Centre de Documentation Campus Montignies
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Auteur Mathilde Proffit |
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Covid long Comment le syndrome d'hyperventilation révèle les défaillances actuelles de notre façon de soigner / Mathilde Proffit in Kinésithérapie scientifique, 631 (Mai 2021)
[article]
Titre : Covid long Comment le syndrome d'hyperventilation révèle les défaillances actuelles de notre façon de soigner Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Proffit, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.51-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperventilation COVID-19 Questionnaire NIJMEGEN pour prédire la probabilité de syndrome d'hyperventilation Résumé : Cet article nous a été proposé par une consœur spécialisée en kinésithérapie respiratoire. Elle nous livre sa réflexion sur le cortège de symptômes dont souffrent de nombreux patients ayant été infectés par la Covid-19 (mais pas seulement), même s’ils n’ont pas développé de forme grave de la maladie, et propose différents outils pour les prendre en charge.
Kinésithérapeutes spécialisés dans le domaine respiratoire, nous recevons depuis plusieurs mois, de nombreux patients post-Covid-19 n’ayant jamais été hospitalisés. De tous âges, de tous sexes, de toutes catégories socioprofessionnelles, ces patients présentent un cortège de symptômes englobés par la notion de « Covid long ».
Leurs points communs sont nombreux : oppression et/ou douleur thoracique, sensation de dyspnée ou souffle court (que l’inspiration n’est jamais vraiment satisfaisante ou terminée), fatigue, anxiété, palpitations, vertiges, fasciculations musculaires, perte de poids éventuelle. Ils décrivent une sensation de pesanteur sur la poitrine, sans facteur déclenchant spécifique. La respiration durant le sommeil est en général vécue comme sans problème, mais la gêne respiratoire arrive de façon impromptue au cours de la journée, à l’activité comme au repos. Leurs (autres) points communs : une longue errance médicale, aucune réponse à leurs questions (« Qu’est-ce qui m’arrive ? Est-ce que ça ira mieux ? »), de très nombreux examens paracliniques, et la sensation, souvent, de « devenir fou ». Ils n’ont, pour la plupart, jamais entendu parler de syndrome d’hyperventilation (ou SHV).
Or, l’ensemble des patients que nous avons pu suivre post-Covid-19 (non hospitalisés) étaient positifs au questionnaire de Nijmegen (cf. ci-dessous) (qui permet de prédire la probabilité du syndrome d’hyperventilation), avec des scanners et des fonctions respiratoires non pathologiques. Ils se sont, sans exception, améliorés avec une prise en charge de kinésithérapie axée sur le traitement du SHV. Notre hypothèse est donc que les « Covid longs » sont, majoritairement, des syndromes d’hyperventilation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93553
in Kinésithérapie scientifique > 631 (Mai 2021) . - p.51-55[article] Covid long Comment le syndrome d'hyperventilation révèle les défaillances actuelles de notre façon de soigner [texte imprimé] / Mathilde Proffit, Auteur . - 2021 . - p.51-55.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 631 (Mai 2021) . - p.51-55
Mots-clés : Hyperventilation COVID-19 Questionnaire NIJMEGEN pour prédire la probabilité de syndrome d'hyperventilation Résumé : Cet article nous a été proposé par une consœur spécialisée en kinésithérapie respiratoire. Elle nous livre sa réflexion sur le cortège de symptômes dont souffrent de nombreux patients ayant été infectés par la Covid-19 (mais pas seulement), même s’ils n’ont pas développé de forme grave de la maladie, et propose différents outils pour les prendre en charge.
Kinésithérapeutes spécialisés dans le domaine respiratoire, nous recevons depuis plusieurs mois, de nombreux patients post-Covid-19 n’ayant jamais été hospitalisés. De tous âges, de tous sexes, de toutes catégories socioprofessionnelles, ces patients présentent un cortège de symptômes englobés par la notion de « Covid long ».
Leurs points communs sont nombreux : oppression et/ou douleur thoracique, sensation de dyspnée ou souffle court (que l’inspiration n’est jamais vraiment satisfaisante ou terminée), fatigue, anxiété, palpitations, vertiges, fasciculations musculaires, perte de poids éventuelle. Ils décrivent une sensation de pesanteur sur la poitrine, sans facteur déclenchant spécifique. La respiration durant le sommeil est en général vécue comme sans problème, mais la gêne respiratoire arrive de façon impromptue au cours de la journée, à l’activité comme au repos. Leurs (autres) points communs : une longue errance médicale, aucune réponse à leurs questions (« Qu’est-ce qui m’arrive ? Est-ce que ça ira mieux ? »), de très nombreux examens paracliniques, et la sensation, souvent, de « devenir fou ». Ils n’ont, pour la plupart, jamais entendu parler de syndrome d’hyperventilation (ou SHV).
