Gestion des shunts intrahépatiques chez le chien : guide pratique dans deux centres hospitaliers vétérinaires / Claire Deroy-Bordenave in Le Point vétérinaire Expert Canin, 384 (avril 2018)

Public ISBD [article]  inLe Point vétérinaire Expert Canin > 384 (avril 2018) . - p. 62-68 Titre : Gestion des shunts intrahépatiques chez le chien : guide pratique dans deux centres hospitaliers vétérinaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire Deroy-Bordenave ; Clément Musso ; Juan Hernandez Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 62-68 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dog  intrahepatic shunt  hepatic encephalosis  vascular surgery Résumé : La chirurgie vasculaire du foie est désormais couramment pratiquée dans les centres spécialisés et permet de soigner certaines atteintes graves de cet organe, tels les shunts intrahépatiques. Résumé → Les shunts hépatiques sont une anomalie vasculaire à configuration variable, pouvant être intra- ou extrahépatique. Les signes cliniques sont peu évocateurs et le diagnostic nécessite a minima une échographie abdominale, l’angioscanner étant l’idéal. Le traitement des shunts intrahépatiques est chirurgical mais impose une correction préalable au moins sur 4 semaines des déséquilibres qui se sont installés. Le principe consiste à réduire ou à occlure la section du vaisseau anormal afin de restaurer la perfusion portale, tout en évitant l’hypertension. Une mesure de la pression portale est idéalement réalisée durant l’intervention. Dans nos centres, la technique classique consiste en la pose d’une bande de Cellophane® qui produit une atténuation progressive. L’hospitalisation postopératoire dure une semaine au minimum pour évaluer et traiter, le cas échéant, les complications (désordres tensionnels, convulsions). Les taux de survie sont désormais bons. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77504 [article] Gestion des shunts intrahépatiques chez le chien : guide pratique dans deux centres hospitaliers vétérinaires [texte imprimé] / Claire Deroy-Bordenave ; Clément Musso ; Juan Hernandez . - 2018 . - p. 62-68. Langues : Français (fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 384 (avril 2018) . - p. 62-68 Mots-clés : Dog  intrahepatic shunt  hepatic encephalosis  vascular surgery Résumé : La chirurgie vasculaire du foie est désormais couramment pratiquée dans les centres spécialisés et permet de soigner certaines atteintes graves de cet organe, tels les shunts intrahépatiques. Résumé → Les shunts hépatiques sont une anomalie vasculaire à configuration variable, pouvant être intra- ou extrahépatique. Les signes cliniques sont peu évocateurs et le diagnostic nécessite a minima une échographie abdominale, l’angioscanner étant l’idéal. Le traitement des shunts intrahépatiques est chirurgical mais impose une correction préalable au moins sur 4 semaines des déséquilibres qui se sont installés. Le principe consiste à réduire ou à occlure la section du vaisseau anormal afin de restaurer la perfusion portale, tout en évitant l’hypertension. Une mesure de la pression portale est idéalement réalisée durant l’intervention. Dans nos centres, la technique classique consiste en la pose d’une bande de Cellophane® qui produit une atténuation progressive. L’hospitalisation postopératoire dure une semaine au minimum pour évaluer et traiter, le cas échéant, les complications (désordres tensionnels, convulsions). Les taux de survie sont désormais bons. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77504

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INTÉRÊT DE L’ANTIBIOTHÉRAPIE INHALÉE LORS D’AFFECTIONS RESPIRATOIRES CHEZ LE CHAT / Salomé Prigent in Le Point vétérinaire, Vol. 53, n°437/438 (Janvier/Février 2023)

Public ISBD [article]  inLe Point vétérinaire > Vol. 53, n°437/438 (Janvier/Février 2023) . - p. 10-11 Titre : INTÉRÊT DE L’ANTIBIOTHÉRAPIE INHALÉE LORS D’AFFECTIONS RESPIRATOIRES CHEZ LE CHAT Type de document : texte imprimé Auteurs : Salomé Prigent ; Juan Hernandez ; Hervé Pouliquen Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 10-11 Langues : Français (fre) Résumé : La prescription d’une antibiothérapie inhalée, même si elle permet l’administration locale d’un antibiotique, doit rester une pratique exceptionnelle. L’aérosolthérapie est une modalité de traitement qui consiste à faire respirer de l’air contenant des microgouttelettes d’eau obtenues par nébulisation. Elle est préconisée pour hydrater les voies respiratoires et faciliter le fonctionnement de l’escalator mucociliaire, pour fluidifier les sécrétions de mucus et pour délivrer des molécules pharmacologiquement actives (antibiotiques, glucocorticoïdes) directement dans les voies respiratoires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108821 [article] INTÉRÊT DE L’ANTIBIOTHÉRAPIE INHALÉE LORS D’AFFECTIONS RESPIRATOIRES CHEZ LE CHAT [texte imprimé] / Salomé Prigent ; Juan Hernandez ; Hervé Pouliquen . - 2023 . - p. 10-11. Langues : Français (fre) in Le Point vétérinaire > Vol. 53, n°437/438 (Janvier/Février 2023) . - p. 10-11 Résumé : La prescription d’une antibiothérapie inhalée, même si elle permet l’administration locale d’un antibiotique, doit rester une pratique exceptionnelle. L’aérosolthérapie est une modalité de traitement qui consiste à faire respirer de l’air contenant des microgouttelettes d’eau obtenues par nébulisation. Elle est préconisée pour hydrater les voies respiratoires et faciliter le fonctionnement de l’escalator mucociliaire, pour fluidifier les sécrétions de mucus et pour délivrer des molécules pharmacologiquement actives (antibiotiques, glucocorticoïdes) directement dans les voies respiratoires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108821

