Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Bérangère Ravary-Plumioën |
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Examen et images normales des intestins des ruminants / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 419-420 (Juillet-août 2021)
[article]
Titre : Examen et images normales des intestins des ruminants Type de document : texte imprimé Auteurs : Bérangère Ravary-Plumioën, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 66-73 Langues : Français (fre) Mots-clés : échographie intestins duodénum jéjunum ruminants Résumé : L’examen échographique des différentes portions de l’intestin se réalise chez les ruminants au travers de la paroi abdominale droite, voire ventrale, des derniers espaces intercostaux au bord cranial de la cuisse selon le segment considéré (duodénum, jéjunum, iléon, cæcum, côlon). Au niveau du petit intestin, il est possible d’apprécier à la fois son aspect, son diamètre, son contenu et sa mobilité (péristaltisme intestinal). De par sa localisation anatomique particulière et son aspect, le duodénum est différenciable du reste du petit intestin. En revanche, le jéjunum et l’iléon ne peuvent être distingués l’un de l’autre. Au niveau du petit intestin, le contenu digestif est normalement visible sous la forme d’une structure hétérogène échogène à hypoéchogène en mouvement, mais il ne l’est pas au niveau du gros intestin en raison de la présence des gaz de fermentation à l’origine d’artefacts de réflexion des ultrasons. Normalement, les anses intestinales au niveau du jéjunum et de l’iléon ont un diamètre de 2 à 4 cm et une paroi de 3 mm d’épaisseur chez un adulte, tandis qu’elles sont de plus faible diamètre chez le veau (environ 1 cm) et les petits ruminants (environ 1,5 cm). L’activité péristaltique du gros intestin ne peut pas être objectivée par échographie, seuls des glissements de la paroi de l’organe contre la paroi abdominale sont visibles si la sonde est maintenue au même endroit pendant plusieurs minutes. L’aspect échographique de la masse intestinale est relativement comparable entre les bovins et les caprins, à l’exception de l’omentum plus épais et du duodénum cranial plus difficile à voir chez ces derniers. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95995
in Le Point vétérinaire > 419-420 (Juillet-août 2021) . - p. 66-73[article] Examen et images normales des intestins des ruminants [texte imprimé] / Bérangère Ravary-Plumioën, Auteur . - 2021 . - p. 66-73.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > 419-420 (Juillet-août 2021) . - p. 66-73
Mots-clés : échographie intestins duodénum jéjunum ruminants Résumé : L’examen échographique des différentes portions de l’intestin se réalise chez les ruminants au travers de la paroi abdominale droite, voire ventrale, des derniers espaces intercostaux au bord cranial de la cuisse selon le segment considéré (duodénum, jéjunum, iléon, cæcum, côlon). Au niveau du petit intestin, il est possible d’apprécier à la fois son aspect, son diamètre, son contenu et sa mobilité (péristaltisme intestinal). De par sa localisation anatomique particulière et son aspect, le duodénum est différenciable du reste du petit intestin. En revanche, le jéjunum et l’iléon ne peuvent être distingués l’un de l’autre. Au niveau du petit intestin, le contenu digestif est normalement visible sous la forme d’une structure hétérogène échogène à hypoéchogène en mouvement, mais il ne l’est pas au niveau du gros intestin en raison de la présence des gaz de fermentation à l’origine d’artefacts de réflexion des ultrasons. Normalement, les anses intestinales au niveau du jéjunum et de l’iléon ont un diamètre de 2 à 4 cm et une paroi de 3 mm d’épaisseur chez un adulte, tandis qu’elles sont de plus faible diamètre chez le veau (environ 1 cm) et les petits ruminants (environ 1,5 cm). L’activité péristaltique du gros intestin ne peut pas être objectivée par échographie, seuls des glissements de la paroi de l’organe contre la paroi abdominale sont visibles si la sonde est maintenue au même endroit pendant plusieurs minutes. L’aspect échographique de la masse intestinale est relativement comparable entre les bovins et les caprins, à l’exception de l’omentum plus épais et du duodénum cranial plus difficile à voir chez ces derniers. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95995 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleExamens complémentaires indiqués lors de suspicion d’atteinte urinaire chez les bovins / Clémence Bellini in Le Point vétérinaire, 418 (Juin 2021)
[article]
Titre : Examens complémentaires indiqués lors de suspicion d’atteinte urinaire chez les bovins Type de document : texte imprimé Auteurs : Clémence Bellini ; Bérangère Ravary-Plumioën Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 80-89 Langues : Français (fre) Mots-clés : urologie animale cystite animale néphrite animale pyélonéphrite bovine Bovins -- Maladies Résumé : Le recours à des examens complémentaires lors de suspicion d’une affection urinaire chez les bovins est utile pour établir un diagnostic précis, avant la mise en œuvre d’un plan thérapeutique adapté.
