Dépression et (in)capacité de travail / Sigrid Vancorenland in MC-Informations [périodique éléctronique], 257 (Septembre 2014)

Public ISBD [article]  inMC-Informations [périodique éléctronique] > 257 (Septembre 2014) . - pp. 25-36 Titre : Dépression et (in)capacité de travail : analyse d'une étude qualitative Type de document : texte imprimé Auteurs : Sigrid Vancorenland, Auteur ; Rebekka Verniest, Auteur ; Hervé Avalosse, Auteur ; Jan Vandenbergen, Collaborateur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 25-36 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dépression  Incapacité totale de travail  Santé mentale Résumé : "Grâce à vingt entretiens approfondis de personnes ayant vécu une dépression, nous avons pu mieux comprendre la relation entre celle-ci et l’(in)capacité de travail. La dépression est une maladie mal connue et les tabous qui l’entourent ont la vie dure. Par conséquent, les problèmes qui y sont liés sont souvent minimisés, persistent et aggravent la situation, jusqu’à ce que l’intéressé finissent par comprendre qu’il ne peut pas continuer ainsi et demande de l’aide. Le médecin généraliste joue un rôle central en faisant office de personne de confiance dans le processus de guérison. Les antidépresseurs et les entretiens psychologiques sont les remèdes habituels. Les contacts sociaux avec des proches et avec la famille sont décisifs dans le cadre du rétablissement." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97740 [article] Dépression et (in)capacité de travail : analyse d'une étude qualitative [texte imprimé] / Sigrid Vancorenland, Auteur ; Rebekka Verniest, Auteur ; Hervé Avalosse, Auteur ; Jan Vandenbergen, Collaborateur . - 2014 . - pp. 25-36. Langues : Français (fre) in MC-Informations [périodique éléctronique] > 257 (Septembre 2014) . - pp. 25-36 Mots-clés : Dépression  Incapacité totale de travail  Santé mentale Résumé : "Grâce à vingt entretiens approfondis de personnes ayant vécu une dépression, nous avons pu mieux comprendre la relation entre celle-ci et l’(in)capacité de travail. La dépression est une maladie mal connue et les tabous qui l’entourent ont la vie dure. Par conséquent, les problèmes qui y sont liés sont souvent minimisés, persistent et aggravent la situation, jusqu’à ce que l’intéressé finissent par comprendre qu’il ne peut pas continuer ainsi et demande de l’aide. Le médecin généraliste joue un rôle central en faisant office de personne de confiance dans le processus de guérison. Les antidépresseurs et les entretiens psychologiques sont les remèdes habituels. Les contacts sociaux avec des proches et avec la famille sont décisifs dans le cadre du rétablissement." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97740

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Les plus jeunes de la classe ont un risque plus élevé de diagnostic de TDAH / Caroline Lebbe in MC-Informations [périodique éléctronique], 269 (Septembre 2017)

Public ISBD [article]  inMC-Informations [périodique éléctronique] > 269 (Septembre 2017) . - p. 41-45 Titre : Les plus jeunes de la classe ont un risque plus élevé de diagnostic de TDAH Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Lebbe ; Rose-Marie Ntahonganyira ; Jan Vandenbergen Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 41-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : Troubles d'hyperactivité avec déficit de l'attention Résumé : "Les troubles de l’attention, l’hyperactivité et l’impulsivité chez les jeunes constituent un problème de société. Le traitement à l’aide du méthylphénidate du « trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité », TDAH en abrégé, existe depuis maintenant quelques décennies. Ce médicament est couramment utilisé en Belgique. Au moins la moitié des prescriptions interviennent dans un circuit en dehors de celui du remboursement officiel. La consommation semble par ailleurs baisser en été. La MC a examiné la consommation de méthylphénidate chez les jeunes de moins de 18 ans. Il est frappant de constater, dans l’étude de la MC, que les plus jeunes de la classe courent plus de risques de se faire poser un diagnostic de TDAH. Nous en concluons que le risque de médicalisation du développement normal est réel. La MC propose d’enregistrer l’usage du méthylphénidate et de développer des trajets de soins multidisciplinaires." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97818 [article] Les plus jeunes de la classe ont un risque plus élevé de diagnostic de TDAH [texte imprimé] / Caroline Lebbe ; Rose-Marie Ntahonganyira ; Jan Vandenbergen . - 2017 . - p. 41-45. Langues : Français (fre) in MC-Informations [périodique éléctronique] > 269 (Septembre 2017) . - p. 41-45 Mots-clés : Troubles d'hyperactivité avec déficit de l'attention Résumé : "Les troubles de l’attention, l’hyperactivité et l’impulsivité chez les jeunes constituent un problème de société. Le traitement à l’aide du méthylphénidate du « trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité », TDAH en abrégé, existe depuis maintenant quelques décennies. Ce médicament est couramment utilisé en Belgique. Au moins la moitié des prescriptions interviennent dans un circuit en dehors de celui du remboursement officiel. La consommation semble par ailleurs baisser en été. La MC a examiné la consommation de méthylphénidate chez les jeunes de moins de 18 ans. Il est frappant de constater, dans l’étude de la MC, que les plus jeunes de la classe courent plus de risques de se faire poser un diagnostic de TDAH. Nous en concluons que le risque de médicalisation du développement normal est réel. La MC propose d’enregistrer l’usage du méthylphénidate et de développer des trajets de soins multidisciplinaires." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97818

