Centre de Documentation Campus Montignies
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Auteur Sigrid Vancorenland |
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Santé positive : l’engagement social et la santé / Sigrid Vancorenland in MC-Informations [périodique éléctronique], 279 (Mars 2020)
[article]
Titre : Santé positive : l’engagement social et la santé Type de document : texte imprimé Auteurs : Sigrid Vancorenland ; Hervé Avalosse ; Rebekka Verniest ; Bernard Rime ; Jessica Morton ; Johan Tourné ; Coraline Brodkom ; Johan Truyers ; Ellen Ophalvens ; Eric Olbregts ; Benjamin Vandervoort ; Géraldine Maquet ; Johan Swinnen ; Jean-Baptiste Dayez Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 26-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : Participation sociale Santé Résumé : "Une étude à grande échelle de la MC et de ses mouvements, en collaboration avec la Faculté de psychologie de l’UCLouvain, s’est intéressée au lien entre l’engagement social et la santé.
Pour ce faire, 7.021 personnes ont répondu à un questionnaire en ligne qui évaluait l’engagement social, les processus psychosociaux (soutien social, solitude...) et la santé subjective. Les résultats ont été couplés aux données de la MC, dont les informations de remboursement de soins de santé de 2017 et 2018 (contacts avec les médecins traitants et spécialistes, hospitalisations, médicaments) fournissent un indicateur objectif de la santé. Parmi les personnes interrogées, 2.033 étaient des volontaires d’un des mouvements de la MC (Samana, Altéo, Okra, Énéo, énéoSport, Kazou, Ocarina et Intersoc). Les 4.988 autres participants provenaient d’un échantillon représentatif des membres MC. Ils ont été répartis en trois groupes en fonction de leurs réponses : « participation active » (volontaire engagé dans l’organisation d’une association structurée), « participation passive » (personne bénéficiant des activités organisées par une association structurée) et « aucune participation » (personne n’ayant aucun contact avec une organisation structurée).
La comparaison de ces quatre groupes a montré un lien important entre l’engagement social et tous les processus psychosociaux évalués. Les personnes participant à la vie sociale structurée ont entre autres davantage l’impression de faire partie de la société, ont des liens sociaux plus forts, se sentent moins seules, ont un plus grand sentiment d’épanouissement et sont moins individualistes que celles qui n’y participent pas. Plus la participation est active, plus les différences sont importantes. Les volontaires des mouvements de la MC se démarquent souvent des autres volontaires (participation active) de manière positive.Ces processus psychosociaux sont associés à la santé subjective. La non-participation à la vie associative est liée négativement à la façon dont on évalue sa propre santé. Par contre, le score de la santé perçue est plus élevé dès que l’on participe à la vie associative (que cette participation soit passive ou active). Et c’est le volontariat dans un des mouvements de la MC qui a le score le plus élevé, traduisant ainsi un lien positif avec la santé subjective.
Cette impression de bonne santé influence l’utilisation des soins de santé : plus on se sent bien, moins on a recours aux soins de santé. Les personnes ne participant pas à la vie sociale structurée ont plus de contacts avec le médecin généraliste (+10%) et avec le spécialiste (+17%), en comparaison avec les volontaires de la MC. Ils ont également plus d’ hospitalisations de jour (+48%), et consomment plus de médicaments (+17%)."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97863
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 26-39[article] Santé positive : l’engagement social et la santé [texte imprimé] / Sigrid Vancorenland ; Hervé Avalosse ; Rebekka Verniest ; Bernard Rime ; Jessica Morton ; Johan Tourné ; Coraline Brodkom ; Johan Truyers ; Ellen Ophalvens ; Eric Olbregts ; Benjamin Vandervoort ; Géraldine Maquet ; Johan Swinnen ; Jean-Baptiste Dayez . - 2020 . - p. 26-39.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 279 (Mars 2020) . - p. 26-39
Mots-clés : Participation sociale Santé Résumé : "Une étude à grande échelle de la MC et de ses mouvements, en collaboration avec la Faculté de psychologie de l’UCLouvain, s’est intéressée au lien entre l’engagement social et la santé.
