Effet de l’entraînement intermittent sur le rapport aporprotéineB/apoprotéineA–I, chez les enfants obèses atteints de syndrome métabolique / A. Chihaoui-Mamlouk in Science & sports, Vol. 35, n°5 (2020)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol. 35, n°5 (2020) . - p. 300-307 Titre : Effet de l’entraînement intermittent sur le rapport aporprotéineB/apoprotéineA–I, chez les enfants obèses atteints de syndrome métabolique Titre original : Effect of intermittent training on apoproteinB/apoproteinA–I ratio in obese children with metabolic syndrome Auteurs : A. Chihaoui-Mamlouk ; W. Dardouri ; A. Bouassida ; F. Zarrouk ; N. Ouergui ; H. Bouani Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 300-307 Note générale : 10.1016/j.scispo.2019.12.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : Apoprotéine A  Apolipoprotéines B  Entrainement fractionné de haute intensité  Indice de masse corporelle  Obésité pédiatrique Résumé : Objectif Analyser l’effet d’un entraînement intermittent de 12 semaines sur les paramètres du syndrome métabolique et sur le rapport ApoprotéineB/ApoprotéineA–I chez les enfants obèses. Méthodes Cinquante-deux enfants obèses (MC : 81,35+3,1kg ; taille : 1,62+0,03m ; IMC : 30,8+0,7kg/m2) dont 26 ont participé au protocole d’entraînement intermittent et 26 ont constitué le groupe contrôle. Deux épreuves d’exercices maximale et métabolique ont été réalisées à une semaine d’intervalle avant et après le programme d’entraînement pour mesurer respectivement la consommation maximale d’oxygène et l’oxydation lipidique. Les paramètres anthropométriques, les apoprotéines A–I, apoprotéine B et biochimiques sont mesurés avant et après le programme. Le programme d’entraînement comporte trois séances de deux heures par semaine. Résultat Après le programme, la consommation maximale d’oxygène, les lipides de haute densité et l’oxydation lipidique ont augmenté significativement. L’indice de masse corporelle, la glycémie et les triglycérides ont baissé significativement. Le rapport ApoprotéineB/ApoprotéineA–I a diminué significativement (p <0,01) ainsi que les pressions systolique et diastolique respectivement chez les filles et chez les garçons de 7, 11, 6 et 15 %. Parmi le groupe entraîné, 16 ne sont plus atteints de syndrome métabolique après l’entraînement. Aucune variation significative n’a été observée chez les contrôles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90138 [article] Effet de l’entraînement intermittent sur le rapport aporprotéineB/apoprotéineA–I, chez les enfants obèses atteints de syndrome métabolique = Effect of intermittent training on apoproteinB/apoproteinA–I ratio in obese children with metabolic syndrome [] / A. Chihaoui-Mamlouk ; W. Dardouri ; A. Bouassida ; F. Zarrouk ; N. Ouergui ; H. Bouani . - 2020 . - p. 300-307. 10.1016/j.scispo.2019.12.003 Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol. 35, n°5 (2020) . - p. 300-307 Mots-clés : Apoprotéine A  Apolipoprotéines B  Entrainement fractionné de haute intensité  Indice de masse corporelle  Obésité pédiatrique Résumé : Objectif Analyser l’effet d’un entraînement intermittent de 12 semaines sur les paramètres du syndrome métabolique et sur le rapport ApoprotéineB/ApoprotéineA–I chez les enfants obèses. Méthodes Cinquante-deux enfants obèses (MC : 81,35+3,1kg ; taille : 1,62+0,03m ; IMC : 30,8+0,7kg/m2) dont 26 ont participé au protocole d’entraînement intermittent et 26 ont constitué le groupe contrôle. Deux épreuves d’exercices maximale et métabolique ont été réalisées à une semaine d’intervalle avant et après le programme d’entraînement pour mesurer respectivement la consommation maximale d’oxygène et l’oxydation lipidique. Les paramètres anthropométriques, les apoprotéines A–I, apoprotéine B et biochimiques sont mesurés avant et après le programme. Le programme d’entraînement comporte trois séances de deux heures par semaine. Résultat Après le programme, la consommation maximale d’oxygène, les lipides de haute densité et l’oxydation lipidique ont augmenté significativement. L’indice de masse corporelle, la glycémie et les triglycérides ont baissé significativement. Le rapport ApoprotéineB/ApoprotéineA–I a diminué significativement (p <0,01) ainsi que les pressions systolique et diastolique respectivement chez les filles et chez les garçons de 7, 11, 6 et 15 %. Parmi le groupe entraîné, 16 ne sont plus atteints de syndrome métabolique après l’entraînement. Aucune variation significative n’a été observée chez les contrôles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90138

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