Résumé
Les affections de l’appareil urinaire des bovins sont variées, aussi bien en termes d’étiologie que de signes cliniques ou d’anomalies paracliniques qu’elles provoquent. Une étude rétrospective, réalisée à partir de 31 dossiers cliniques de bovins hospitalisés à l’École nationale vétérinaire d’Alfort, révèle le sous-diagnostic de ces affections par les vétérinaires et permet d’illustrer l’apport des examens complémentaires dans le diagnostic des affections urinaires bovines. Une affection du système urinaire n’a été suspectée que chez 29 % des bovins avant leur arrivée à l’ENVA, alors qu’un tel diagnostic a été établi chez 87 % de ces animaux après la réalisation de l’examen clinique complété d’une analyse d’urine et/ou d’une analyse biochimique des paramètres rénaux. Cependant, l’échographie semble l’examen le plus adapté à l’exploration du système urinaire. L’examen des reins et/ou de la vessie a permis de mettre en évidence une anomalie chez 78 % des bovins soumis à une échographie d’au moins un des organes de l’appareil urinaire. L’échographie s’est révélée être un examen très sensible et spécifique pour le diagnostic des pyélonéphrites, et très sensible mais peu spécifique pour celui des cystites. En revanche, le diagnostic de néphrite semble difficile, même avec la réalisation d’examens complémentaires.En ligne : https://www.lepointveterinaire.fr/publications/le-point-veterinaire/article/n-41 [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95655
in Le Point vétérinaire > 418 (Juin 2021) . - p. 80-89[article] Examens complémentaires indiqués lors de suspicion d’atteinte urinaire chez les bovins [texte imprimé] / Clémence Bellini ; Bérangère Ravary-Plumioën . - 2021 . - p. 80-89.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > 418 (Juin 2021) . - p. 80-89
Mots-clés : urologie animale cystite animale néphrite animale pyélonéphrite bovine Bovins -- Maladies Résumé : Le recours à des examens complémentaires lors de suspicion d’une affection urinaire chez les bovins est utile pour établir un diagnostic précis, avant la mise en œuvre d’un plan thérapeutique adapté.
Résumé
Les affections de l’appareil urinaire des bovins sont variées, aussi bien en termes d’étiologie que de signes cliniques ou d’anomalies paracliniques qu’elles provoquent. Une étude rétrospective, réalisée à partir de 31 dossiers cliniques de bovins hospitalisés à l’École nationale vétérinaire d’Alfort, révèle le sous-diagnostic de ces affections par les vétérinaires et permet d’illustrer l’apport des examens complémentaires dans le diagnostic des affections urinaires bovines. Une affection du système urinaire n’a été suspectée que chez 29 % des bovins avant leur arrivée à l’ENVA, alors qu’un tel diagnostic a été établi chez 87 % de ces animaux après la réalisation de l’examen clinique complété d’une analyse d’urine et/ou d’une analyse biochimique des paramètres rénaux. Cependant, l’échographie semble l’examen le plus adapté à l’exploration du système urinaire. L’examen des reins et/ou de la vessie a permis de mettre en évidence une anomalie chez 78 % des bovins soumis à une échographie d’au moins un des organes de l’appareil urinaire. L’échographie s’est révélée être un examen très sensible et spécifique pour le diagnostic des pyélonéphrites, et très sensible mais peu spécifique pour celui des cystites. En revanche, le diagnostic de néphrite semble difficile, même avec la réalisation d’examens complémentaires.En ligne : https://www.lepointveterinaire.fr/publications/le-point-veterinaire/article/n-41 [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95655 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleGestion du syndrome de lactation anormale chez les petits ruminants de compagnie / Marie-Hélène Barbot in Le Point vétérinaire, 418 (Juin 2021)
[article]
Titre : Gestion du syndrome de lactation anormale chez les petits ruminants de compagnie Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Hélène Barbot ; Bérangère Ravary-Plumioën Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 90-101 Langues : Français (fre) Mots-clés : lactation anormale ovine mammites ovines chèvres Résumé : Le syndrome de lactation anormale, rencontré chez des petits ruminants détenus comme animaux de compagnie, est souvent déroutant pour les vétérinaires, en raison de la complexité de sa prise en charge.
