[article] 
inAnnales de réadaptation et de médecine physique > vol. 41/8 (décembre 1998) . - p.491 - 497

Titre :	Évaluation médico-économique du baclofène intrathécal chez les patients présentant une spasticité chronique sévère
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	DETOURNAY B. ; J. N. BAIL ; BUSSEL B. ; MANE M. ; PECHEVIS M. ; TIEBAUT J. B.
Année de publication :	1998
Article en page(s) :	p.491 - 497
Résumé :	Une évaluation médico-économique du baclofène (Liorésal(r)) intrathécal dans le traitement symptomatique de la spasticité chronique sévère secondaire à des lésions médullaires (sclérose en plaque, traumatisme) a été réalisée selon une approche rétrospective comparative monocentrique où le sujet est son propre témoin (n = 22). Les résultats de cette étude confirment l'efficacité importante du traitement sur la symptomatologie et l'état fonctionnel des patients et sur une échelle de qualité de vie non spécifique. Inversement, la mise en route d'un tel traitement se traduit par une augmentation de près de 67 % des coûts de prise en charge annuels moyens de ces patients pour atteindre environ 173 500 F an. Un tel surcoût peut sembler parfaitement acceptable au regard des bénéfices cliniques obtenus.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=53051

[article] Évaluation médico-économique du baclofène intrathécal chez les patients présentant une spasticité chronique sévère [texte imprimé] / DETOURNAY B. ; J. N. BAIL ; BUSSEL B. ; MANE M. ; PECHEVIS M. ; TIEBAUT J. B. . - 1998 . - p.491 - 497.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 41/8 (décembre 1998) . - p.491 - 497

Résumé :

Une évaluation médico-économique du baclofène (Liorésal(r)) intrathécal dans le traitement symptomatique de la spasticité chronique sévère secondaire à des lésions médullaires (sclérose en plaque, traumatisme) a été réalisée selon une approche rétrospective comparative monocentrique où le sujet est son propre témoin (n = 22). Les résultats de cette étude confirment l'efficacité importante du traitement sur la symptomatologie et l'état fonctionnel des patients et sur une échelle de qualité de vie non spécifique. Inversement, la mise en route d'un tel traitement se traduit par une augmentation de près de 67 % des coûts de prise en charge annuels moyens de ces patients pour atteindre environ 173 500 F an. Un tel surcoût peut sembler parfaitement acceptable au regard des bénéfices cliniques obtenus.

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