[article] 
inAnnales de kinésithérapie > vol. 12/5 (1985) . - pp; 215-219

Titre :	Les effets de l'entrainement sur la réponse métabolique à l'effort d'un hémiplégique. Analyse d'un cas individuel
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	THYS F., Auteur
Année de publication :	1985
Article en page(s) :	pp; 215-219
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Hémiplégie  Rééducation fonctionnelle  Locomotion
Résumé :	Les effets d'une année de rééducation à la marche sur ra réponse métabolique d'un sujet spastique à l'exercice ont été étudiés. L'entrainement qui en résulte se solde par : 1. Une réduction du cout énergétique de la marche d'environ 30% ; 2. Une augmentation de la vitesse de marche optimale de 2 à 3 km/h ; 3. Une diminution de l'intervention des processus énergétiques anaérobies ; 4. Un doublement du rendement énergétique de la marche. Le cout énergétique de la marche demeure cependant notablement supérieur à celui des sujets sains. Les améliorations observées montrent que si l'entrainement de longue durée ne restaure pas complètement l'équipement moteur endommagé, il place le handicapé dans des conditions qui lui permettent de mieux assumer son infirmité.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=52820

[article] Les effets de l'entrainement sur la réponse métabolique à l'effort d'un hémiplégique. Analyse d'un cas individuel [texte imprimé] / THYS F., Auteur . - 1985 . - pp; 215-219.
Langues : Français (fre)
in Annales de kinésithérapie > vol. 12/5 (1985) . - pp; 215-219

Mots-clés :	Hémiplégie  Rééducation fonctionnelle  Locomotion
Résumé :	Les effets d'une année de rééducation à la marche sur ra réponse métabolique d'un sujet spastique à l'exercice ont été étudiés. L'entrainement qui en résulte se solde par : 1. Une réduction du cout énergétique de la marche d'environ 30% ; 2. Une augmentation de la vitesse de marche optimale de 2 à 3 km/h ; 3. Une diminution de l'intervention des processus énergétiques anaérobies ; 4. Un doublement du rendement énergétique de la marche. Le cout énergétique de la marche demeure cependant notablement supérieur à celui des sujets sains. Les améliorations observées montrent que si l'entrainement de longue durée ne restaure pas complètement l'équipement moteur endommagé, il place le handicapé dans des conditions qui lui permettent de mieux assumer son infirmité.
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