[article] 
inL'Observatoire > 90 (Mars 2017) . - p. 40-43

Titre :	A la prison de Saint-Hubert : le jardinage et la ferme comme outils de réinsertion
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Véronique Van Der Avoort, Personne interviewée ; Cécile Dethier, Personne interviewée ; Brigitte Loop, Personne interviewée
Année de publication :	2017
Article en page(s) :	p. 40-43
Note générale :	Issu du dossier : "Jardinons le social, cultivons un autre monde"
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Jardin  Réinsertion  Détenus / Détention
Résumé :	"Le centre de détention de Saint-Hubert n’est pas une prison comme les autres. Non seulement ses détenus, 216 au total, y bénéficient d’un régime semi-ouvert et communautaire qui leur donne une large liberté de mouvement, mais une partie non négligeable d’entre eux travaillent quotidiennement en lien direct avec la nature, en dehors même de l’enceinte de la prison. Ils prennent soin des vaches ou fabriquent du fromage au sein d’une vieille ferme en carré attenante, cultivent des légumes au sein du jardin situé juste en face ou encore entretiennent des forêts… Comment cette approche originale est-elle concrètement mise en oeuvre ? A quels détenus s’adresse-t-elle et en quoi leur est-elle bénéfique ?"
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=49052

[article] A la prison de Saint-Hubert : le jardinage et la ferme comme outils de réinsertion [texte imprimé] / Véronique Van Der Avoort, Personne interviewée ; Cécile Dethier, Personne interviewée ; Brigitte Loop, Personne interviewée . - 2017 . - p. 40-43.
Issu du dossier : "Jardinons le social, cultivons un autre monde"
Langues : Français (fre)
in L'Observatoire > 90 (Mars 2017) . - p. 40-43

Mots-clés :	Jardin  Réinsertion  Détenus / Détention
Résumé :	"Le centre de détention de Saint-Hubert n’est pas une prison comme les autres. Non seulement ses détenus, 216 au total, y bénéficient d’un régime semi-ouvert et communautaire qui leur donne une large liberté de mouvement, mais une partie non négligeable d’entre eux travaillent quotidiennement en lien direct avec la nature, en dehors même de l’enceinte de la prison. Ils prennent soin des vaches ou fabriquent du fromage au sein d’une vieille ferme en carré attenante, cultivent des légumes au sein du jardin situé juste en face ou encore entretiennent des forêts… Comment cette approche originale est-elle concrètement mise en oeuvre ? A quels détenus s’adresse-t-elle et en quoi leur est-elle bénéfique ?"
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