Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Jean Garbaye (1945-....) |
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La symbiose mycorhizienne / Jean Garbaye
Titre : La symbiose mycorhizienne : une association entre les plantes et les champignons Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Garbaye (1945-....), Auteur Editeur : Versailles : Éd. Quae Année de publication : DL 2013 Collection : Synthèses (INRA), ISSN 1777-4624 Importance : 1 vol. (VIII-251 p.-16 p. de pl.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7592-1963-6 Prix : 35 EUR Note générale : Bibliogr. p. 213-217. Glossaire Langues : Français (fre) Mots-clés : Mycorhizes Mycorhizes en agriculture Relations plante-champignon Index. décimale : 579.5 Mycologie Résumé : La quatrième de couverture indique : "A de rares exceptions près, les plantes vertes terrestres vivent en symbiose — c’est-à-dire en association intime, durable et à bénéfice mutuel — avec des champignons liés aux racines sous la forme d’organes mixtes appelés mycorhizes. Bien connue depuis la fin du XIXème siècle dans les milieux scientifiques, en particulier grâce aux découvertes décisives de chercheurs français, la symbiose mycorhizienne, qui fait actuellement l’objet de recherches très actives dans le monde entier comme en témoigne une abondante littérature en langue anglaise, a paradoxalement été négligée en France dans l’enseignement de la biologie et des disciplines agronomiques. Le public, même averti, ignore que les végétaux sont des entités composites dont nombre de performances sont dues à leurs associés fongiques, et rares sont les professionnels des productions végétales qui intègrent ce fait biologique majeur dans leurs prises de décision. Or le virage actuel que prend l’agriculture des pays développés, y compris la France, vers une agriculture avec moins d’intrants impose de mobiliser toutes les connaissances pour inventer de nouvelles techniques plus respectueuses de l’environnement : la maîtrise de la symbiose mycorhizienne en fait partie. Première synthèse approfondie et exhaustive en français sur le sujet, cet ouvrage présente les découvertes fondamentales les plus récentes et leurs applications pratiques en agronomie, horticulture, sylviculture et conservation des espaces naturels. La symbiose mycorhizienne est traitée de façon accessible à tous selon trois points de vue complémentaires : celui du naturaliste (diversité et typologie des symbioses mycorhiziennes), celui du biologiste (aspects fonctionnels, écologiques et évolutifs) et enfin celui de l’agronome (techniques pour maîtriser l’effet mycorhize)." Note de contenu :
Introduction
Origine du concept
Les plantes et les champignons
Les racines
La symbiose
PARTIE I. Le point de vue du naturaliste : morphologie, diversité et distribution des différents types de mycorhizes dans le règne végétal
Les plus faciles à observer et à étudier : les ectomycorhizes
Une forme de transition : les ectendomycorhizes
Les mycorhizes arbutoïdes
Les mycorhizes monotropoïdes
Les mycorhizes orchidoïdes
Les mycorhizes éricoïdes
Une énigme : les pseudomycorhizes à endophytes bruns cloisonnés
Un type largement dominant : les endomycorhizes arbusculaires
Les symbioses fongiques avec les plantes terrestres primitives
La spécificité des associations mycorhiziennes
La symbiose mycorhizienne ; l’unité dans la diversité
PARTIE II. Le point de vue du biologiste : physiologie et écologie de la symbiose mycorhizienne
Établissement de la symbiose mycorhizienne
Dépendance des plantes vis-à-vis de la symbiose mycorhizienne
Fonctionnement de la symbiose mycorhizienne
Diversité spécifique et fonctionnelle des communautés de mycorhizes
Les réseaux mycorhiziens
Les mycorhizes et la structure du sol
Les plantes sans mycorhizes
Rôle de la symbiose mycorhizienne dans la structuration des communautés végétales
Des mycorhizes pourvoyeuses de carbone et qui fonctionnent à l’envers
Un cas particulier de mycohétérotrophie obligatoire : la germination des graines dépourvues de réserves
La symbiose mycorhizienne dans le contexte général de la rhizosphère
La symbiose mycorhizienne dans les différents types de biomes terrestres
Les mycorhizes et le changement climatique
Les bases génétiques et l’évolution de la symbiose mycorhizienne
PARTIE III. Le point de vue de l’agronome : applications pratiques des connaissances sur la symbiose mycorhizienne
La diversité de réponse des plantes à la symbiose comme base de la mycorhization contrôlée
Les bases de la sélection de symbiotes efficaces pour améliorer le rendement des cultures
Les inoculants mycorhiziens et les techniques d’inoculation
Les applications de la mycorhization contrôlée en sylviculture
Les applications en agriculture tropicale
Les applications en horticulture
Les applications en grande culture intensive
Les mycorhizes et le problème du phosphore en agriculture
Les mycorhizes, l’agroécologie et l’agriculture biologique
Les mycorhizes et la création variétale
Les mycorhizes et la phytoremédiation des sols pollués
Les mycorhizes et la production de champignons comestibles
Annexe 1. Méthodologie : comment étudie-t-on les mycorhizes ?
Les collections d’organismes
Les organismes modèles
La biologie moléculaire
La protéomique
L’imagerie microscopique
L’isotopie
Les bases de données partagées
Annexe 2. Travaux pratiques : comment observer les mycorhizes ?
Prélèvement des racines
Lavage des racines
Séparation et conditionnement des racines fines
Observation des mycorhizes présentant un manteau fongique
Traitement des racines pour visualiser les structures fongiques internes
Observation directe des structures fongiques internes
Observations sur coupe
Quantification de la colonisation mycorhizienne des racines
Extraction et observation des spores de Gloméromycètes présentes dans le sol
Deux expériences simples pour démontrer l’effet de la symbiose mycorhizienne sur la croissance des plantesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83732 La symbiose mycorhizienne : une association entre les plantes et les champignons [texte imprimé] / Jean Garbaye (1945-....), Auteur . - Versailles : Éd. Quae, DL 2013 . - 1 vol. (VIII-251 p.-16 p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Synthèses (INRA), ISSN 1777-4624) .