Pour ce faire, 7.021 personnes ont répondu à un questionnaire en ligne qui évaluait l’engagement social, les processus psychosociaux (soutien social, solitude...) et la santé subjective. Les résultats ont été couplés aux données de la MC, dont les informations de remboursement de soins de santé de 2017 et 2018 (contacts avec les médecins traitants et spécialistes, hospitalisations, médicaments) fournissent un indicateur objectif de la santé. Parmi les personnes interrogées, 2.033 étaient des volontaires d’un des mouvements de la MC (Samana, Altéo, Okra, Énéo, énéoSport, Kazou, Ocarina et Intersoc). Les 4.988 autres participants provenaient d’un échantillon représentatif des membres MC. Ils ont été répartis en trois groupes en fonction de leurs réponses : « participation active » (volontaire engagé dans l’organisation d’une association structurée), « participation passive » (personne bénéficiant des activités organisées par une association structurée) et « aucune participation » (personne n’ayant aucun contact avec une organisation structurée).
La comparaison de ces quatre groupes a montré un lien important entre l’engagement social et tous les processus psychosociaux évalués. Les personnes participant à la vie sociale structurée ont entre autres davantage l’impression de faire partie de la société, ont des liens sociaux plus forts, se sentent moins seules, ont un plus grand sentiment d’épanouissement et sont moins individualistes que celles qui n’y participent pas. Plus la participation est active, plus les différences sont importantes. Les volontaires des mouvements de la MC se démarquent souvent des autres volontaires (participation active) de manière positive.Ces processus psychosociaux sont associés à la santé subjective. La non-participation à la vie associative est liée négativement à la façon dont on évalue sa propre santé. Par contre, le score de la santé perçue est plus élevé dès que l’on participe à la vie associative (que cette participation soit passive ou active). Et c’est le volontariat dans un des mouvements de la MC qui a le score le plus élevé, traduisant ainsi un lien positif avec la santé subjective.
Cette impression de bonne santé influence l’utilisation des soins de santé : plus on se sent bien, moins on a recours aux soins de santé. Les personnes ne participant pas à la vie sociale structurée ont plus de contacts avec le médecin généraliste (+10%) et avec le spécialiste (+17%), en comparaison avec les volontaires de la MC. Ils ont également plus d’ hospitalisations de jour (+48%), et consomment plus de médicaments (+17%)."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97863 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La situation financière et sociale des invalides / Hervé Avalosse in MC-Informations [périodique éléctronique], 266 (Décembre 2016)
[article]
Titre : La situation financière et sociale des invalides Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Avalosse ; Rebekka Verniest ; Sigrid Vancorenland Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 3-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : Invalides Soins médicaux Soins médicaux -- Coût Réinsertion professionnelle Résumé : "15 ans après la première étude sur la situation financière et sociale des invalides (2001), une mise à jour était nécessaire. [...]
Les résultats de l’étude montrent que la moitié des familles invalides peuvent difficilement joindre les deux bouts avec leur revenu familial. Bien qu’il s’agisse d’une légère baisse par rapport à 2001, lorsque 55% déclaraient avoir du mal à s’en sortir, cela demeure un résultat décevant. Les invalides isolés (avec ou sans enfants) et les invalides âgés de 18 à 44 ans sont particulièrement touchés."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97787
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 266 (Décembre 2016) . - p. 3-15[article] La situation financière et sociale des invalides [texte imprimé] / Hervé Avalosse ; Rebekka Verniest ; Sigrid Vancorenland . - 2016 . - p. 3-15.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations [périodique éléctronique] > 266 (Décembre 2016) . - p. 3-15
Mots-clés : Invalides Soins médicaux Soins médicaux -- Coût Réinsertion professionnelle Résumé : "15 ans après la première étude sur la situation financière et sociale des invalides (2001), une mise à jour était nécessaire. [...]
