Cancer du sein : regards croisés entre un kinésithérapeute-homme et une femme opérée : une expérience personnelle / Jean-Michel Labrot in Kinésithérapie, la revue, 227 (Novembre 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 227 (Novembre 2020) . - p. 40-42 Titre : Cancer du sein : regards croisés entre un kinésithérapeute-homme et une femme opérée : une expérience personnelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Labrot Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 40-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : cancer du sein  kinésithérapie  premier rendez-vous  communication Résumé : Visualiser le film de la première rencontre d’un kinésithérapeute-homme et d’une femme-patiente opérée du sein ne présage pas de ce que chacun d’eux pense et retient. Ici, la première description est celle faite par le kinésithérapeute spécialisé en sénologie et habitué à un certain cérémonial avec ses gestes professionnels. La seconde description, faite par la patiente, est celle du vécu qu’elle lui confiera plus tard. Des gestes habituels et légitimes comme la fermeture à clef du box de soin est un automatisme pour s’assurer de l’intimité du traitement. En revanche, cette fermeture est différemment perçue par la patiente. Ce court article est une réflexion sur le sens et le poids des gestes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89585 [article] Cancer du sein : regards croisés entre un kinésithérapeute-homme et une femme opérée : une expérience personnelle [texte imprimé] / Jean-Michel Labrot . - 2020 . - p. 40-42. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 227 (Novembre 2020) . - p. 40-42 Mots-clés : cancer du sein  kinésithérapie  premier rendez-vous  communication Résumé : Visualiser le film de la première rencontre d’un kinésithérapeute-homme et d’une femme-patiente opérée du sein ne présage pas de ce que chacun d’eux pense et retient. Ici, la première description est celle faite par le kinésithérapeute spécialisé en sénologie et habitué à un certain cérémonial avec ses gestes professionnels. La seconde description, faite par la patiente, est celle du vécu qu’elle lui confiera plus tard. Des gestes habituels et légitimes comme la fermeture à clef du box de soin est un automatisme pour s’assurer de l’intimité du traitement. En revanche, cette fermeture est différemment perçue par la patiente. Ce court article est une réflexion sur le sens et le poids des gestes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89585

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