Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Emilie Jolly |
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Dépistage du SARS-CoV-2 chez les personnels soignants asymptomatiques : expérience d’un ESPIC (établissement de santé privé d’intérêt collectif) / Eric Farfour in Annales de Biologie Clinique, Vol. 79, n°4 (Juillet-août 2021)
[article]
Titre : Dépistage du SARS-CoV-2 chez les personnels soignants asymptomatiques : expérience d’un ESPIC (établissement de santé privé d’intérêt collectif) Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Farfour ; Carline Amiel ; Marion Lecuru ; Sara Zia-Chahabi ; Emilie Jolly ; Laurence Mazaux ; Pauline Simonin ; Martine Cornily ; Adeline Catherineau ; Tiffany Pascreau ; Marc Vasse Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 325-330 Note générale : https://DOI : 10.1684/abc.2021.1664 Langues : Français (fre) Mots-clés : Covid-19 SARS-CoV-2 asymptomatique dépistage professionnels de la santé voyage Résumé : Objectif
Les personnels soignants (PS) présentent un risque élevé d’être infecté et de transmettre le SARS-CoV-2. De plus, les voyages sont un facteur majeur de diffusion du virus. Nous rapportons notre expérience d’un dépistage des PS asymptomatiques au retour de congés suite à l’application d’une recommandation nationale le 20 août 2020.
Méthodes
L’organisation du service santé au travail et du laboratoire a été adapté et le dépistage mis en place le 24/08/2020. Tous les PS testés une semaine avant et 4 semaines après la mise en place du dépistage ont été inclus. Le nombre moyen de tests réalisés par jour ouvré et semaine de travail a été calculé et comparé.
Résultats
502 PS (31,4 % de l’effectif) ont été testés. Le nombre moyen de PS testés par jour ouvré était de 27,1. Les PS représentaient 36,9 % (n = 167) et 11,2 % (n = 84) des personnes testées au cours de la 1re et de la 4e semaine suivant la mise en place du dépistage. Le nombre PS testé chaque semaine a été multiplié par au moins 20 après la mise en place du dépistage. Aucun PS asymptomatique au retour de congés n’a été testé positif.
Conclusion
Le rapport bénéfice/limite du dépistage des PS asymptomatiques semble faible en période de faible circulation du virus. Nous suggérons de donner la priorité aux gestes barrières et à tester les sujets symptomatiques et les contacts asymptomatiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95869
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 79, n°4 (Juillet-août 2021) . - p. 325-330[article] Dépistage du SARS-CoV-2 chez les personnels soignants asymptomatiques : expérience d’un ESPIC (établissement de santé privé d’intérêt collectif) [texte imprimé] / Eric Farfour ; Carline Amiel ; Marion Lecuru ; Sara Zia-Chahabi ; Emilie Jolly ; Laurence Mazaux ; Pauline Simonin ; Martine Cornily ; Adeline Catherineau ; Tiffany Pascreau ; Marc Vasse . - 2021 . - p. 325-330.
https://DOI : 10.1684/abc.2021.1664
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 79, n°4 (Juillet-août 2021) . - p. 325-330
Mots-clés : Covid-19 SARS-CoV-2 asymptomatique dépistage professionnels de la santé voyage Résumé : Objectif
Les personnels soignants (PS) présentent un risque élevé d’être infecté et de transmettre le SARS-CoV-2. De plus, les voyages sont un facteur majeur de diffusion du virus. Nous rapportons notre expérience d’un dépistage des PS asymptomatiques au retour de congés suite à l’application d’une recommandation nationale le 20 août 2020.
Méthodes
L’organisation du service santé au travail et du laboratoire a été adapté et le dépistage mis en place le 24/08/2020. Tous les PS testés une semaine avant et 4 semaines après la mise en place du dépistage ont été inclus. Le nombre moyen de tests réalisés par jour ouvré et semaine de travail a été calculé et comparé.
Résultats
502 PS (31,4 % de l’effectif) ont été testés. Le nombre moyen de PS testés par jour ouvré était de 27,1. Les PS représentaient 36,9 % (n = 167) et 11,2 % (n = 84) des personnes testées au cours de la 1re et de la 4e semaine suivant la mise en place du dépistage. Le nombre PS testé chaque semaine a été multiplié par au moins 20 après la mise en place du dépistage. Aucun PS asymptomatique au retour de congés n’a été testé positif.
