"Qu'on se réjouisse de notre exclusion des établissements d'enseignement supérieur est à la limite de l'indécence." / Sarah Tulkens in Le JDJ / Journal du droit des jeunes, 397 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inLe JDJ / Journal du droit des jeunes > 397 (Septembre 2020) . - p. 30-31 Titre : "Qu'on se réjouisse de notre exclusion des établissements d'enseignement supérieur est à la limite de l'indécence." Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarah Tulkens ; Belge comme vous Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 30-31 Langues : Français (fre) Mots-clés : Voiles islamiques  Enseignement supérieur -- Belgique Résumé : "Le 5 juillet 2020, nous étions environ 4000 personnes à manifester en réaction à l'arrêt de la Cour constitutionnelle du 4 juin 2020. Cet arrêt déclare qu'une interdiction généralisée du port de signes convictionnels prou des étudiantes - fussent-elles adultes - dans un établissement d'enseignement supérieur ne constitue ni une violation de la liberté de religion, ni une violation du droit à l'instruction. Cela a été perçu par beaucoup comme une nouvelle atteinte aux droits des femmes musulmanes portant le foulard, et a suscité beaucoup d'indignation et de colère. Ce sont ces émotions qui ont été les catalyseurs du mouvement Hijabis Fight Back." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89815 [article] "Qu'on se réjouisse de notre exclusion des établissements d'enseignement supérieur est à la limite de l'indécence." [texte imprimé] / Sarah Tulkens ; Belge comme vous . - 2020 . - p. 30-31. Langues : Français (fre) in Le JDJ / Journal du droit des jeunes > 397 (Septembre 2020) . - p. 30-31 Mots-clés : Voiles islamiques  Enseignement supérieur -- Belgique Résumé : "Le 5 juillet 2020, nous étions environ 4000 personnes à manifester en réaction à l'arrêt de la Cour constitutionnelle du 4 juin 2020. Cet arrêt déclare qu'une interdiction généralisée du port de signes convictionnels prou des étudiantes - fussent-elles adultes - dans un établissement d'enseignement supérieur ne constitue ni une violation de la liberté de religion, ni une violation du droit à l'instruction. Cela a été perçu par beaucoup comme une nouvelle atteinte aux droits des femmes musulmanes portant le foulard, et a suscité beaucoup d'indignation et de colère. Ce sont ces émotions qui ont été les catalyseurs du mouvement Hijabis Fight Back." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89815

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