minérale osseuse (BMC)(g), la masse grasse(FM)(kg) et maigre (LM) (Total, Bras, Jambes et Tronc) (kg) et les index de masse grasse (FMI) et maigre (FFMI) (kg.m−2). Les différences anthropométriques ont été identifiées via des tests statistiques non paramétrique de Mann-Whitney.
Résultat
Les données corporelles des joueuses à VII différent significativement des joueuses à XV. Les athlètes du VII possèdent une masse corporelle (68,0±6,5kg vs 74,8±10,8kg), un IMC (23,3±1,6kg/m2 vs 25,3±2,9kg/m2), un BF% (18,4±3 % vs 23±4,6 %), un BMC (2,8±0,3kg vs 3,1±0,4kg) et une FM totale (11,7±2,7kg vs 16,3±5,3kg) et régionale plus faibles que les joueuses à XV. Le FM Index était également en faveur des joueuses à 7 (p <0,001) (4,0±0. 9kg/m2 vs 5,5±1,7kg/m2). Des différences similaires (p <0,05) ont été retrouvées en comparant les avants des équipes à XV et à VII. En revanche, aucune différence n’a été retrouvée en effectuant ces analyses sur les valeurs totales entre les arrières des deux groupes. En comparant les arrières et les avants de l’équipe de rugby à XV, il a été retrouvé des différences significatives (p<0,05) selon ces mêmes variables mais également une masse maigre totale (54,0±5,0kg vs 46,3±3,8kg ; p <0,001) et régionale plus importante en faveur des avants. De même, le FFM Index était plus important pour les avants (18,9±1,2 vs 17,3±1,0kg/m2). En ce qui concerne l’équipe de rugby à VII, seul l’IMC différait de manière statistiquement significative entre les arrières (22,8±1,50) et les avants (24,1±1,52). Par contre, aucune différence statistique n’a pu être mise en évidence selon les critères totaux étudiés en comparant les joueuses évoluant aux postes d’arrière de l’équipe de France à XV et l’ensemble des joueuses (avants et arrières) de l’équipe de France à VII.
Conclusion
Il s’agit de la première étude rapportant les différences du profil anthropométrique et de la composition corporelle des joueuses des équipes nationales professionnelles de rugby à XV et VII. Les résultats de cette étude confirment que les joueuses à VII sont plus athlétiques que joueuses à XV dans leur ensemble. Cependant, il n’est pas retrouvé de différences significatives si l’on compare les profils anthropométriques des joueuses à VII et les arrières à XV.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112224 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe profil isocinétique des muscles rotateurs de l’épaule des joueurs de rugby professionnels ne varie pas en fonction de leur poste / A. Walch in Journal de traumatologie du sport, Vol.38, n°2 (Juin 2021)
[article]
Titre : Le profil isocinétique des muscles rotateurs de l’épaule des joueurs de rugby professionnels ne varie pas en fonction de leur poste Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Walch ; S. Drion ; J. Swan ; R. Loursac ; E. Servien ; S. Gunst Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 73-77 Note générale : Doi : 10.1016/j.jts.2021.02.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule Déséquilibre musculaire Isocinétisme Prévention Rugby Résumé : Introduction
Les blessures de l’épaule des rugbymen professionnels sont fréquentes, souvent liées à des traumatismes de haute intensité. Leur prévention par une évaluation isocinétique fait partie intégrante de la préparation physique des joueurs. Cependant, les profils isocinétiques des muscles rotateurs internes (RI) et externes (RE) d’épaule des joueurs de rugby, précédemment définis, ne prennent pas en compte leur poste de jeu. Le but de cette étude était de comparer le profil isocinétique des muscles RE et RI des joueurs de rugby en fonction de leur poste : avants et arrières.
Méthodes
Quarante-deux joueurs de rugby professionnels étaient évalués. Un dynamomètre Con–Trex était utilisé pour tester les muscles RI et RE des deux épaules. Les données étaient obtenues successivement en mode concentrique à 60°/s et 240°/s puis en mode excentrique à 60°/s. Le pic de couple (PC), le pic de couple rapporté au poids des RI et RE et le ratio RE/RI étaient mesurés à chaque vitesse angulaire.
Résultats
Le pic de couple des RI et RE était plus élevé pour les avants par rapport aux arrières pour le côté dominant pour tous les modes de contraction (p<0,05). Aucune différence n’était retrouvée entre les deux groupes sur les pics de couples rapportés au poids (p>0,05), sur le ratio RE/RI (p>0,05) et sur le ratio mixte (p=0,54).
Conclusion
Les avants avaient une plus grande force musculaire des épaules que les arrières. En rapportant les résultats au poids, la force musculaire et le profil isocinétique étaient similaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95194
in Journal de traumatologie du sport > Vol.38, n°2 (Juin 2021) . - p. 73-77[article] Le profil isocinétique des muscles rotateurs de l’épaule des joueurs de rugby professionnels ne varie pas en fonction de leur poste [texte imprimé] / A. Walch ; S. Drion ; J. Swan ; R. Loursac ; E. Servien ; S. Gunst . - 2021 . - p. 73-77.
Doi : 10.1016/j.jts.2021.02.005
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.38, n°2 (Juin 2021) . - p. 73-77
Mots-clés : Épaule Déséquilibre musculaire Isocinétisme Prévention Rugby Résumé : Introduction
Les blessures de l’épaule des rugbymen professionnels sont fréquentes, souvent liées à des traumatismes de haute intensité. Leur prévention par une évaluation isocinétique fait partie intégrante de la préparation physique des joueurs. Cependant, les profils isocinétiques des muscles rotateurs internes (RI) et externes (RE) d’épaule des joueurs de rugby, précédemment définis, ne prennent pas en compte leur poste de jeu. Le but de cette étude était de comparer le profil isocinétique des muscles RE et RI des joueurs de rugby en fonction de leur poste : avants et arrières.
Méthodes
Quarante-deux joueurs de rugby professionnels étaient évalués. Un dynamomètre Con–Trex était utilisé pour tester les muscles RI et RE des deux épaules. Les données étaient obtenues successivement en mode concentrique à 60°/s et 240°/s puis en mode excentrique à 60°/s. Le pic de couple (PC), le pic de couple rapporté au poids des RI et RE et le ratio RE/RI étaient mesurés à chaque vitesse angulaire.
Résultats
Le pic de couple des RI et RE était plus élevé pour les avants par rapport aux arrières pour le côté dominant pour tous les modes de contraction (p<0,05). Aucune différence n’était retrouvée entre les deux groupes sur les pics de couples rapportés au poids (p>0,05), sur le ratio RE/RI (p>0,05) et sur le ratio mixte (p=0,54).
Conclusion
Les avants avaient une plus grande force musculaire des épaules que les arrières. En rapportant les résultats au poids, la force musculaire et le profil isocinétique étaient similaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95194 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt