Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Camille Noûs |
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Derrida, la cécité et les arts du visible. Une perspective philosophique sur les représentations artistiques du handicap / Marion Chottin in Alter, Vol.15, n°3 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Derrida, la cécité et les arts du visible. Une perspective philosophique sur les représentations artistiques du handicap Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Chottin ; Camille Noûs Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 249-261 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.alter.2021.05.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : Études culturelles sur le handicap Schème du retournement Néo-historicisme Résumé : L’objectif de cet article est de déterminer ce qu’une approche philosophique, celle que Jacques Derrida met en œuvre à propos de la cécité dans ses Mémoires d’aveugle, peut apporter aux études culturelles sur le handicap. À partir de quelques-unes des peintures et des dessins reproduits dans cet ouvrage de 1990, la présente étude entend d’abord montrer que, pour Derrida, c’est une manière particulière de considérer le mutisme des œuvres d’art visuel qui conduit à voir ou à imaginer, dans celles qui montrent des aveugles, des représentations de la cécité qui ont en commun de faire d’elle une impuissance. Cet article analyse ensuite comment, pour le philosophe, ces mêmes œuvres peuvent être abordées en vertu d’une seconde manière d’envisager leur mutisme, et ainsi lues comme donnant à penser une cécité tout à fait autre, entendue cette fois comme puissance hautement résistante aux récits qui, dans l’Histoire, ont fait d’elle une impuissance. Il propose pour finir de compléter cette manière de lire les images picturales de la cécité au moyen du « schème du retournement » théorisé par Stiker et du « néo-historicisme » appliqué par Snyder et Mitchell aux représentations artistiques du handicap. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95742
in Alter > Vol.15, n°3 (Juillet 2021) . - p. 249-261[article] Derrida, la cécité et les arts du visible. Une perspective philosophique sur les représentations artistiques du handicap [texte imprimé] / Marion Chottin ; Camille Noûs . - 2021 . - p. 249-261.
https://doi.org/10.1016/j.alter.2021.05.002
Langues : Français (fre)
in Alter > Vol.15, n°3 (Juillet 2021) . - p. 249-261
Mots-clés : Études culturelles sur le handicap Schème du retournement Néo-historicisme Résumé : L’objectif de cet article est de déterminer ce qu’une approche philosophique, celle que Jacques Derrida met en œuvre à propos de la cécité dans ses Mémoires d’aveugle, peut apporter aux études culturelles sur le handicap. À partir de quelques-unes des peintures et des dessins reproduits dans cet ouvrage de 1990, la présente étude entend d’abord montrer que, pour Derrida, c’est une manière particulière de considérer le mutisme des œuvres d’art visuel qui conduit à voir ou à imaginer, dans celles qui montrent des aveugles, des représentations de la cécité qui ont en commun de faire d’elle une impuissance. Cet article analyse ensuite comment, pour le philosophe, ces mêmes œuvres peuvent être abordées en vertu d’une seconde manière d’envisager leur mutisme, et ainsi lues comme donnant à penser une cécité tout à fait autre, entendue cette fois comme puissance hautement résistante aux récits qui, dans l’Histoire, ont fait d’elle une impuissance. Il propose pour finir de compléter cette manière de lire les images picturales de la cécité au moyen du « schème du retournement » théorisé par Stiker et du « néo-historicisme » appliqué par Snyder et Mitchell aux représentations artistiques du handicap. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95742 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtProfessionnaliser les bénévoles : le "travail gratuit" au sein d’un dispositif pour femmes sans domicile / Marie Loison-Leruste in Le Sociographe, 73 (Mars 2021)
[article]
Titre : Professionnaliser les bénévoles : le "travail gratuit" au sein d’un dispositif pour femmes sans domicile Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Loison-Leruste ; Rosane Braud ; Camille Noûs Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 79-92 Note générale : DOI : https://doi.org/10.3917/graph.073.0079 http://dx.doi.org/https://doi.org/10.3917/graph.073.0079 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bénévolat Femme Professionnalisation Sans domicile fixe Urgence sociale Résumé : Cet article interroge la place des bénévoles dans un dispositif d’accueil d’urgence pour femmes sans domicile. L’Escale fonctionne grâce à la présence d’une équipe salariée et de nombreuses intervenantes, "profanes" ou "professionnelles", qui effectuent un "travail gratuit" essentiel à l’accompagnement de ces femmes. Malgré les efforts réalisés pour les professionnaliser, le dispositif ne parvient pas à éviter le désengagement des bénévoles. La porosité des frontières entre bénévolat et salariat questionne l’organisation, le sens et la pérennité du dispositif et fragilise l’ensemble des acteur·trices. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93386
in Le Sociographe > 73 (Mars 2021) . - p. 79-92[article] Professionnaliser les bénévoles : le "travail gratuit" au sein d’un dispositif pour femmes sans domicile [texte imprimé] / Marie Loison-Leruste ; Rosane Braud ; Camille Noûs . - 2021 . - p. 79-92.
DOI : https://doi.org/10.3917/graph.073.0079 http://dx.doi.org/https://doi.org/10.3917/graph.073.0079
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe > 73 (Mars 2021) . - p. 79-92
Mots-clés : Bénévolat Femme Professionnalisation Sans domicile fixe Urgence sociale Résumé : Cet article interroge la place des bénévoles dans un dispositif d’accueil d’urgence pour femmes sans domicile. L’Escale fonctionne grâce à la présence d’une équipe salariée et de nombreuses intervenantes, "profanes" ou "professionnelles", qui effectuent un "travail gratuit" essentiel à l’accompagnement de ces femmes. Malgré les efforts réalisés pour les professionnaliser, le dispositif ne parvient pas à éviter le désengagement des bénévoles. La porosité des frontières entre bénévolat et salariat questionne l’organisation, le sens et la pérennité du dispositif et fragilise l’ensemble des acteur·trices. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93386 Réservation
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