[article] 
inPensée Plurielle > 47 (2018/1) . - p. 151-160

Titre :	À partir de Kamel Daoud : essentialisme et universalisme contre désir de citoyenneté figée
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Chérifa Bouatta
Année de publication :	2018
Article en page(s) :	p. 151-160
Note générale :	Bibliographie p. 160
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Liberté -- Aspect religieux  Tolérance religieuse -- Islam  Essentialisme (doctrine de la Spiritualité vivante)  Universalisme (théologie)
Résumé :	"Kamel Daoud est un chroniqueur algérien qui soulève les questions les plus épineuses et les plus sensibles, voire les tabous, de la société algérienne. Il s’autorise à critiquer le religieux, à s’exprimer sur la sexualité et l’hypocrisie qui l’entoure, ainsi que sur les frustrations qui en découlent. Il a écrit une chronique (Le Monde, 31 janvier 2016) sur ce qu’on a appelé « les événements de Cologne » où il dénonce les comportements des migrants soupçonnés d’être les auteurs des agressions sexuelles contre des femmes occidentales. Il a été vilipendé, accusé d’essentialisme par des intellectuels occidentaux bien-pensants et voué aux gémonies par des intellectuels algériens, l’accusant de trahison. Ce texte discute les thèses développées par Kamel Daoud et celles des tenants de la morale dominante, tout en contextualisant leurs propos et en ouvrant des pistes de réflexion sur l’essentialisme et l’universalisme (ou l’universalisable)."
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=57109

[article] À partir de Kamel Daoud : essentialisme et universalisme contre désir de citoyenneté figée [texte imprimé] / Chérifa Bouatta . - 2018 . - p. 151-160.
Bibliographie p. 160
Langues : Français (fre)
in Pensée Plurielle > 47 (2018/1) . - p. 151-160

Mots-clés :	Liberté -- Aspect religieux  Tolérance religieuse -- Islam  Essentialisme (doctrine de la Spiritualité vivante)  Universalisme (théologie)
Résumé :	"Kamel Daoud est un chroniqueur algérien qui soulève les questions les plus épineuses et les plus sensibles, voire les tabous, de la société algérienne. Il s’autorise à critiquer le religieux, à s’exprimer sur la sexualité et l’hypocrisie qui l’entoure, ainsi que sur les frustrations qui en découlent. Il a écrit une chronique (Le Monde, 31 janvier 2016) sur ce qu’on a appelé « les événements de Cologne » où il dénonce les comportements des migrants soupçonnés d’être les auteurs des agressions sexuelles contre des femmes occidentales. Il a été vilipendé, accusé d’essentialisme par des intellectuels occidentaux bien-pensants et voué aux gémonies par des intellectuels algériens, l’accusant de trahison. Ce texte discute les thèses développées par Kamel Daoud et celles des tenants de la morale dominante, tout en contextualisant leurs propos et en ouvrant des pistes de réflexion sur l’essentialisme et l’universalisme (ou l’universalisable)."
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