Résumé
Le syndrome de lactation anormale affecte les petits ruminants indépendamment d’une gestation préalable. Cette affection se traduit principalement par une augmentation de la taille de la mamelle et une production lactée plus ou moins importante. Les traitements se révèlent souvent inefficaces ou donnent lieu à des récidives. Les mesures chirurgicales semblent plus adaptées lorsqu’elles sont soigneusement effectuées, comme le montre une enquête réalisée en France auprès de vétérinaires via un questionnaire en ligne. Le syndrome de lactation anormale est estimé en moyenne à un cas par an dans la clientèle des 39 vétérinaires interrogés. Le traitement est généralement mis en place sans recherche de la cause du syndrome ni examen complémentaire. La gestion thérapeutique est très diverse, témoignant d’une probable méconnaissance de cette maladie par les praticiens. Du fait de l’augmentation du nombre de petits ruminants de compagnie en France, une augmentation de la prévalence de ce syndrome est à prévoir.En ligne : https://www.lepointveterinaire.fr/publications/le-point-veterinaire/article/n-41 [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95656
in Le Point vétérinaire > 418 (Juin 2021) . - p. 90-101[article] Gestion du syndrome de lactation anormale chez les petits ruminants de compagnie [texte imprimé] / Marie-Hélène Barbot ; Bérangère Ravary-Plumioën . - 2021 . - p. 90-101.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > 418 (Juin 2021) . - p. 90-101
Mots-clés : lactation anormale ovine mammites ovines chèvres Résumé : Le syndrome de lactation anormale, rencontré chez des petits ruminants détenus comme animaux de compagnie, est souvent déroutant pour les vétérinaires, en raison de la complexité de sa prise en charge.
Résumé
Le syndrome de lactation anormale affecte les petits ruminants indépendamment d’une gestation préalable. Cette affection se traduit principalement par une augmentation de la taille de la mamelle et une production lactée plus ou moins importante. Les traitements se révèlent souvent inefficaces ou donnent lieu à des récidives. Les mesures chirurgicales semblent plus adaptées lorsqu’elles sont soigneusement effectuées, comme le montre une enquête réalisée en France auprès de vétérinaires via un questionnaire en ligne. Le syndrome de lactation anormale est estimé en moyenne à un cas par an dans la clientèle des 39 vétérinaires interrogés. Le traitement est généralement mis en place sans recherche de la cause du syndrome ni examen complémentaire. La gestion thérapeutique est très diverse, témoignant d’une probable méconnaissance de cette maladie par les praticiens. Du fait de l’augmentation du nombre de petits ruminants de compagnie en France, une augmentation de la prévalence de ce syndrome est à prévoir.En ligne : https://www.lepointveterinaire.fr/publications/le-point-veterinaire/article/n-41 [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95656 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleImages anormales et intérêt de l'examen de la cavité péritonéale des ruminants / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 424 (Décembre 2021)
[article]
Titre : Images anormales et intérêt de l'examen de la cavité péritonéale des ruminants Type de document : texte imprimé Auteurs : Bérangère Ravary-Plumioën Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 58-73 Langues : Français (fre) Résumé : L’échographie abdominale, par voie transcutanée ou transrectale, permet de visualiser, outre les viscères abdominaux, un certain nombre d’anomalies péritonéales. La cavité péritonéale n’est visible qu’en cas d’épanchement, le liquide péritonéal à l’état sain n’étant pas visible du fait de son très faible volume. Lors d’un épanchement, l’évaluation de l’échogénicité du liquide péritonéal et de l’aspect des surfaces péritonéales est susceptible de différencier un exsudat d’un transsudat, et de donner des indications précieuses sur la cause de l’épanchement. Selon la localisation, il convient alors de rechercher d’autres anomalies organiques (défaut de motilité de certains segments digestifs, abcès, amas de fibrine, etc.). Des lésions compatibles avec une péritonite septique peuvent être retrouvées à divers positionnements, avec des localisations préférentielles pour certaines affections : région cranio-ventrale gauche