Les résultats de l’étude montrent que la moitié des familles invalides peuvent difficilement joindre les deux bouts avec leur revenu familial. Bien qu’il s’agisse d’une légère baisse par rapport à 2001, lorsque 55% déclaraient avoir du mal à s’en sortir, cela demeure un résultat décevant. Les invalides isolés (avec ou sans enfants) et les invalides âgés de 18 à 44 ans sont particulièrement touchés."Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97787 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Soins aux personnes vivant avec une maladie chronique / Sigrid Vancorenland in Santé & société [périodique électronique], 4 (décembre 2022)
[article]
Titre : Soins aux personnes vivant avec une maladie chronique : Rapport de performance du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) Type de document : texte imprimé Auteurs : Sigrid Vancorenland Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 92-97 Langues : Français (fre) Mots-clés : Malades chroniques Malades chroniques -- Services aux Maladies chroniques Soins médicaux Soins de longue durée Résumé : "Dans son rapport de performance sur les malades chroniques, le KCE évalue les soins qui leur sont prodigués en se basant sur une sélection d’indicateurs, afin d’améliorer les soins pour ce groupe. Un premier constat est qu’il n’existe pas de définition officielle des malades chroniques en Belgique. Il est donc difficile de se faire une idée de leur nombre, leur identification dans les bases de données n’étant pas simple. Une première recommandation du rapport est de lancer un groupe de travail avec pour objectif d’élaborer une définition officielle des malades chroniques. Mais, quelle que soit la définition utilisée, les résultats montrent que le nombre de malades chroniques augmente en Belgique et que leur qualité de vie est inférieure à celle du reste de la population. La qualité de la prise en charge des malades chroniques présente à la fois des points forts et des points faibles. Certains indicateurs obtiennent de bons résultats, notamment ceux évaluant la qualité de la relation avec le·la médecin et ceux traitant des hospitalisations évitables pour cause d’asthme. D’autres indicateurs obtiennent de mauvais scores, à savoir, les hospitalisations évitables pour les bronchopneumopathies chroniques obstructives, la proportion de diabétiques bénéficiant d’un suivi approprié et la proportion de diabétiques sans insuline inscrits dans un système de soins pour le diabète. Les efforts déjà consentis pour améliorer l’accessibilité financière des soins pour les malades chroniques doivent être poursuivis. Ce groupe doit plus fréquemment reporter des soins pour des raisons financières et peut aussi rencontrer des difficultés financières en raison des contributions personnelles demandées. Dans le domaine de la prévention, des améliorations sont également possibles et nécessaires. Par exemple, les indicateurs « dépistage du cancer du sein » et « examen dentaire préventif » obtiennent de mauvais résultats. Ce rapport fournit des informations précieuses sur les performances du système de santé pour les personnes vivant avec une maladie chronique. Il appartient maintenant aux décideurs politiques de donner suite aux recommandations afin d’améliorer encore les soins dispensés à cet important groupe cible" En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/4f39db303487b811/original/Sante-Societe-n-4.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109466
in Santé & société [périodique électronique] > 4 (décembre 2022) . - p. 92-97[article] Soins aux personnes vivant avec une maladie chronique : Rapport de performance du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) [texte imprimé] / Sigrid Vancorenland . - 2022 . - p. 92-97.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 4 (décembre 2022) . - p. 92-97
