Moisissures dans l’environnement et impacts sur la santé humaine / Jean-Pierre Gangneux in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 550 (Mars 2023)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 550 (Mars 2023) . - p. 44-52 Titre : Moisissures dans l’environnement et impacts sur la santé humaine Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Gangneux ; Florian Harel ; Hélène GUEGAN Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 44-52 Note générale : Issu du dossier "Microbiologie de l'environnement" Langues : Français (fre) Mots-clés : aérocontamination  aspergillose bronchopulmonaire allergique  aspergillose chronique  aspergillose invasive  contrôle de l’environnement Résumé : L’exposition aux moisissures, qui sont ubiquitaires dans notre environnement, est inévitable dans de nombreuses circonstances : à l’hôpital, sur le lieu du travail, au domicile… et peut induire un risque infectieux ou allergique en fonction de différents facteurs prédisposants. À l’hôpital, l’exposition de patients immunodéprimés aux micromycètes filamenteux tels qu’Aspergillus ou les mucorales peut se compliquer d’infections graves telles que les aspergilloses ou les mucormycoses invasives. La prévention de ces infections liées aux soins repose sur deux stratégies possibles : la chimioprophylaxie et la maîtrise du risque environnemental dans des secteurs « protégés » avec traitement de l’air et mesures annexes. Dans le cadre professionnel ou au domicile, l’exposition récurrente et prolongée aux moisissures de l’environnement peut induire des tableaux d’infections chroniques ou immuno-allergiques, en fonction de différents facteurs de susceptibilité de l’hôte. Aux moisissures s’ajoute généralement une exposition plus globale, microbiologique (avec les levures Pneumocystis, les bactéries et les virus) et chimique, constituant l’exposome dans son ensemble avec des risques d’effets synergiques (ou effets cocktails). La surveillance de la biocontamination fongique environnementale est un outil désormais indispensable dans les secteurs dits « protégés » des établissements de santé et peut se révéler pertinente, mais selon des modalités différentes, pour analyser le risque domiciliaire ou professionnel. Note de contenu : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(23)00054-0 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110183 [article] Moisissures dans l’environnement et impacts sur la santé humaine [texte imprimé] / Jean-Pierre Gangneux ; Florian Harel ; Hélène GUEGAN . - 2023 . - p. 44-52. Issu du dossier "Microbiologie de l'environnement" Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 550 (Mars 2023) . - p. 44-52 Mots-clés : aérocontamination  aspergillose bronchopulmonaire allergique  aspergillose chronique  aspergillose invasive  contrôle de l’environnement Résumé : L’exposition aux moisissures, qui sont ubiquitaires dans notre environnement, est inévitable dans de nombreuses circonstances : à l’hôpital, sur le lieu du travail, au domicile… et peut induire un risque infectieux ou allergique en fonction de différents facteurs prédisposants. À l’hôpital, l’exposition de patients immunodéprimés aux micromycètes filamenteux tels qu’Aspergillus ou les mucorales peut se compliquer d’infections graves telles que les aspergilloses ou les mucormycoses invasives. La prévention de ces infections liées aux soins repose sur deux stratégies possibles : la chimioprophylaxie et la maîtrise du risque environnemental dans des secteurs « protégés » avec traitement de l’air et mesures annexes. Dans le cadre professionnel ou au domicile, l’exposition récurrente et prolongée aux moisissures de l’environnement peut induire des tableaux d’infections chroniques ou immuno-allergiques, en fonction de différents facteurs de susceptibilité de l’hôte. Aux moisissures s’ajoute généralement une exposition plus globale, microbiologique (avec les levures Pneumocystis, les bactéries et les virus) et chimique, constituant l’exposome dans son ensemble avec des risques d’effets synergiques (ou effets cocktails). La surveillance de la biocontamination fongique environnementale est un outil désormais indispensable dans les secteurs dits « protégés » des établissements de santé et peut se révéler pertinente, mais selon des modalités différentes, pour analyser le risque domiciliaire ou professionnel. Note de contenu : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(23)00054-0 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110183

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Les protozooses à tropisme hépatique / Hélène GUEGAN in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 520 (Mars 2020)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 520 (Mars 2020) . - 74-80 Titre : Les protozooses à tropisme hépatique Auteurs : Hélène GUEGAN ; Kévin ORY ; Brice AUTIER Année de publication : 2020 Article en page(s) : 74-80 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diagnostic  Foie  Infection  Leishmaniose  Paludisme  Parasites  Toxoplasmose  Zoonose Résumé : Le foie est un organe filtre majeur et, de fait, peut héberger un certain nombre de parasites. Il peut s'agir aussi bien de protozoaires, c'est-à-dire des parasites unicellulaires, que d'helminthes beaucoup plus volumineux. Certains de ces parasites induisent une maladie essentiellement hépatique, tandis que d'autres sont impliqués dans un tableau multi-organes. Leur diagnostic n'est pas toujours aisé car il peut s'agir d'une localisation hépatique avec peu de répercussion sur le fonctionnement de l'organe, ou même d'une impasse parasitaire. Dans d'autres situations, la symptomatologie sera beaucoup plus bruyante à l'image d'un abcès amibien hépatique. C'est pourquoi, le diagnostic associe des techniques de mise en évidence directe du parasite à la sérologie et à l'imagerie. De manière intéressante, d'un point de vue tissulaire, le foie est capable de répondre très différemment à ces infections, avec une réponse qui peut être nécrotique, granulomateuse ou fibrotique. Les différents protozoaires pouvant être responsables d'atteintes hépatiques sont détaillés dans cet article. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88233 [article] Les protozooses à tropisme hépatique [] / Hélène GUEGAN ; Kévin ORY ; Brice AUTIER . - 2020 . - 74-80. Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 520 (Mars 2020) . - 74-80 Mots-clés : Diagnostic  Foie  Infection  Leishmaniose  Paludisme  Parasites  Toxoplasmose  Zoonose Résumé : Le foie est un organe filtre majeur et, de fait, peut héberger un certain nombre de parasites. Il peut s'agir aussi bien de protozoaires, c'est-à-dire des parasites unicellulaires, que d'helminthes beaucoup plus volumineux. Certains de ces parasites induisent une maladie essentiellement hépatique, tandis que d'autres sont impliqués dans un tableau multi-organes. Leur diagnostic n'est pas toujours aisé car il peut s'agir d'une localisation hépatique avec peu de répercussion sur le fonctionnement de l'organe, ou même d'une impasse parasitaire. Dans d'autres situations, la symptomatologie sera beaucoup plus bruyante à l'image d'un abcès amibien hépatique. C'est pourquoi, le diagnostic associe des techniques de mise en évidence directe du parasite à la sérologie et à l'imagerie. De manière intéressante, d'un point de vue tissulaire, le foie est capable de répondre très différemment à ces infections, avec une réponse qui peut être nécrotique, granulomateuse ou fibrotique. Les différents protozoaires pouvant être responsables d'atteintes hépatiques sont détaillés dans cet article. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88233

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