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Auteur Françoise Tassin |
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Apport des automates d’hématologie (Sysmex XN-Series) dans le diagnostic rapide du paludisme : à propos de deux cas / Pauline Pitti ; Françoise Tassin ; Aurore Keutgens in Annales de Biologie Clinique, Vol. 81, n° 2 (mars-avril 2023)
[article]
Titre : Apport des automates d’hématologie (Sysmex XN-Series) dans le diagnostic rapide du paludisme : à propos de deux cas Auteurs : Pauline Pitti ; Françoise Tassin ; Aurore Keutgens Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 189-197 Note générale : DOI : 10.1684/abc.2023.1791 Langues : Français (fre) Résumé : Le paludisme est une maladie potentiellement sévère sévissant particulièrement en Afrique. En Europe, les cas de paludisme proviennent majoritairement de voyageurs revenant de zones endémiques. La symptomatologie non spécifique peut ne pas alerter le clinicien si cette notion de voyage n’est pas abordée. Or, le diagnostic et l’instauration rapide d’un traitement empêchent l’évolution vers les formes graves, notamment en cas d’infection à Plasmodium falciparum, capable d’engager le pronostic vital en 24h. La microscopie sur frottis mince et en goutte épaisse est la méthode de référence pour le diagnostic mais certains automates d’hématologie ont démontré leur capacité à participer au diagnostic précoce. Nous décrivons deux cas illustrant la contribution de la chaine automatisée Sysmex XN-9100 dans le diagnostic de la malaria. Le premier cas clinique est celui d’un jeune homme infecté par de nombreux gamétocytes de Plasmodium falciparum. Ceux-ci forment une population additionnelle visualisable sur les scattergrammes des leucocytes WNR (numération des leucocytes) et WDF (formule leucocytaire). Le second cas concerne un homme atteint de neuropaludisme, avec une parasitémie élevée à Plasmodium falciparum. Les hématies parasitées forment une discrète double population sur le scattergramme des réticulocytes, située à la limite de discrimination des globules rouges matures et des réticulocytes. Les anomalies des scattergrammes, visualisables en quelques minutes, offre une anticipation du diagnostic de malaria en comparaison à la microscopie sur frottis mince et goutte épaisse, technique nécessitant un temps et une expertise non négligeable.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110809
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 81, n° 2 (mars-avril 2023) . - p. 189-197[article] Apport des automates d’hématologie (Sysmex XN-Series) dans le diagnostic rapide du paludisme : à propos de deux cas [] / Pauline Pitti ; Françoise Tassin ; Aurore Keutgens . - 2023 . - p. 189-197.
DOI : 10.1684/abc.2023.1791
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 81, n° 2 (mars-avril 2023) . - p. 189-197
Résumé : Le paludisme est une maladie potentiellement sévère sévissant particulièrement en Afrique. En Europe, les cas de paludisme proviennent majoritairement de voyageurs revenant de zones endémiques. La symptomatologie non spécifique peut ne pas alerter le clinicien si cette notion de voyage n’est pas abordée. Or, le diagnostic et l’instauration rapide d’un traitement empêchent l’évolution vers les formes graves, notamment en cas d’infection à Plasmodium falciparum, capable d’engager le pronostic vital en 24h. La microscopie sur frottis mince et en goutte épaisse est la méthode de référence pour le diagnostic mais certains automates d’hématologie ont démontré leur capacité à participer au diagnostic précoce. Nous décrivons deux cas illustrant la contribution de la chaine automatisée Sysmex XN-9100 dans le diagnostic de la malaria. Le premier cas clinique est celui d’un jeune homme infecté par de nombreux gamétocytes de Plasmodium falciparum. Ceux-ci forment une population additionnelle visualisable sur les scattergrammes des leucocytes WNR (numération des leucocytes) et WDF (formule leucocytaire). Le second cas concerne un homme atteint de neuropaludisme, avec une parasitémie élevée à Plasmodium falciparum. Les hématies parasitées forment une discrète double population sur le scattergramme des réticulocytes, située à la limite de discrimination des globules rouges matures et des réticulocytes. Les anomalies des scattergrammes, visualisables en quelques minutes, offre une anticipation du diagnostic de malaria en comparaison à la microscopie sur frottis mince et goutte épaisse, technique nécessitant un temps et une expertise non négligeable.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLymphocytoses B monoclonales : de la revue de la littérature à la pratique de laboratoire / Aurore Keutgens in Annales de Biologie Clinique, 74/02 (Mars - Avril 2016)