Or, l’ensemble des patients que nous avons pu suivre post-Covid-19 (non hospitalisés) étaient positifs au questionnaire de Nijmegen (cf. ci-dessous) (qui permet de prédire la probabilité du syndrome d’hyperventilation), avec des scanners et des fonctions respiratoires non pathologiques. Ils se sont, sans exception, améliorés avec une prise en charge de kinésithérapie axée sur le traitement du SHV. Notre hypothèse est donc que les « Covid longs » sont, majoritairement, des syndromes d’hyperventilation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93553 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLa distension thoraco-pulmonaire et sa gestion en kinésithérapie / Michel Thomann in Kinésithérapie scientifique, 650 (février 2023)
[article]
Titre : La distension thoraco-pulmonaire et sa gestion en kinésithérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Thomann ; Mathilde Proffit ; Grégoire Abbey Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 44-48 Langues : Français (fre) Mots-clés : hyperinflation kinésithérapie respiratoire Résumé : La dyspnée est souvent la principale plainte des patients atteints de pathologies respiratoires obstructives telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l’asthme, la dilatation des bronches, ou la mucoviscidose. La distension pulmonaire (pulmonary hyperinflation), qui est fréquemment retrouvée chez ces patients, est un facteur explicatif majeur de leur dyspnée et de sa variation au cours du temps.Cet article a pour objectif de présenter ce qu'est la distension pulmonaire, comment elle contribue mécaniquement à la dyspnée et certains moyens kinésithérapiques pour la maîtriser chez les patients obstructifs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109175
in Kinésithérapie scientifique > 650 (février 2023) . - p. 44-48[article] La distension thoraco-pulmonaire et sa gestion en kinésithérapie [texte imprimé] / Michel Thomann ; Mathilde Proffit ; Grégoire Abbey . - 2023 . - p. 44-48.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 650 (février 2023) . - p. 44-48
Mots-clés : hyperinflation kinésithérapie respiratoire Résumé : La dyspnée est souvent la principale plainte des patients atteints de pathologies respiratoires obstructives telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l’asthme, la dilatation des bronches, ou la mucoviscidose. La distension pulmonaire (pulmonary hyperinflation), qui est fréquemment retrouvée chez ces patients, est un facteur explicatif majeur de leur dyspnée et de sa variation au cours du temps.Cet article a pour objectif de présenter ce qu'est la distension pulmonaire, comment elle contribue mécaniquement à la dyspnée et certains moyens kinésithérapiques pour la maîtriser chez les patients obstructifs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109175 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLe kinésithérapeute, acteur clé de la prise en charge du syndrome d'hyperventilation / Marie Magni in Kinésithérapie scientifique, 642 (mai 2022)
[article]
Titre : Le kinésithérapeute, acteur clé de la prise en charge du syndrome d'hyperventilation Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Magni ; Océane Huck ; Michel Thomann ; Kamber Karsandi ; Kévin Legueult ; Mathilde Proffit Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 47-53 Langues : Français (fre) Résumé : Le syndrome d'hyperventilation chronique (SHV) est une affection fréquente, qui a suscité un grand intérêt ces deux dernières années en raison de son intrication avec le Covid long. On estime que 6 à 11 % de la population générale serait concernée. Il est observé principalement chez les personnes jeunes et actives. Souvent banalisé ou non identifié, il peut pourtant être la cause d'une importante altération de la qualité de vie, particulièrement sur les plans social et professionnel. Les symptômes de la maladie sont aspécifiques et variés (respiratoires, neurologiques, psychiatriques, cardio-vasculaires, articulaires et musculaires, etc.), ce qui fait du SHV un diagnostic d'exclusion. Ainsi, les patients passent le plus souvent par de nombreuses consultations spécialisées et examens paracliniques complémentaires, et on estime qu'il faut en moyenne 18 mois avant que le diagnostic ne soit posé. Il existe cependant un ensemble de critères simples qui collectivement permettent au professionnel de santé aguerri et formé de repérer le SHV , une anamnèse caractéristique associée à un faisceau d'arguments cliniques, et deux tests : le score de Nijmegen et le test de provocation d'hyperventilation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103606
in Kinésithérapie scientifique > 642 (mai 2022) . - p. 47-53[article] Le kinésithérapeute, acteur clé de la prise en charge du syndrome d'hyperventilation [texte imprimé] / Marie Magni ; Océane Huck ; Michel Thomann ; Kamber Karsandi ; Kévin Legueult ; Mathilde Proffit . - 2022 . - p. 47-53.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 642 (mai 2022) . - p. 47-53