lors de réticulo-péritonite traumatique, flanc gauche après la pose d’un trocart ruminal ou d’une césarienne, région cranio-ventrale droite lors d’ulcère de caillette ou d’abcès hépatique, flanc droit lors d’affection intestinale ou de laparotomie. L’échographie abdominale permet également de mettre en évidence d’autres anomalies péritonéales comme des abcès, des dépôts de fibrine, des tumeurs, mais aussi des anomalies rétropéritonéales, telles que des abcès, des hématomes ou un épanchement septique pariétal (“clapier”). Elle peut aussi détecter un défaut pariétal lors de hernie. Ainsi, l’échographie constitue un outil diagnostique permettant de visualiser des anomalies de la cavité péritonéale ou de ses parois qui sont souvent difficiles, voire impossibles à diagnostiquer par une simple palpation de l’abdomen. L’évaluation ultrasonographique peut être complétée par une ponction échoguidée de tout épanchement ou masse pour affiner le diagnostic. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98237
in Le Point vétérinaire > 424 (Décembre 2021) . - p. 58-73[article] Images anormales et intérêt de l'examen de la cavité péritonéale des ruminants [texte imprimé] / Bérangère Ravary-Plumioën . - 2021 . - p. 58-73.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > 424 (Décembre 2021) . - p. 58-73
Résumé : L’échographie abdominale, par voie transcutanée ou transrectale, permet de visualiser, outre les viscères abdominaux, un certain nombre d’anomalies péritonéales. La cavité péritonéale n’est visible qu’en cas d’épanchement, le liquide péritonéal à l’état sain n’étant pas visible du fait de son très faible volume. Lors d’un épanchement, l’évaluation de l’échogénicité du liquide péritonéal et de l’aspect des surfaces péritonéales est susceptible de différencier un exsudat d’un transsudat, et de donner des indications précieuses sur la cause de l’épanchement. Selon la localisation, il convient alors de rechercher d’autres anomalies organiques (défaut de motilité de certains segments digestifs, abcès, amas de fibrine, etc.). Des lésions compatibles avec une péritonite septique peuvent être retrouvées à divers positionnements, avec des localisations préférentielles pour certaines affections : région cranio-ventrale gauche lors de réticulo-péritonite traumatique, flanc gauche après la pose d’un trocart ruminal ou d’une césarienne, région cranio-ventrale droite lors d’ulcère de caillette ou d’abcès hépatique, flanc droit lors d’affection intestinale ou de laparotomie. L’échographie abdominale permet également de mettre en évidence d’autres anomalies péritonéales comme des abcès, des dépôts de fibrine, des tumeurs, mais aussi des anomalies rétropéritonéales, telles que des abcès, des hématomes ou un épanchement septique pariétal (“clapier”). Elle peut aussi détecter un défaut pariétal lors de hernie. Ainsi, l’échographie constitue un outil diagnostique permettant de visualiser des anomalies de la cavité péritonéale ou de ses parois qui sont souvent difficiles, voire impossibles à diagnostiquer par une simple palpation de l’abdomen. L’évaluation ultrasonographique peut être complétée par une ponction échoguidée de tout épanchement ou masse pour affiner le diagnostic. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98237 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtImages anormales et intérêt de l'examen des intestins des ruminants / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 421 (Septembre 2021)
[article]
Titre : Images anormales et intérêt de l'examen des intestins des ruminants Type de document : texte imprimé Auteurs : Bérangère Ravary-Plumioën Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 66-74 Langues : Français (fre) Résumé : Lors de signes cliniques d’un arrêt du transit digestif ou en l’absence de bruits intestinaux audibles à l’auscultation digestive chez un ruminant, l’échographie du petit intestin permet de vérifier la position anatomique de chaque segment et la présence ou non d’un péristaltisme intestinal, en observant la motilité des anses intestinales, mais aussi d’objectiver une dilatation en mesurant le diamètre des anses. Des images typiques ressemblant à une cible, un œil-de-bœuf, un oignon ou un sandwich doivent faire suspecter une intussusception jéjunale ou iléale, voire cæco-colique. Lors de syndrome hémorragique