[article] 
inCanadian Journal of Occupational Therapy > 84(1) (février 2017) . - p. 58-68

Titre :	Occupational injustice: A critique
Titre original :	L’injustice occupationnelle : une critique
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Karen Whalley Hammell ; Brenda Beagan
Année de publication :	2017
Article en page(s) :	p. 58-68
Langues :	Anglais (eng)
Mots-clés :	bien-être  occupation  capacités  droits  justice sociale
Résumé :	Description. Bien que la notion d’injustice occupationnelle soit répandue dans la littérature en ergothérapie, il y a eu peu de débats savants sur ce construit ou sur les paramètres des cinq formes d’injustices sociales identifiées. But. Le but de cet article est de mettre en relief certaines confusions conceptuelles, d’attirer l’attention sur quelques questions inhérentes n’ayant pas été reconnues ou abordées, et de remettre en question l’utilité théorique et pratique de cinq manifestations d’injustice occupationnelle. Questions clés. Peu de théoriciens ont contribué à la littérature sur l’injustice occupationnelle. Il existe une certaine confusion quant à la définition des cinq formes d’injustice occupationnelle, car certaines formes sont décrites comme des sous-ensembles des autres formes. Les problèmes inhérents à l’identification d’une situation d’injustice occupationnelle n’ont pas été abordés. Conséquences. Si l’injustice occupationnelle était considérée comme une violation des droits occupationnnels—les droits de la personne d’atteindre le bien-être par l’occupation—bon nombre des problèmes liés à l’identification d’une situation de justice ou d’injustice occupationnelle seraient résolus. L’adoption de l’approche par les capacités permettrait de déterminer plus facilement si les droits de la personne ont été enfreints.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=48419

[article] Occupational injustice: A critique = L’injustice occupationnelle : une critique [texte imprimé] / Karen Whalley Hammell ; Brenda Beagan . - 2017 . - p. 58-68.
Langues : Anglais (eng)
in Canadian Journal of Occupational Therapy > 84(1) (février 2017) . - p. 58-68

Mots-clés :	bien-être  occupation  capacités  droits  justice sociale
Résumé :	Description. Bien que la notion d’injustice occupationnelle soit répandue dans la littérature en ergothérapie, il y a eu peu de débats savants sur ce construit ou sur les paramètres des cinq formes d’injustices sociales identifiées. But. Le but de cet article est de mettre en relief certaines confusions conceptuelles, d’attirer l’attention sur quelques questions inhérentes n’ayant pas été reconnues ou abordées, et de remettre en question l’utilité théorique et pratique de cinq manifestations d’injustice occupationnelle. Questions clés. Peu de théoriciens ont contribué à la littérature sur l’injustice occupationnelle. Il existe une certaine confusion quant à la définition des cinq formes d’injustice occupationnelle, car certaines formes sont décrites comme des sous-ensembles des autres formes. Les problèmes inhérents à l’identification d’une situation d’injustice occupationnelle n’ont pas été abordés. Conséquences. Si l’injustice occupationnelle était considérée comme une violation des droits occupationnnels—les droits de la personne d’atteindre le bien-être par l’occupation—bon nombre des problèmes liés à l’identification d’une situation de justice ou d’injustice occupationnelle seraient résolus. L’adoption de l’approche par les capacités permettrait de déterminer plus facilement si les droits de la personne ont été enfreints.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=48419