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Santé mentale : vieillir rend moins heureux / Giulia Camilotti in MC-Informations [périodique éléctronique], 268 (Juin 2017)

Public ISBD [article]  inMC-Informations [périodique éléctronique] > 268 (Juin 2017) . - p. 17-21 Titre : Santé mentale : vieillir rend moins heureux Type de document : texte imprimé Auteurs : Giulia Camilotti ; Rebekka Verniest ; Jan Vandenbergen Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 17-21 Langues : Français (fre) Mots-clés : Personnes âgées -- Santé mentale  Antidépresseurs Résumé : "L’image de personnes âgées jouissant enfin de vieux jours tranquilles, après une vie bien remplie durant laquelle travail et famille ont parfois été difficiles à concilier, est un mythe. Nous pensons parfois, et certaines recherches semblent le confirmer, que les personnes âgées font partie des plus heureuses. Une étude de la MC relative à la consommation d’antidépresseurs nous apprend cependant que cette image doit, pour le moins, être nuancée. L’idée de couler de vieux jours heureux n’est pas une réalité pour nombre de seniors. En effet, un octogénaire consomme près de trois fois plus d’antidépresseurs qu’un trentenaire. Chez les femmes de plus de 80 ans, le recours aux antidépresseurs concerne même près d’une personne sur cinq. Mais la fragilisation de la santé mentale de nombreuses personnes âgées ne devrait peut-être pas tant nous étonner. Le retrait de la vie professionnelle, une capacité physique amoindrie par l’âge, le risque accru d’affections chroniques et de multimorbidité, le deuil du partenaire et d’amis ... sont autant de changements profonds, de pertes qui les rendent vulnérables, qui augmentent le risque d’isolement social et renforcent donc le risque de problèmes psychiques, dont la dépression." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97862 [article] Santé mentale : vieillir rend moins heureux [texte imprimé] / Giulia Camilotti ; Rebekka Verniest ; Jan Vandenbergen . - 2017 . - p. 17-21. Langues : Français (fre) in MC-Informations [périodique éléctronique] > 268 (Juin 2017) . - p. 17-21 Mots-clés : Personnes âgées -- Santé mentale  Antidépresseurs Résumé : "L’image de personnes âgées jouissant enfin de vieux jours tranquilles, après une vie bien remplie durant laquelle travail et famille ont parfois été difficiles à concilier, est un mythe. Nous pensons parfois, et certaines recherches semblent le confirmer, que les personnes âgées font partie des plus heureuses. Une étude de la MC relative à la consommation d’antidépresseurs nous apprend cependant que cette image doit, pour le moins, être nuancée. L’idée de couler de vieux jours heureux n’est pas une réalité pour nombre de seniors. En effet, un octogénaire consomme près de trois fois plus d’antidépresseurs qu’un trentenaire. Chez les femmes de plus de 80 ans, le recours aux antidépresseurs concerne même près d’une personne sur cinq. Mais la fragilisation de la santé mentale de nombreuses personnes âgées ne devrait peut-être pas tant nous étonner. Le retrait de la vie professionnelle, une capacité physique amoindrie par l’âge, le risque accru d’affections chroniques et de multimorbidité, le deuil du partenaire et d’amis ... sont autant de changements profonds, de pertes qui les rendent vulnérables, qui augmentent le risque d’isolement social et renforcent donc le risque de problèmes psychiques, dont la dépression." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97862

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