Mots-clés : Malades chroniques Malades chroniques -- Services aux Maladies chroniques Soins médicaux Soins de longue durée Résumé : "Dans son rapport de performance sur les malades chroniques, le KCE évalue les soins qui leur sont prodigués en se basant sur une sélection d’indicateurs, afin d’améliorer les soins pour ce groupe. Un premier constat est qu’il n’existe pas de définition officielle des malades chroniques en Belgique. Il est donc difficile de se faire une idée de leur nombre, leur identification dans les bases de données n’étant pas simple. Une première recommandation du rapport est de lancer un groupe de travail avec pour objectif d’élaborer une définition officielle des malades chroniques. Mais, quelle que soit la définition utilisée, les résultats montrent que le nombre de malades chroniques augmente en Belgique et que leur qualité de vie est inférieure à celle du reste de la population. La qualité de la prise en charge des malades chroniques présente à la fois des points forts et des points faibles. Certains indicateurs obtiennent de bons résultats, notamment ceux évaluant la qualité de la relation avec le·la médecin et ceux traitant des hospitalisations évitables pour cause d’asthme. D’autres indicateurs obtiennent de mauvais scores, à savoir, les hospitalisations évitables pour les bronchopneumopathies chroniques obstructives, la proportion de diabétiques bénéficiant d’un suivi approprié et la proportion de diabétiques sans insuline inscrits dans un système de soins pour le diabète. Les efforts déjà consentis pour améliorer l’accessibilité financière des soins pour les malades chroniques doivent être poursuivis. Ce groupe doit plus fréquemment reporter des soins pour des raisons financières et peut aussi rencontrer des difficultés financières en raison des contributions personnelles demandées. Dans le domaine de la prévention, des améliorations sont également possibles et nécessaires. Par exemple, les indicateurs « dépistage du cancer du sein » et « examen dentaire préventif » obtiennent de mauvais résultats. Ce rapport fournit des informations précieuses sur les performances du système de santé pour les personnes vivant avec une maladie chronique. Il appartient maintenant aux décideurs politiques de donner suite aux recommandations afin d’améliorer encore les soins dispensés à cet important groupe cible" En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/4f39db303487b811/original/Sante-Societe-n-4.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109466 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Soins de santé somatiques en institutions psychiatriques / Sigrid Vancorenland in Santé & société [périodique électronique], 3 (Octobre 2022)
[article]
Titre : Soins de santé somatiques en institutions psychiatriques : Résumé du rapport du Centre Fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) Type de document : texte imprimé Auteurs : Sigrid Vancorenland Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 82-85 Langues : Français (fre) Mots-clés : Santé mentale Psychiatrie Hôpitaux psychiatriques Diabètes Obésité Hypertension artérielle Résumé : "Les personnes atteintes de troubles psychiatriques présentent un risque plus élevé de problèmes somatiques (hypertension, diabète, obésité). Pourtant, elles ont un accès plus difficile aux soins de santé somatiques que la population générale. Le rapport KCE tente de comprendre la cause de cette situation. Pour cela les chercheurs du KCE combinent une étude de la littérature avec des données chiffrées, des entretiens individuels et de groupes de discussion avec des patients et des prestataires de soins (psychiatriques). L’étude se limite aux soins somatiques dans des contextes de soins spécifiques (tels que les hôpitaux psychiatriques) et ne couvre donc pas les soins ambulatoires (psychiatriques ou de santé mentale). Le rapport du KCE identifie plusieurs causes à ce déficit de santé. L’explication se trouve en partie dans les préjugés et le manque de connaissances. En conséquence, les problèmes de santé sont plus souvent attribués à l’état psychiatrique du patient et les problèmes de santé somatiques sont négligés. Une autre explication est que l’organisation des soins somatiques souffre de contraintes administratives et financières. Le rôle et le financement du médecin généraliste et des spécialistes somatiques ne facilitent pas toujours la fourniture des soins somatiques nécessaires aux patients psychiatriques. De même, l’accès aux médicaments ambulatoires pour les maladies préexistantes avant l’hospitalisation est souvent un problème. Enfin, le problème
de la communication et de la continuité des soins est également mentionné, tant à l’admission que pendant le séjour, mais aussi après la sortie. Le rapport du KCE formule un certain nombre de recommandations pour y remédier."En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106233