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Physiologie rénale et mécanismes à l’origine de la polyuro-polydipsie / Charles Collard in Le Point vétérinaire Expert Canin, 391 (Décembre 2018)

Public ISBD [article]  inLe Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 28-33 Titre : Physiologie rénale et mécanismes à l’origine de la polyuro-polydipsie Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Collard ; Bastien Scherpereel ; Juan Hernandez Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 28-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Polyuria-polydipsia  central  diabetes  insipidus  nephrogenic diabetes insipidus  osmotic diuresis  primary polydipsia Résumé : La polyuro-polydipsie (PUPD) est un syndrome extrêmement courant en médecine vétérinaire. La compréhension des mécanismes physiologiques à l’origine de ce syndrome est essentielle pour étayer son diagnostic différentiel et proposer une démarche diagnostique. Cinq grands mécanismes physiologiques peuvent entraîner une PUPD : la diurèse osmotique, la perturbation du gradient de concentration cortico-médullaire, le diabète insipide central, le diabète insipide néphrogénique et la polydipsie primaire. Dans la grande majorité des cas, c’est la polyurie qui entraîne la polydipsie compensatrice. La polydipsie primaire psychogène est plutôt rare et ne doit être suspectée qu’en dernier lieu. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77545 [article] Physiologie rénale et mécanismes à l’origine de la polyuro-polydipsie [texte imprimé] / Charles Collard ; Bastien Scherpereel ; Juan Hernandez . - 2018 . - p. 28-33. Langues : Français (fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 28-33 Mots-clés : Polyuria-polydipsia  central  diabetes  insipidus  nephrogenic diabetes insipidus  osmotic diuresis  primary polydipsia Résumé : La polyuro-polydipsie (PUPD) est un syndrome extrêmement courant en médecine vétérinaire. La compréhension des mécanismes physiologiques à l’origine de ce syndrome est essentielle pour étayer son diagnostic différentiel et proposer une démarche diagnostique. Cinq grands mécanismes physiologiques peuvent entraîner une PUPD : la diurèse osmotique, la perturbation du gradient de concentration cortico-médullaire, le diabète insipide central, le diabète insipide néphrogénique et la polydipsie primaire. Dans la grande majorité des cas, c’est la polyurie qui entraîne la polydipsie compensatrice. La polydipsie primaire psychogène est plutôt rare et ne doit être suspectée qu’en dernier lieu. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77545

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Le syndrome polyuro-polydipsie / Alexandra Leveque in Le Point vétérinaire Expert Canin, 391 (Décembre 2018)

Public ISBD [article]  inLe Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 34-39 Titre : Le syndrome polyuro-polydipsie Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandra Leveque ; Clément Rodrique ; Juan Hernandez Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 34-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : Polyuria-polydipsia syndrome  clinical and diagnostic approach  complementary examinations Résumé : Le syndrome polyuro-polydipsie est un motif de consultation fréquent. Ses causes sont nombreuses, une démarche systématique doit être adoptée. Résumé → Le syndrome polyuro-polydipsie (PUPD) est un motif de consultation fréquent. Ses causes étant nombreuses, une démarche systématique doit être adoptée afin d’établir un diagnostic et de mettre en place un traitement de la cause. En raison des confusions anamnestiques fréquentes (pollakiurie, marquage urinaire, etc.), la confirmation du syndrome PUPD via la densité urinaire est le préalable indispensable à l’exploration. Si une hypothèse majeure se dégage, elle doit être confirmée avant d’entreprendre les examens suivants : analyse d’urine, biochimie complète (dont ionogramme et calcémie), numération et formule sanguines et échographie abdominale. Dans un certain nombre de cas, des tests de seconde intention sont indiqués pour établir le diagnostic. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77546 [article] Le syndrome polyuro-polydipsie [texte imprimé] / Alexandra Leveque ; Clément Rodrique ; Juan Hernandez . - 2018 . - p. 34-39. Langues : Français (fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 391 (Décembre 2018) . - p. 34-39 Mots-clés : Polyuria-polydipsia syndrome  clinical and diagnostic approach  complementary examinations Résumé : Le syndrome polyuro-polydipsie est un motif de consultation fréquent. Ses causes sont nombreuses, une démarche systématique doit être adoptée. Résumé → Le syndrome polyuro-polydipsie (PUPD) est un motif de consultation fréquent. Ses causes étant nombreuses, une démarche systématique doit être adoptée afin d’établir un diagnostic et de mettre en place un traitement de la cause. En raison des confusions anamnestiques fréquentes (pollakiurie, marquage urinaire, etc.), la confirmation du syndrome PUPD via la densité urinaire est le préalable indispensable à l’exploration. Si une hypothèse majeure se dégage, elle doit être confirmée avant d’entreprendre les examens suivants : analyse d’urine, biochimie complète (dont ionogramme et calcémie), numération et formule sanguines et échographie abdominale. Dans un certain nombre de cas, des tests de seconde intention sont indiqués pour établir le diagnostic. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77546

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