[article]
Titre : |
Un thérapeute à l’écoute, à qui l’on raconte et qui raconte... Comment travaille un thérapeute narratif ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Serge Mori |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 103-114 |
Note générale : |
Issu du dossier : Les singularités du thérapeute |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
thérapies narratives conversations thérapeutiques |
Résumé : |
Sous le soleil du quartier du Roucas Blanc à Marseille, issu en droite ligne d’un roman de Pagnol, les anciens racontent aux plus jeunes des histoires provençales. C’est sans doute de là que je tiens ma vocation de thérapeute narratif. La Provence, c’est la tradition orale, c’est lorsque la forme du dire prend de l’importance. Lorsqu’on raconte quelque chose à quelqu’un, puis à quelqu’un d’autre, et à un autre encore en amplifiant certaines choses, en sélectionnant d’autres pour produire un effet, on fait de la littérature orale. Cet usage de l’oralité, c’est l’âme de la Provence, l’art narratif est un art dramatique : il met en jeu la voix, le corps, la personnalité du conteur et aussi le public qui attend, adhère, censure ou retient et dans lequel quelqu’un peut être à son tour conteur. L’identité provençale réside dans cet art rhétorique et conversationnel ! C’est ainsi que j’en suis venu naturellement à exercer dans ma pratique clinique avec les thérapies narratives. |
Note de contenu : |
L’importance de sculpter le contexte pour accueillir l’histoire du patient
La narration comme « déconstruction » re-construction de notre réalité
Entre Narration, NarrAuteur et NarrActeur
Meryl, « une jeune anorexique », ou une re-négociation du problème avec « Anorexia » ?
Le rôle des thérapies narratives dans ma pratique clinique
La « déclosion » du thérapeute narratif
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=60870 |
in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux > 60 (octobre 2018) . - p. 103-114
[article] Un thérapeute à l’écoute, à qui l’on raconte et qui raconte... Comment travaille un thérapeute narratif ? [texte imprimé] / Serge Mori . - 2018 . - p. 103-114. Issu du dossier : Les singularités du thérapeute Langues : Français ( fre) in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux > 60 (octobre 2018) . - p. 103-114
Mots-clés : |
thérapies narratives conversations thérapeutiques |
Résumé : |
Sous le soleil du quartier du Roucas Blanc à Marseille, issu en droite ligne d’un roman de Pagnol, les anciens racontent aux plus jeunes des histoires provençales. C’est sans doute de là que je tiens ma vocation de thérapeute narratif. La Provence, c’est la tradition orale, c’est lorsque la forme du dire prend de l’importance. Lorsqu’on raconte quelque chose à quelqu’un, puis à quelqu’un d’autre, et à un autre encore en amplifiant certaines choses, en sélectionnant d’autres pour produire un effet, on fait de la littérature orale. Cet usage de l’oralité, c’est l’âme de la Provence, l’art narratif est un art dramatique : il met en jeu la voix, le corps, la personnalité du conteur et aussi le public qui attend, adhère, censure ou retient et dans lequel quelqu’un peut être à son tour conteur. L’identité provençale réside dans cet art rhétorique et conversationnel ! C’est ainsi que j’en suis venu naturellement à exercer dans ma pratique clinique avec les thérapies narratives. |
Note de contenu : |
L’importance de sculpter le contexte pour accueillir l’histoire du patient
La narration comme « déconstruction » re-construction de notre réalité
Entre Narration, NarrAuteur et NarrActeur
Meryl, « une jeune anorexique », ou une re-négociation du problème avec « Anorexia » ?
Le rôle des thérapies narratives dans ma pratique clinique
La « déclosion » du thérapeute narratif
Conclusion |
Permalink : |
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