jéjunal, en plus de la dilatation des anses situées en amont de l’obstruction, un contenu luminal hyperéchogène, correspondant à un caillot de sang, peut être visualisé. Toutefois, la non-visualisation d’une anomalie intestinale, intraluminale ou pariétale ne permet pas d’exclure l’existence d’un syndrome intestinal occlusif ou obstructif, en cas de localisation trop profonde par rapport à l’exploration permise par la sonde utilisée. La visualisation d’une structure au contenu gazeux, sur une large zone du flanc droit, doit faire suspecter une dilatation du cæcum et/ou du côlon. À partir des seules images échographiques, la différenciation entre les différentes affections du cæcum (simple dilatation, torsion ou rétroflexion) est impossible, à moins de prendre en compte la projection anatomique de la structure dilatée. En plus de l’évaluation de l’aspect et de la localisation de chacun des segments intestinaux, il convient de rechercher la présence anormale d’un épanchement péritonéal ou d’autres anomalies, comme un épaississement pariétal ou de la fibrine. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96220
in Le Point vétérinaire > 421 (Septembre 2021) . - p. 66-74[article] Images anormales et intérêt de l'examen des intestins des ruminants [texte imprimé] / Bérangère Ravary-Plumioën . - 2021 . - p. 66-74.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > 421 (Septembre 2021) . - p. 66-74
Résumé : Lors de signes cliniques d’un arrêt du transit digestif ou en l’absence de bruits intestinaux audibles à l’auscultation digestive chez un ruminant, l’échographie du petit intestin permet de vérifier la position anatomique de chaque segment et la présence ou non d’un péristaltisme intestinal, en observant la motilité des anses intestinales, mais aussi d’objectiver une dilatation en mesurant le diamètre des anses. Des images typiques ressemblant à une cible, un œil-de-bœuf, un oignon ou un sandwich doivent faire suspecter une intussusception jéjunale ou iléale, voire cæco-colique. Lors de syndrome hémorragique jéjunal, en plus de la dilatation des anses situées en amont de l’obstruction, un contenu luminal hyperéchogène, correspondant à un caillot de sang, peut être visualisé. Toutefois, la non-visualisation d’une anomalie intestinale, intraluminale ou pariétale ne permet pas d’exclure l’existence d’un syndrome intestinal occlusif ou obstructif, en cas de localisation trop profonde par rapport à l’exploration permise par la sonde utilisée. La visualisation d’une structure au contenu gazeux, sur une large zone du flanc droit, doit faire suspecter une dilatation du cæcum et/ou du côlon. À partir des seules images échographiques, la différenciation entre les différentes affections du cæcum (simple dilatation, torsion ou rétroflexion) est impossible, à moins de prendre en compte la projection anatomique de la structure dilatée. En plus de l’évaluation de l’aspect et de la localisation de chacun des segments intestinaux, il convient de rechercher la présence anormale d’un épanchement péritonéal ou d’autres anomalies, comme un épaississement pariétal ou de la fibrine. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96220 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtImages anormales et intérêt de l’examen de la région de la caillette et du feuillet / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 417 (Mai 2021)
PermalinkImages anormales et intérêt de l’examen de la région du réseau et du rumen / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 415 (Mars 2021)
PermalinkImages anormales et intérêts de l’examen de l’ombilic du veau / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 411 (Novembre 2020)
PermalinkNORMALITÉTECHNIQUE ET IMAGES NORMALES DE LA RÉGION DU RÉSEAU ET DU RUMEN / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 412 (Décembre 2020)
PermalinkTechnique et images normales du foie des ruminants / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 422 (Octobre 2021)
PermalinkTechnique et images normales de la région de la caillette et du feuillet / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 416 (Avril 2021)
PermalinkTechnique et images normales de la région ombilicale chez le veau / Bérangère Ravary-Plumioën in Le Point vétérinaire, 410 (Octobre 2020)
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