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 82-85[article] Soins de santé somatiques en institutions psychiatriques : Résumé du rapport du Centre Fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) [texte imprimé] / Sigrid Vancorenland . - 2022 . - p. 82-85.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 82-85
Mots-clés : Santé mentale Psychiatrie Hôpitaux psychiatriques Diabètes Obésité Hypertension artérielle Résumé : "Les personnes atteintes de troubles psychiatriques présentent un risque plus élevé de problèmes somatiques (hypertension, diabète, obésité). Pourtant, elles ont un accès plus difficile aux soins de santé somatiques que la population générale. Le rapport KCE tente de comprendre la cause de cette situation. Pour cela les chercheurs du KCE combinent une étude de la littérature avec des données chiffrées, des entretiens individuels et de groupes de discussion avec des patients et des prestataires de soins (psychiatriques). L’étude se limite aux soins somatiques dans des contextes de soins spécifiques (tels que les hôpitaux psychiatriques) et ne couvre donc pas les soins ambulatoires (psychiatriques ou de santé mentale). Le rapport du KCE identifie plusieurs causes à ce déficit de santé. L’explication se trouve en partie dans les préjugés et le manque de connaissances. En conséquence, les problèmes de santé sont plus souvent attribués à l’état psychiatrique du patient et les problèmes de santé somatiques sont négligés. Une autre explication est que l’organisation des soins somatiques souffre de contraintes administratives et financières. Le rôle et le financement du médecin généraliste et des spécialistes somatiques ne facilitent pas toujours la fourniture des soins somatiques nécessaires aux patients psychiatriques. De même, l’accès aux médicaments ambulatoires pour les maladies préexistantes avant l’hospitalisation est souvent un problème. Enfin, le problème
de la communication et de la continuité des soins est également mentionné, tant à l’admission que pendant le séjour, mais aussi après la sortie. Le rapport du KCE formule un certain nombre de recommandations pour y remédier."En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106233 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les soins de santé sont-ils abordables ? / Sigrid Vancorenland in Santé & société [périodique électronique], 8 (Janvier 2024)
[article]
Titre : Les soins de santé sont-ils abordables ? : Résumé du rapport de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) Type de document : texte imprimé Auteurs : Sigrid Vancorenland Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 68-73 Langues : Français (fre) Mots-clés : Inégalités sociales de santé Droit à la santé Assurance maladie Soins médicaux -- Coût Résumé : "L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) ont publié un rapport sur l’accessibilité financière des soins de santé en Belgique
pour la période 2012-2022. Ce rapport fait partie d’une série de rapports nationaux sur la protection financière en Europe. Ces rapports fournissent aux différents pays des informations sur les forces et les faiblesses de l’accessibilité financière des soins de santé dans leur pays. Ils peuvent s’en servir afin d’œuvrer à la mise en place d’une assurance maladie universelle où chacun·e a droit à des soins de santé de qualité sans risquer de se retrouver dans une situation financière difficile. Le rapport montre que 5,2% des familles belges ont des dépenses de santé catastrophiques. De plus, 1,1% des ménages ont des dépenses de santé à leur charge qui appauvrissent ou appauvrissent davantage. Les soins de santé qui posent le plus souvent des problèmes financiers sont les dispositifs médicaux (tels que les appareils auditifs, les lunettes, etc.), les tests de diagnostic et autres services paramédicaux (comme la kinésithérapie, la rééducation, etc.), les soins dentaires et l’hospitalisation classique. Les familles aux revenus les plus faibles rencontrent principalement des difficultés financières en raison des dépenses liées aux médicaments et soins ambulatoires, aux tests de diagnostic et autres services paramédicaux. Le rapport identifie également les principaux obstacles à l’accès aux soins. Un pour cent de la population belge n’est pas couvert par l’assurance obligatoire soins de santé. En outre, la couverture des soins dentaires, des dispositifs