Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Eliot Gougeon |
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TRAITEMENT PAR ARTHROSCOPIE D’UNE LÉSION MÉNISCALE APPARUE APRÈS UNE TPLO / Eliot Gougeon in Le Point vétérinaire, Vol.53 N°441 (mai 2023)
[article]
Titre : TRAITEMENT PAR ARTHROSCOPIE D’UNE LÉSION MÉNISCALE APPARUE APRÈS UNE TPLO Type de document : texte imprimé Auteurs : Eliot Gougeon ; Philippe Haudiquet Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 54-62 Langues : Français (fre) Mots-clés : Grasset arthroscopie ménisque ligament croisé cranial ménisectomie Résumé :
Les ménisques sont des structures fibrocartilagineuses élastiques situées dans la cavité articulaire des grassets. Leur forme en croissant permet de rendre congruente l’articulation fémoro-tibiale, d’amortir les forces compressives lors de l’appui et d’augmenter la stabilité des grassets [8, 32]. Chaque grasset comporte un ménisque latéral et un médial, chacun constitué d’une corne craniale et caudale et d’un corps situé entre les deux cornes (figure 1). Chez le chien, les lésions méniscales sont principalement observées lors d’une rupture du ligament croisé cranial [1, 7, 8, 24]. Lorsqu’une exploration articulaire du grasset est entreprise avant une ostéotomie de nivellement du plateau tibial (TPLO), 33 % des arthrotomies et 58 % des arthroscopies révèlent des lésions du ménisque médial et 77 % de la corne latérale [7, 8]. Un diagnostic précis, passant par un examen orthopédique rigoureux et une exploration de l’articulation, permet le traitement chirurgical des lésions méniscales importantes [12]. Si l’atteinte n’est pas diagnostiquée lors de l’exploration de l’articulation, une boiterie insidieuse persiste ou réapparaît et rétrocède rarement médicalement. L’arthroscopie, grâce à une approche mini-invasive, permet de mettre en évidence et de traiter de nombreuses lésions méniscales qui, non diagnostiquées, peuvent provoquer des boiteries persistantes ou récidivantes [7].
Cet article illustre le cas d’une chienne présentant une boiterie qui a récidivé plusieurs mois après une rupture du ligament croisé cranial traitée par une TPLO. Dans ce contexte, l’arthroscopie du grasset a permis le diagnostic et le traitement d’une partie du ménisque lésé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110526
in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°441 (mai 2023) . - p. 54-62[article] TRAITEMENT PAR ARTHROSCOPIE D’UNE LÉSION MÉNISCALE APPARUE APRÈS UNE TPLO [texte imprimé] / Eliot Gougeon ; Philippe Haudiquet . - 2023 . - p. 54-62.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°441 (mai 2023) . - p. 54-62
Mots-clés : Grasset arthroscopie ménisque ligament croisé cranial ménisectomie Résumé :
Les ménisques sont des structures fibrocartilagineuses élastiques situées dans la cavité articulaire des grassets. Leur forme en croissant permet de rendre congruente l’articulation fémoro-tibiale, d’amortir les forces compressives lors de l’appui et d’augmenter la stabilité des grassets [8, 32]. Chaque grasset comporte un ménisque latéral et un médial, chacun constitué d’une corne craniale et caudale et d’un corps situé entre les deux cornes (figure 1). Chez le chien, les lésions méniscales sont principalement observées lors d’une rupture du ligament croisé cranial [1, 7, 8, 24]. Lorsqu’une exploration articulaire du grasset est entreprise avant une ostéotomie de nivellement du plateau tibial (TPLO), 33 % des arthrotomies et 58 % des arthroscopies révèlent des lésions du ménisque médial et 77 % de la corne latérale [7, 8]. Un diagnostic précis, passant par un examen orthopédique rigoureux et une exploration de l’articulation, permet le traitement chirurgical des lésions méniscales importantes [12]. Si l’atteinte n’est pas diagnostiquée lors de l’exploration de l’articulation, une boiterie insidieuse persiste ou réapparaît et rétrocède rarement médicalement. L’arthroscopie, grâce à une approche mini-invasive, permet de mettre en évidence et de traiter de nombreuses lésions méniscales qui, non diagnostiquées, peuvent provoquer des boiteries persistantes ou récidivantes [7].
Cet article illustre le cas d’une chienne présentant une boiterie qui a récidivé plusieurs mois après une rupture du ligament croisé cranial traitée par une TPLO. Dans ce contexte, l’arthroscopie du grasset a permis le diagnostic et le traitement d’une partie du ménisque lésé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110526 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleTumeur des cellules de la granulosa à la localisation atypique chez une chienne stérilisée / Eliot Gougeon in Le Point vétérinaire, 417 (Mai 2021)
[article]
Titre : Tumeur des cellules de la granulosa à la localisation atypique chez une chienne stérilisée Type de document : texte imprimé Auteurs : Eliot Gougeon ; Antoine Bernardé Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 60-67 Langues : Français (fre) Mots-clés : granulosa néoplasie rémanence ovaire ectopique chienne cancérologie animale cancérologie canine Résumé : La stérilisation est, en principe, un gage d’absence d’activité sexuelle. Il existe dans certains cas un échappement hormonal potentiellement délétère dont il convient d’identifier l’origine.