Résumé : Le syndrome d'hyperventilation chronique (SHV) est une affection fréquente, qui a suscité un grand intérêt ces deux dernières années en raison de son intrication avec le Covid long. On estime que 6 à 11 % de la population générale serait concernée. Il est observé principalement chez les personnes jeunes et actives. Souvent banalisé ou non identifié, il peut pourtant être la cause d'une importante altération de la qualité de vie, particulièrement sur les plans social et professionnel. Les symptômes de la maladie sont aspécifiques et variés (respiratoires, neurologiques, psychiatriques, cardio-vasculaires, articulaires et musculaires, etc.), ce qui fait du SHV un diagnostic d'exclusion. Ainsi, les patients passent le plus souvent par de nombreuses consultations spécialisées et examens paracliniques complémentaires, et on estime qu'il faut en moyenne 18 mois avant que le diagnostic ne soit posé. Il existe cependant un ensemble de critères simples qui collectivement permettent au professionnel de santé aguerri et formé de repérer le SHV , une anamnèse caractéristique associée à un faisceau d'arguments cliniques, et deux tests : le score de Nijmegen et le test de provocation d'hyperventilation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103606 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtKinésithérapie cardio-respiratoire Réflexions et perspectives en kinésithérapie respiratoire (1ère partie) / Mathilde Proffit in Kinésithérapie scientifique, 673 (mars 2025)
[article]
Titre : Kinésithérapie cardio-respiratoire Réflexions et perspectives en kinésithérapie respiratoire (1ère partie) Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Mathilde Proffit Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 49-53 Langues : Français (fre) Mots-clés : kinésithérapie respiratoire Pédiatrie Résumé : Depuis la vaste remise en question des soins de kinésithérapie respiratoire pédiatrique traditionnellement proposés en France, occasionnée par les recommandations bronchiolite de la HAS en 2019 [1] et, à l’heure du perfectionnement des vaccins, se posent les questions suivantes :
• Qu’est-ce que l’on garde ?
• Qu’est-ce que l’on arrête ?
• Sommes-nous toujours pertinents pour prétendre aider un enfant à mieux respirer en 2025 ?
Le contexte nous invite à repenser les soins de kinésithérapie respiratoire. Nous proposons d’user des outils déontologiques, scientifiques et cliniques dont nous disposons pour actualiser nos pratiques, afin de ne plus les résumer à la « simple exécution itérative d’une technique ou d’un acte » [1]. Il s’agira plutôt de tendre vers une prise en charge symptomatologique, personnalisée et réflexive et, ainsi, de sortir de recommandations qui enferment dans une étiologie ou dans un seul objectif restreint : le désencombrement.
La réflexion suivante ne prétend pas délivrer une vérité et est le fruit d’une expérience singulière avec les écueils que cela représente. Guidés par le primum non nocere, nous savons désormais ce qu’il n’est plus possible de faire, à la fois pour des raisons physiologiques, mais également éthiques.
Les capacités d’évaluation des kinésithérapeutes sont désormais bien reconnues. Quant à ce qu’il convient de faire, nombre d’outils sont disponibles pour créer la kinésithérapie respiratoire pédiatrique de demain, et devront faire l’objet d’une évaluation rigoureuse.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=122713
in Kinésithérapie scientifique > 673 (mars 2025) . - p. 49-53[article] Kinésithérapie cardio-respiratoire Réflexions et perspectives en kinésithérapie respiratoire (1ère partie) [document graphique à deux dimensions] / Mathilde Proffit . - 2025 . - p. 49-53.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 673 (mars 2025) . - p. 49-53
Mots-clés : kinésithérapie respiratoire Pédiatrie Résumé : Depuis la vaste remise en question des soins de kinésithérapie respiratoire pédiatrique traditionnellement proposés en France, occasionnée par les recommandations bronchiolite de la HAS en 2019 [1] et, à l’heure du perfectionnement des vaccins, se posent les questions suivantes :
• Qu’est-ce que l’on garde ?
• Qu’est-ce que l’on arrête ?
• Sommes-nous toujours pertinents pour prétendre aider un enfant à mieux respirer en 2025 ?
Le contexte nous invite à repenser les soins de kinésithérapie respiratoire. Nous proposons d’user des outils déontologiques, scientifiques et cliniques dont nous disposons pour actualiser nos pratiques, afin de ne plus les résumer à la « simple exécution itérative d’une technique ou d’un acte » [1]. Il s’agira plutôt de tendre vers une prise en charge symptomatologique, personnalisée et réflexive et, ainsi, de sortir de recommandations qui enferment dans une étiologie ou dans un seul objectif restreint : le désencombrement.