médicaux et des médicaments en vente libre par l’assurance obligatoire soins de santé est limitée. La plupart des soins ambulatoires doivent d’abord être avancés par le·la patient·e et ne sont remboursés qu’ensuite. Les dépenses de santé à charge des patient·es concernent la quasi-totalité des soins de santé et les groupes à faibles revenus ne sont pas exemptés du ticket modérateur. Les mécanismes existants pour protéger les personnes contre les tickets modérateurs n’offrent pas une protection suffisante aux personnes à faible revenu. Pour combler les lacunes de l’assurance obligatoire soins de santé, il existe l’assurance complémentaire obligatoire et l’assurance libre, mais les familles plus aisées sont mieux protégées que les familles pauvres. Enfin, le rapport formule quelques recommandations pour améliorer l’accessibilité financière aux soins."Note de contenu : Bibliographie p. 73 En ligne : https://www.mc.be/actualite/santeetsociete Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116541
in Santé & société [périodique électronique] > 8 (Janvier 2024) . - p. 68-73[article] Les soins de santé sont-ils abordables ? : Résumé du rapport de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) [texte imprimé] / Sigrid Vancorenland . - 2024 . - p. 68-73.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 8 (Janvier 2024) . - p. 68-73
Mots-clés : Inégalités sociales de santé Droit à la santé Assurance maladie Soins médicaux -- Coût Résumé : "L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) ont publié un rapport sur l’accessibilité financière des soins de santé en Belgique
pour la période 2012-2022. Ce rapport fait partie d’une série de rapports nationaux sur la protection financière en Europe. Ces rapports fournissent aux différents pays des informations sur les forces et les faiblesses de l’accessibilité financière des soins de santé dans leur pays. Ils peuvent s’en servir afin d’œuvrer à la mise en place d’une assurance maladie universelle où chacun·e a droit à des soins de santé de qualité sans risquer de se retrouver dans une situation financière difficile. Le rapport montre que 5,2% des familles belges ont des dépenses de santé catastrophiques. De plus, 1,1% des ménages ont des dépenses de santé à leur charge qui appauvrissent ou appauvrissent davantage. Les soins de santé qui posent le plus souvent des problèmes financiers sont les dispositifs médicaux (tels que les appareils auditifs, les lunettes, etc.), les tests de diagnostic et autres services paramédicaux (comme la kinésithérapie, la rééducation, etc.), les soins dentaires et l’hospitalisation classique. Les familles aux revenus les plus faibles rencontrent principalement des difficultés financières en raison des dépenses liées aux médicaments et soins ambulatoires, aux tests de diagnostic et autres services paramédicaux. Le rapport identifie également les principaux obstacles à l’accès aux soins. Un pour cent de la population belge n’est pas couvert par l’assurance obligatoire soins de santé. En outre, la couverture des soins dentaires, des dispositifs médicaux et des médicaments en vente libre par l’assurance obligatoire soins de santé est limitée. La plupart des soins ambulatoires doivent d’abord être avancés par le·la patient·e et ne sont remboursés qu’ensuite. Les dépenses de santé à charge des patient·es concernent la quasi-totalité des soins de santé et les groupes à faibles revenus ne sont pas exemptés du ticket modérateur. Les mécanismes existants pour protéger les personnes contre les tickets modérateurs n’offrent pas une protection suffisante aux personnes à faible revenu. Pour combler les lacunes de l’assurance obligatoire soins de santé, il existe l’assurance complémentaire obligatoire et l’assurance libre, mais les familles plus aisées sont mieux protégées que les familles pauvres. Enfin, le rapport formule quelques recommandations pour améliorer l’accessibilité financière aux soins."Note de contenu : Bibliographie p. 73 En ligne : https://www.mc.be/actualite/santeetsociete Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116541 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Trajets de l’incapacité de travail : l’expérience des personnes avant, pendant et après leur incapacité / Sigrid Vancorenland in MC-Informations [périodique éléctronique], 284 (Juin 2021)
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