ISBN : 978-2-7592-1963-6 : 35 EUR
Bibliogr. p. 213-217. Glossaire
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mycorhizes Mycorhizes en agriculture Relations plante-champignon Index. décimale : 579.5 Mycologie Résumé : La quatrième de couverture indique : "A de rares exceptions près, les plantes vertes terrestres vivent en symbiose — c’est-à-dire en association intime, durable et à bénéfice mutuel — avec des champignons liés aux racines sous la forme d’organes mixtes appelés mycorhizes. Bien connue depuis la fin du XIXème siècle dans les milieux scientifiques, en particulier grâce aux découvertes décisives de chercheurs français, la symbiose mycorhizienne, qui fait actuellement l’objet de recherches très actives dans le monde entier comme en témoigne une abondante littérature en langue anglaise, a paradoxalement été négligée en France dans l’enseignement de la biologie et des disciplines agronomiques. Le public, même averti, ignore que les végétaux sont des entités composites dont nombre de performances sont dues à leurs associés fongiques, et rares sont les professionnels des productions végétales qui intègrent ce fait biologique majeur dans leurs prises de décision. Or le virage actuel que prend l’agriculture des pays développés, y compris la France, vers une agriculture avec moins d’intrants impose de mobiliser toutes les connaissances pour inventer de nouvelles techniques plus respectueuses de l’environnement : la maîtrise de la symbiose mycorhizienne en fait partie. Première synthèse approfondie et exhaustive en français sur le sujet, cet ouvrage présente les découvertes fondamentales les plus récentes et leurs applications pratiques en agronomie, horticulture, sylviculture et conservation des espaces naturels. La symbiose mycorhizienne est traitée de façon accessible à tous selon trois points de vue complémentaires : celui du naturaliste (diversité et typologie des symbioses mycorhiziennes), celui du biologiste (aspects fonctionnels, écologiques et évolutifs) et enfin celui de l’agronome (techniques pour maîtriser l’effet mycorhize)." Note de contenu :
Introduction
Origine du concept
Les plantes et les champignons
Les racines
La symbiose
PARTIE I. Le point de vue du naturaliste : morphologie, diversité et distribution des différents types de mycorhizes dans le règne végétal
Les plus faciles à observer et à étudier : les ectomycorhizes
Une forme de transition : les ectendomycorhizes
Les mycorhizes arbutoïdes
Les mycorhizes monotropoïdes
Les mycorhizes orchidoïdes
Les mycorhizes éricoïdes
Une énigme : les pseudomycorhizes à endophytes bruns cloisonnés
Un type largement dominant : les endomycorhizes arbusculaires
Les symbioses fongiques avec les plantes terrestres primitives
La spécificité des associations mycorhiziennes
La symbiose mycorhizienne ; l’unité dans la diversité
PARTIE II. Le point de vue du biologiste : physiologie et écologie de la symbiose mycorhizienne
Établissement de la symbiose mycorhizienne
Dépendance des plantes vis-à-vis de la symbiose mycorhizienne
Fonctionnement de la symbiose mycorhizienne
Diversité spécifique et fonctionnelle des communautés de mycorhizes
Les réseaux mycorhiziens
Les mycorhizes et la structure du sol
Les plantes sans mycorhizes
Rôle de la symbiose mycorhizienne dans la structuration des communautés végétales
Des mycorhizes pourvoyeuses de carbone et qui fonctionnent à l’envers
Un cas particulier de mycohétérotrophie obligatoire : la germination des graines dépourvues de réserves
La symbiose mycorhizienne dans le contexte général de la rhizosphère
La symbiose mycorhizienne dans les différents types de biomes terrestres
Les mycorhizes et le changement climatique
Les bases génétiques et l’évolution de la symbiose mycorhizienne
PARTIE III. Le point de vue de l’agronome : applications pratiques des connaissances sur la symbiose mycorhizienne
La diversité de réponse des plantes à la symbiose comme base de la mycorhization contrôlée
Les bases de la sélection de symbiotes efficaces pour améliorer le rendement des cultures
Les inoculants mycorhiziens et les techniques d’inoculation
Les applications de la mycorhization contrôlée en sylviculture
Les applications en agriculture tropicale
Les applications en horticulture
Les applications en grande culture intensive
Les mycorhizes et le problème du phosphore en agriculture
Les mycorhizes, l’agroécologie et l’agriculture biologique
Les mycorhizes et la création variétale
Les mycorhizes et la phytoremédiation des sols pollués
Les mycorhizes et la production de champignons comestibles
Annexe 1. Méthodologie : comment étudie-t-on les mycorhizes ?
Les collections d’organismes
Les organismes modèles
La biologie moléculaire
La protéomique
L’imagerie microscopique
L’isotopie
Les bases de données partagées
Annexe 2. Travaux pratiques : comment observer les mycorhizes ?
Prélèvement des racines
Lavage des racines
Séparation et conditionnement des racines fines
Observation des mycorhizes présentant un manteau fongique
Traitement des racines pour visualiser les structures fongiques internes
Observation directe des structures fongiques internes
Observations sur coupe
Quantification de la colonisation mycorhizienne des racines
Extraction et observation des spores de Gloméromycètes présentes dans le sol
Deux expériences simples pour démontrer l’effet de la symbiose mycorhizienne sur la croissance des plantesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83732 Réservation
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