La réflexion suivante ne prétend pas délivrer une vérité et est le fruit d’une expérience singulière avec les écueils que cela représente. Guidés par le primum non nocere, nous savons désormais ce qu’il n’est plus possible de faire, à la fois pour des raisons physiologiques, mais également éthiques.
Les capacités d’évaluation des kinésithérapeutes sont désormais bien reconnues. Quant à ce qu’il convient de faire, nombre d’outils sont disponibles pour créer la kinésithérapie respiratoire pédiatrique de demain, et devront faire l’objet d’une évaluation rigoureuse.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=122713 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtKinésithérapie cardio-respiratoire : La respiration, au-delà du poumon / Mathilde Proffit in Kinésithérapie scientifique, 663 (avril 2024)
[article]
Titre : Kinésithérapie cardio-respiratoire : La respiration, au-delà du poumon Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Proffit Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 73-77 Langues : Français (fre) Mots-clés : Poumon respiration abdominale respiration Résumé : Quand on accole le mot « kinésithérapie » à l’adjectif « respiratoire », on pense mucus, alvéoles, tapis muco-ciliaire, diaphragme, oxygène : on pense donc à une médecine d’organe.
La méditation, la relaxation, l’hypnose, la pleine conscience et le yoga accordent toutes une place centrale à la respiration, avec une conception et une portée bien différente. Quelle que soit la stratégie ou la méthode adoptée, ces disciplines visant à l’apaisement du mental passent de façon presqu’incontournable par le contrôle ou l’attention portés à la respiration.Que ce soit par une simple observation ou bien par des techniques complexes de maîtrise, le souffle constitue dans ces divers courants une clé d’accès à la concentration, à la détente, et à l’ancrage dans le présent.Nous nous interrogeons ici sur cette omniprésence respiratoire au cœur des techniques alternatives, en parallèle avec les usages respiratoires des kinésithérapeutes. Y aurait-il une portée du souffle non explorée par les professionnels de santé, l’utilisant essentiellement pour traiter la sphère pulmonaire ? Dans quelle mesure la science actuelle pondère, valide ou invalide d’autres dimensions de la respiration ? La kinésithérapie est-elle restrictive en employant sa maitrise uniquement pour ventiler des territoires pulmonaires et/ou désencombrer ? Que nous permet donc la respiration, au-delà du poumon ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117167
in Kinésithérapie scientifique > 663 (avril 2024) . - p. 73-77[article] Kinésithérapie cardio-respiratoire : La respiration, au-delà du poumon [texte imprimé] / Mathilde Proffit . - 2024 . - p. 73-77.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 663 (avril 2024) . - p. 73-77
Mots-clés : Poumon respiration abdominale respiration Résumé : Quand on accole le mot « kinésithérapie » à l’adjectif « respiratoire », on pense mucus, alvéoles, tapis muco-ciliaire, diaphragme, oxygène : on pense donc à une médecine d’organe.
La méditation, la relaxation, l’hypnose, la pleine conscience et le yoga accordent toutes une place centrale à la respiration, avec une conception et une portée bien différente. Quelle que soit la stratégie ou la méthode adoptée, ces disciplines visant à l’apaisement du mental passent de façon presqu’incontournable par le contrôle ou l’attention portés à la respiration.Que ce soit par une simple observation ou bien par des techniques complexes de maîtrise, le souffle constitue dans ces divers courants une clé d’accès à la concentration, à la détente, et à l’ancrage dans le présent.Nous nous interrogeons ici sur cette omniprésence respiratoire au cœur des techniques alternatives, en parallèle avec les usages respiratoires des kinésithérapeutes. Y aurait-il une portée du souffle non explorée par les professionnels de santé, l’utilisant essentiellement pour traiter la sphère pulmonaire ? Dans quelle mesure la science actuelle pondère, valide ou invalide d’autres dimensions de la respiration ? La kinésithérapie est-elle restrictive en employant sa maitrise uniquement pour ventiler des territoires pulmonaires et/ou désencombrer ? Que nous permet donc la respiration, au-delà du poumon ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117167 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa réhabilitation respiratoire en altitude : une revue de littérature / Emma Seignez in Kinésithérapie scientifique, 665 (juin 2024)
PermalinkLa respiration consciente : une thérapeutique pour la prise en soin de la douleur chronique / Noémie Sentenac in Kinésithérapie scientifique, 669 (novembre 2024)
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