Résumé
Une chienne dogue allemand âgée de 9 ans, ayant subi une ovariohystérectomie à la suite d’un pyomètre à l’âge de 3 ans, est référée pour trouver l’origine de pertes vulvaires nauséabondes et brunes qui ne régressent pas malgré deux traitements antibiotiques. Des examens, échographique puis tomodensitométrique, révèlent deux masses dans le cadran abdominal moyen droit associées à une augmentation du volume du moignon utérin, ce qui motive la réalisation d’une laparotomie en vue de l’exérèse de ces trois structures. L’examen histologique met en évidence une tumeur ovarienne des cellules de la granulosa (TCG), un hématome péritonéal et une cervicite suppurée. Cette masse est située à distance de la fosse rétro-rénale où sont habituellement retrouvées les TCG qui se développent à partir d’un ovaire ou d’un résidu ovarien (rémanence ovarienne). Le bilan d’extension est négatif et l’intervention a permis la disparition totale des signes cliniques. Les tumeurs ovariennes canines sont relativement peu fréquentes et concernent essentiellement les chiennes entières âgées de 6 ans ou plus. Celles des cordons sexuels (tumeurs des cellules de la granulosa, lutéomes et thécomes) et les épithéliales sont les plus fréquentes, contrairement aux germinales. Elles sont toujours localisées au niveau du pédicule ovarien et il semble que le cas présenté soit la première description d’une tumeur ovarienne située à distance chez une chienne stérilisée. La sécrétion d’hormones sexuelles par les tumeurs des cellules de la granulosa est fréquente et provoque des signes cliniques associés au tractus génital. L’échographie et le scanner sont les examens complémentaires de choix pour l’exploration. La cytoponction sous contrôle échographique permet d’établir un diagnostic dans 95 % des cas, mais nécessite de tenir compte des risques de dissémination. Le pronostic est généralement bon après l’exérèse (en l’absence de métastases). Actuellement, aucun protocole de chimiothérapie ou de radiothérapie n’est validé de façon consensuelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93268
in Le Point vétérinaire > 417 (Mai 2021) . - p. 60-67[article] Tumeur des cellules de la granulosa à la localisation atypique chez une chienne stérilisée [texte imprimé] / Eliot Gougeon ; Antoine Bernardé . - 2021 . - p. 60-67.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > 417 (Mai 2021) . - p. 60-67
Mots-clés : granulosa néoplasie rémanence ovaire ectopique chienne cancérologie animale cancérologie canine Résumé : La stérilisation est, en principe, un gage d’absence d’activité sexuelle. Il existe dans certains cas un échappement hormonal potentiellement délétère dont il convient d’identifier l’origine.
Résumé
Une chienne dogue allemand âgée de 9 ans, ayant subi une ovariohystérectomie à la suite d’un pyomètre à l’âge de 3 ans, est référée pour trouver l’origine de pertes vulvaires nauséabondes et brunes qui ne régressent pas malgré deux traitements antibiotiques. Des examens, échographique puis tomodensitométrique, révèlent deux masses dans le cadran abdominal moyen droit associées à une augmentation du volume du moignon utérin, ce qui motive la réalisation d’une laparotomie en vue de l’exérèse de ces trois structures. L’examen histologique met en évidence une tumeur ovarienne des cellules de la granulosa (TCG), un hématome péritonéal et une cervicite suppurée. Cette masse est située à distance de la fosse rétro-rénale où sont habituellement retrouvées les TCG qui se développent à partir d’un ovaire ou d’un résidu ovarien (rémanence ovarienne). Le bilan d’extension est négatif et l’intervention a permis la disparition totale des signes cliniques. Les tumeurs ovariennes canines sont relativement peu fréquentes et concernent essentiellement les chiennes entières âgées de 6 ans ou plus. Celles des cordons sexuels (tumeurs des cellules de la granulosa, lutéomes et thécomes) et les épithéliales sont les plus fréquentes, contrairement aux germinales. Elles sont toujours localisées au niveau du pédicule ovarien et il semble que le cas présenté soit la première description d’une tumeur ovarienne située à distance chez une chienne stérilisée. La sécrétion d’hormones sexuelles par les tumeurs des cellules de la granulosa est fréquente et provoque des signes cliniques associés au tractus génital. L’échographie et le scanner sont les examens complémentaires de choix pour l’exploration. La cytoponction sous contrôle échographique permet d’établir un diagnostic dans 95 % des cas, mais nécessite de tenir compte des risques de dissémination. Le pronostic est généralement bon après l’exérèse (en l’absence de métastases). Actuellement, aucun protocole de chimiothérapie ou de radiothérapie n’est validé de façon consensuelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93268 Réservation
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