[article] 
inJournal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°3 (Octobre 2018) . - p. 192-193

Titre :	Addendum à « Les lésions ostéochondrales du dôme du talus » [J. Traumatol. Sport 35 (3) (2018)]
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	J. Rodineau ; J.F. Kouvalchouk
Année de publication :	2018
Article en page(s) :	p. 192-193
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Talus  Lésions ostéochondrales
Note de contenu :	En 1984, avec Kouvalchouk et Julia, nous avions étudié une série de 18 publications regroupant 391 observations et rapporté 11 cas personnels. De notre étude, il ressortait un certain nombre de notions : ? les lésions ostéochondrales de la trochlée de l?astragale avaient été longtemps mal appréciées. Leur fréquence étant en réalité supérieure aux chiffres avancés ; ? ces lésions se présentaient à l?histologie comme des dissections ostéochondrales mais bien des points les différenciaient des ostéochondrites disséquantes. La théorie traumatique devait être considérée comme la plus probable mais elle ne pouvait cependant pas être admise sans réticence car il est des observations qui restaient obscures sur ce sujet. Dans les cas où le traumatisme était accepté comme étiologie, encore fallait-il savoir s?il s?agissait de fractures parcellaires ou de remaniements post-traumatiques sans lésions osseuses radiologiquement visibles au départ.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=59556

[article] Addendum à « Les lésions ostéochondrales du dôme du talus » [J. Traumatol. Sport 35 (3) (2018)] [texte imprimé] / J. Rodineau ; J.F. Kouvalchouk . - 2018 . - p. 192-193.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°3 (Octobre 2018) . - p. 192-193

Mots-clés :	Talus  Lésions ostéochondrales
Note de contenu :	En 1984, avec Kouvalchouk et Julia, nous avions étudié une série de 18 publications regroupant 391 observations et rapporté 11 cas personnels. De notre étude, il ressortait un certain nombre de notions : ? les lésions ostéochondrales de la trochlée de l?astragale avaient été longtemps mal appréciées. Leur fréquence étant en réalité supérieure aux chiffres avancés ; ? ces lésions se présentaient à l?histologie comme des dissections ostéochondrales mais bien des points les différenciaient des ostéochondrites disséquantes. La théorie traumatique devait être considérée comme la plus probable mais elle ne pouvait cependant pas être admise sans réticence car il est des observations qui restaient obscures sur ce sujet. Dans les cas où le traumatisme était accepté comme étiologie, encore fallait-il savoir s?il s?agissait de fractures parcellaires ou de remaniements post-traumatiques sans lésions osseuses radiologiquement visibles au départ.
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