[article]
Titre : Lymphocytoses B monoclonales : de la revue de la littérature à la pratique de laboratoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurore Keutgens ; Jacques Foguenne ; André Gothot ; Françoise Tassin Année de publication : 2016 Article en page(s) : 168-175 Langues : Français (fre) Mots-clés : lymphocytose Résumé : Les lymphocytoses B monoclonales (MBL) sont définies comme des conditions asymptomatiques caractérisées par la présence dans le sang périphérique de moins de 5 000 cellules B monoclonales par microlitre et l’absence de signes cliniques ou de symptômes B. La majorité des MBL présentent un phénotype de leucémie lymphoïde chronique (CLL-like MBL) avec un score de Catovsky-Matutes de 3 à 5 points et les mêmes anomalies chromosomiques que la CLL. En fonction de la lymphocytose B absolue, on distingue les low-countCLL-like MBL (< 500 lymphocytes B/μL), qui présentent un risque négligeable de progression, n’ont pas de risque accru d’infections, ni de mortalité et ne requièrent pas de suivi spécifique. Par contre, les clinical CLL-like MBL (> 500 lymphocytes B/μL) ont un risque de progression en CLL nécessitant un traitement, de 1 à 2 % par an, un risque accru d’infections et de mortalité et nécessitent un suivi annuel par un hématologue. Les MBL peuvent aussi exprimer d’autres phénotypes et sont nommées atypical MBL en cas d’expression de l’antigène CD5 (score de Catovsky-Matutes : 1-2 points) et non-CLL-like MBL en cas d’absence du CD5 (score de Catovsky-Matutes : 0-2 points). Leur pronostic moins favorable et la nécessité d’exclure un lymphome non-hodgkinien impliquent des études cytogénétiques, une biopsie de moelle osseuse et un CT-scan en plus de l’examen physique au diagnostic et un suivi plus fréquent par un hématologue. Cet article parcourt les concepts généraux de la classification, du diagnostic, du monitoring des MBL dans la pratique de laboratoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77415
in Annales de Biologie Clinique > 74/02 (Mars - Avril 2016) . - 168-175[article] Lymphocytoses B monoclonales : de la revue de la littérature à la pratique de laboratoire [texte imprimé] / Aurore Keutgens ; Jacques Foguenne ; André Gothot ; Françoise Tassin . - 2016 . - 168-175.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > 74/02 (Mars - Avril 2016) . - 168-175
Mots-clés : lymphocytose Résumé : Les lymphocytoses B monoclonales (MBL) sont définies comme des conditions asymptomatiques caractérisées par la présence dans le sang périphérique de moins de 5 000 cellules B monoclonales par microlitre et l’absence de signes cliniques ou de symptômes B. La majorité des MBL présentent un phénotype de leucémie lymphoïde chronique (CLL-like MBL) avec un score de Catovsky-Matutes de 3 à 5 points et les mêmes anomalies chromosomiques que la CLL. En fonction de la lymphocytose B absolue, on distingue les low-countCLL-like MBL (< 500 lymphocytes B/μL), qui présentent un risque négligeable de progression, n’ont pas de risque accru d’infections, ni de mortalité et ne requièrent pas de suivi spécifique. Par contre, les clinical CLL-like MBL (> 500 lymphocytes B/μL) ont un risque de progression en CLL nécessitant un traitement, de 1 à 2 % par an, un risque accru d’infections et de mortalité et nécessitent un suivi annuel par un hématologue. Les MBL peuvent aussi exprimer d’autres phénotypes et sont nommées atypical MBL en cas d’expression de l’antigène CD5 (score de Catovsky-Matutes : 1-2 points) et non-CLL-like MBL en cas d’absence du CD5 (score de Catovsky-Matutes : 0-2 points). Leur pronostic moins favorable et la nécessité d’exclure un lymphome non-hodgkinien impliquent des études cytogénétiques, une biopsie de moelle osseuse et un CT-scan en plus de l’examen physique au diagnostic et un suivi plus fréquent par un hématologue. Cet article parcourt les concepts généraux de la classification, du diagnostic, du monitoring des MBL dans la pratique de laboratoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77415 Réservation
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