Conclusion
Le rapport bénéfice/limite du dépistage des PS asymptomatiques semble faible en période de faible circulation du virus. Nous suggérons de donner la priorité aux gestes barrières et à tester les sujets symptomatiques et les contacts asymptomatiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95869 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleRevue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleGestion de la biologie délocalisée lors de la première vague de Covid-19 en France. Résultats de l’enquête nationale menée par le groupe de travail des EBMD de la SFBC / Ludovic Glady ; Valérie Moal ; Isabelle Benz-de Bretagne ; Damien Bouvier ; Flore Di Giovanni ; Camille Chenevier-Gobeaux ; Élise Jeannesson ; Emilie Jolly ; Habiba Kadi ; Nathalie Oueidat ; Pascal Pernet ; Laurence Piéroni ; Carole Poupon ; Marie Toussaint-Hacquard ; Mickaël Dubos ; Isabelle Martinel ; Emmanuelle Chauzit ; Marie-Christine Beauvieux ; Hôpitaux universitaires de Strasbourg laboratoire de biochimie et biologie moléculaire (rance.) ; CHU d'Angers (laboratoire de biochimie et biologie moléculaire; France.) ; CHRU de Tours (laboratoire de biochimie et biologie moléculaire; France.) ; CHU Clermont-Ferrand (service de biochimie et génétique moléculaire; France.) ; CHU de Marseille (biologie délocalisée, pôle biologie pathologie; France.) ; AP-HP (hôpital Cochin, centre-université de Paris, service de diagnostic biologique automatisé; France.) ; CHRU de Nancy (laboratoire de biochimie; France.) ; Hôpital Foch (service de biologie clinique; SuresnesFrance.) ; Centre hospitalier de Gonesse (laboratoire de biologie médicale; France.) ; AP-HP (hôpital de la Pitié-Salpêtrière, laboratoire de biochimie, UF des urgences biologiques; ParisFrance.) ; AP-HP (hôpital Saint-Antoine, laboratoire de biologie d'urgence; ParisFrance.) ; Département de biochimie (Hôpital Tenon, AP-HP-Est, Paris; France.) ; Centre hospitalier de Gonesse (laboratoire de biologie médicale; France.) ; CHRU de Nancy (laboratoire d'hématologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (UMR5536 CNRS-université de Bordeaux, laboratoire de biochimie; France.) in Annales de Biologie Clinique, vol. 79, n° 6 (Novembre - Décembre 2021)
[article]
Titre : Gestion de la biologie délocalisée lors de la première vague de Covid-19 en France. Résultats de l’enquête nationale menée par le groupe de travail des EBMD de la SFBC Type de document : texte imprimé Auteurs : Ludovic Glady ; Valérie Moal ; Isabelle Benz-de Bretagne ; Damien Bouvier ; Flore Di Giovanni ; Camille Chenevier-Gobeaux ; Élise Jeannesson ; Emilie Jolly ; Habiba Kadi ; Nathalie Oueidat ; Pascal Pernet ; Laurence Piéroni ; Carole Poupon ; Marie Toussaint-Hacquard ; Mickaël Dubos ; Isabelle Martinel ; Emmanuelle Chauzit ; Marie-Christine Beauvieux ; Hôpitaux universitaires de Strasbourg laboratoire de biochimie et biologie moléculaire (rance.) ; CHU d'Angers (laboratoire de biochimie et biologie moléculaire; France.) ; CHRU de Tours (laboratoire de biochimie et biologie moléculaire; France.) ; CHU Clermont-Ferrand (service de biochimie et génétique moléculaire; France.) ; CHU de Marseille (biologie délocalisée, pôle biologie pathologie; France.) ; AP-HP (hôpital Cochin, centre-université de Paris, service de diagnostic biologique automatisé; France.) ; CHRU de Nancy (laboratoire de biochimie; France.) ; Hôpital Foch (service de biologie clinique; SuresnesFrance.) ; Centre hospitalier de Gonesse (laboratoire de biologie médicale; France.) ; AP-HP (hôpital de la Pitié-Salpêtrière, laboratoire de biochimie, UF des urgences biologiques; ParisFrance.) ; AP-HP (hôpital Saint-Antoine, laboratoire de biologie d'urgence; ParisFrance.) ; Département de biochimie (Hôpital Tenon, AP-HP-Est, Paris; France.) ; Centre hospitalier de Gonesse (laboratoire de biologie médicale; France.) ; CHRU de Nancy (laboratoire d'hématologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (UMR5536 CNRS-université de Bordeaux, laboratoire de biochimie; France.) Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.535-549 Langues : Français (fre) Mots-clés : laboratoires hospitaliers Résumé : Au printemps 2020, lors de la première vague de Covid-19 en France, les laboratoires de biologie médicale des établissements de santé ont dû s’adapter rapidement aux demandes de biologie d’urgence par notamment une réorganisation de leur parc de biologie délocalisée : redéploiement d’analyseurs et/ou nouvelles installations. Afin d’analyser cette gestion, un sous-groupe de 15 biologistes hospitaliers, issu du groupe de travail de la SFBC « Marqueurs biochimiques de Covid-19 », a diffusé à l’automne 2020 un questionnaire informatisé à destination des laboratoires de CH et CHU utilisateurs d’EBMD. L’analyse des réponses (n = 86) montre une disparité territoriale en fonction de la sévérité de la première vague : augmentation d’activité prédominante en zone rouge, gestion de situations inédites, formation de personnel soignant supplémentaire pour 40 % des laboratoires... L’enquête a montré la mise en place presque générale d’un allègement des aspects liés à l’accréditation en période de crise sanitaire. Une enquête complémentaire, réalisée au printemps 2021, a montré une bonne satisfaction globale des services de soins (n = 139) vis-à-vis des services rendus par la biologie dans le secteur des EBMD. De par leur grande capacité d’adaptation, les laboratoires et leurs équipes en charge des EBMD ont joué un rôle primordial dans la gestion de la première vague de Covid-19. La réussite de ces organisations nécessite, cependant, une indispensable collaboration entre les laboratoires et les services de soins. Les résultats de cette enquête sont fondamentaux dans un contexte de prolongation de la pandémie au niveau mondial, avec un secteur des EBMD apparaissant en pleine croissance. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99875
in Annales de Biologie Clinique > vol. 79, n° 6 (Novembre - Décembre 2021) . - p.535-549[article] Gestion de la biologie délocalisée lors de la première vague de Covid-19 en France. Résultats de l’enquête nationale menée par le groupe de travail des EBMD de la SFBC [texte imprimé] / Ludovic Glady ; Valérie Moal ; Isabelle Benz-de Bretagne ; Damien Bouvier ; Flore Di Giovanni ; Camille Chenevier-Gobeaux ; Élise Jeannesson ; Emilie Jolly ; Habiba Kadi ; Nathalie Oueidat ; Pascal Pernet ; Laurence Piéroni ; Carole Poupon ; Marie Toussaint-Hacquard ; Mickaël Dubos ; Isabelle Martinel ; Emmanuelle Chauzit ; Marie-Christine Beauvieux ; Hôpitaux universitaires de Strasbourg laboratoire de biochimie et biologie moléculaire (rance.) ; CHU d'Angers (laboratoire de biochimie et biologie moléculaire; France.) ; CHRU de Tours (laboratoire de biochimie et biologie moléculaire; France.) ; CHU Clermont-Ferrand (service de biochimie et génétique moléculaire; France.) ; CHU de Marseille (biologie délocalisée, pôle biologie pathologie; France.) ; AP-HP (hôpital Cochin, centre-université de Paris, service de diagnostic biologique automatisé; France.) ; CHRU de Nancy (laboratoire de biochimie; France.) ; Hôpital Foch (service de biologie clinique; SuresnesFrance.) ; Centre hospitalier de Gonesse (laboratoire de biologie médicale; France.) ; AP-HP (hôpital de la Pitié-Salpêtrière, laboratoire de biochimie, UF des urgences biologiques; ParisFrance.) ; AP-HP (hôpital Saint-Antoine, laboratoire de biologie d'urgence; ParisFrance.) ; Département de biochimie (Hôpital Tenon, AP-HP-Est, Paris; France.) ; Centre hospitalier de Gonesse (laboratoire de biologie médicale; France.) ; CHRU de Nancy (laboratoire d'hématologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (cellule qualité, pôle biologie pathologie; France.) ; CHU de Bordeaux (UMR5536 CNRS-université de Bordeaux, laboratoire de biochimie; France.) . - 2021 . - p.535-549.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > vol. 79, n° 6 (Novembre - Décembre 2021) . - p.535-549
Mots-clés : laboratoires hospitaliers Résumé : Au printemps 2020, lors de la première vague de Covid-19 en France, les laboratoires de biologie médicale des établissements de santé ont dû s’adapter rapidement aux demandes de biologie d’urgence par notamment une réorganisation de leur parc de biologie délocalisée : redéploiement d’analyseurs et/ou nouvelles installations. Afin d’analyser cette gestion, un sous-groupe de 15 biologistes hospitaliers, issu du groupe de travail de la SFBC « Marqueurs biochimiques de Covid-19 », a diffusé à l’automne 2020 un questionnaire informatisé à destination des laboratoires de CH et CHU utilisateurs d’EBMD. L’analyse des réponses (n = 86) montre une disparité territoriale en fonction de la sévérité de la première vague : augmentation d’activité prédominante en zone rouge, gestion de situations inédites, formation de personnel soignant supplémentaire pour 40 % des laboratoires... L’enquête a montré la mise en place presque générale d’un allègement des aspects liés à l’accréditation en période de crise sanitaire. Une enquête complémentaire, réalisée au printemps 2021, a montré une bonne satisfaction globale des services de soins (n = 139) vis-à-vis des services rendus par la biologie dans le secteur des EBMD. De par leur grande capacité d’adaptation, les laboratoires et leurs équipes en charge des EBMD ont joué un rôle primordial dans la gestion de la première vague de Covid-19. La réussite de ces organisations nécessite, cependant, une indispensable collaboration entre les laboratoires et les services de soins. Les résultats de cette enquête sont fondamentaux dans un contexte de prolongation de la pandémie au niveau mondial, avec un secteur des EBMD apparaissant en pleine croissance. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99875 Réservation
