[article] 
inAnnales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/2 (1997) . - p.83 - 87

Titre :	EXISTE-T-IL DES INDICES NEUROPSYCHOLOGIQUES PRONOSTIQUES D'UNE REPRISE DU TRAVAIL APRES ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Pascale Pradat-Diehl ; C. ARNAUD ; LAURIOT-PREVOST M. C. ; MARCHAL F ; D. MAZEVET ; PERRIGOT M. ; C. TESSIER
Année de publication :	1997
Article en page(s) :	p.83 - 87
Résumé :	Parmi 22 patients ayant été hospitalisés en service de rééducation neurologique après accident vasculaire cérébral survenu pendant l'année 1992 (critères de sélection stricts), 13 avaient repris une activité professionnelle ou leurs études en 1995. Il étaient plus jeunes, avaient des séquelles motrices limitées. En ce qui concerne les troubles neuropsychologiques associés, cinq des 12 patients aphasiques avaient repris une activité professionnelle. La persistance d'une aphasie globale ou d'un trouble de la compréhension ne permettait pas la reprise d'une activité professionnelle. Les six patients ayant une lésion hémisphérique droite avaient repris une activité professionnelle. Deux des quatre patients n'ayant pas de trouble neuropsychologique avaient repris une activité professionnelle. Les résultats nous ont paru encourageants, eu égard à la sévérité des déficits initiaux.
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[article] EXISTE-T-IL DES INDICES NEUROPSYCHOLOGIQUES PRONOSTIQUES D'UNE REPRISE DU TRAVAIL APRES ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL ? [texte imprimé] / Pascale Pradat-Diehl ; C. ARNAUD ; LAURIOT-PREVOST M. C. ; MARCHAL F ; D. MAZEVET ; PERRIGOT M. ; C. TESSIER . - 1997 . - p.83 - 87.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 40/2 (1997) . - p.83 - 87

Résumé :

Parmi 22 patients ayant été hospitalisés en service de rééducation neurologique après accident vasculaire cérébral survenu pendant l'année 1992 (critères de sélection stricts), 13 avaient repris une activité professionnelle ou leurs études en 1995. Il étaient plus jeunes, avaient des séquelles motrices limitées. En ce qui concerne les troubles neuropsychologiques associés, cinq des 12 patients aphasiques avaient repris une activité professionnelle. La persistance d'une aphasie globale ou d'un trouble de la compréhension ne permettait pas la reprise d'une activité professionnelle. Les six patients ayant une lésion hémisphérique droite avaient repris une activité professionnelle. Deux des quatre patients n'ayant pas de trouble neuropsychologique avaient repris une activité professionnelle. Les résultats nous ont paru encourageants, eu égard à la sévérité des déficits initiaux.

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