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DisponibleOptimisation des durées d’incubation des milieux de culture en microbiologie / Eric Farfour in Annales de Biologie Clinique, Vol. 77, n° 5 (Septembre-octobre 2019)
[article]
Titre : Optimisation des durées d’incubation des milieux de culture en microbiologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Farfour ; Didier Lecointe ; Pierre Cahen ; Emilie Cardot ; Amandine Henry ; Lucie Limousin ; Damien Mathonnet ; Marc Vasse ; Emilie Jolly Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 525-531 Note générale : https://www.jle.com/10.1684/abc.2019.1474 Langues : Français (fre) Mots-clés : Agrément Hemoculture Résumé : Afin de réaliser les examens de biologie médicale, les laboratoires appliquent les instructions des fournisseurs de réactifs. Pour les milieux de cultures, celles-ci sont souvent incomplètes et peu adaptées à la diversité des prélèvements et des micro-organismes recherchés. Les préconisations du REMIC permettent de pallier ces lacunes. Des délais d’incubations établis en fonction de la nature du prélèvement et du type de micro-organisme recherché sont ainsi proposés. Néanmoins, ils sont le plus souvent exprimés en multiple de 24 heures et sont souvent considérés comme des durées minimales par les laboratoires. Les échantillons étant ensemencés « en continu », alors que les lectures sont effectuées le plus souvent à un moment unique défini de la journée, nous proposons une stratégie visant à optimiser les durées d’incubation des milieux. Une heure de mise en incubation dans la journée dite heure “limite” est définie. À partir de celle-ci les incubations sont arrêtées ou prolongées en fonction des résultats de la culture et de l’examen microscopique notamment. Les instructions des fournisseurs de milieux de culture étant peu adaptées, il apparaît nécessaire que ces fournisseurs s’appuient sur les référentiels des sociétés savantes comme c’est le cas pour les géloses utilisées dans le cadre de la réalisation de l’antibiogramme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81908
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 77, n° 5 (Septembre-octobre 2019) . - p. 525-531[article] Optimisation des durées d’incubation des milieux de culture en microbiologie [texte imprimé] / Eric Farfour ; Didier Lecointe ; Pierre Cahen ; Emilie Cardot ; Amandine Henry ; Lucie Limousin ; Damien Mathonnet ; Marc Vasse ; Emilie Jolly . - 2019 . - p. 525-531.
https://www.jle.com/10.1684/abc.2019.1474
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 77, n° 5 (Septembre-octobre 2019) . - p. 525-531
Mots-clés : Agrément Hemoculture Résumé : Afin de réaliser les examens de biologie médicale, les laboratoires appliquent les instructions des fournisseurs de réactifs. Pour les milieux de cultures, celles-ci sont souvent incomplètes et peu adaptées à la diversité des prélèvements et des micro-organismes recherchés. Les préconisations du REMIC permettent de pallier ces lacunes. Des délais d’incubations établis en fonction de la nature du prélèvement et du type de micro-organisme recherché sont ainsi proposés. Néanmoins, ils sont le plus souvent exprimés en multiple de 24 heures et sont souvent considérés comme des durées minimales par les laboratoires. Les échantillons étant ensemencés « en continu », alors que les lectures sont effectuées le plus souvent à un moment unique défini de la journée, nous proposons une stratégie visant à optimiser les durées d’incubation des milieux. Une heure de mise en incubation dans la journée dite heure “limite” est définie. À partir de celle-ci les incubations sont arrêtées ou prolongées en fonction des résultats de la culture et de l’examen microscopique notamment. Les instructions des fournisseurs de milieux de culture étant peu adaptées, il apparaît nécessaire que ces fournisseurs s’appuient sur les référentiels des sociétés savantes comme c’est le cas pour les géloses utilisées dans le cadre de la réalisation de l’antibiogramme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81908 Réservation
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