Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Actualités sur la péritonite infectieuse féline et les coronavirus félins |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Séverine Boullier ; Stéphane BERTAGNOLI |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 53-59 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Coronavirus félin péritonite infectieuse féline diagnostic félin chat vaccin traitement |
Résumé : |
Les coronavirus félins (FCoV) sont très répandus dans certaines populations de chats. Dans la majorité des cas, les animaux sont porteurs asymptomatiques ou paucisymptomatiques. Dans environ 5 à 10 % des cas, les chats vont présenter une forme clinique grave, la péritonite infectieuse féline (PIF), dont l’évolution est presque toujours mortelle. La PIF est consécutive à des mutations, non identifiées avec certitude à ce jour, du virus peu pathogène, le coronavirus entérique félin (feline enteric coronavirus, ou FeCV). Cet article présente les données récentes concernant la gestion des chats infectés. Le diagnostic reste complexe car il n’existe pas d’outil permettant de différencier le FeCV de son variant pathogène, le coronavirus félin responsable de la PIF (feline infectious peritonitis virus, ou FIPV). Il n’existe pas pour le moment de vaccin ayant montré une efficacité suffisante sur le terrain pour prévenir l’apparition de la PIF. En revanche, plusieurs stratégies thérapeutiques ont montré un niveau d’efficacité prometteur dans différentes études préliminaires. Ces études doivent être confirmées pour que les molécules testées puissent obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) et être utilisées pour le traitement de la PIF. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=103142 |
in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°429 (mai 2022) . - p. 53-59
[article] Actualités sur la péritonite infectieuse féline et les coronavirus félins [texte imprimé] / Séverine Boullier ; Stéphane BERTAGNOLI . - 2022 . - p. 53-59. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°429 (mai 2022) . - p. 53-59
Mots-clés : |
Coronavirus félin péritonite infectieuse féline diagnostic félin chat vaccin traitement |
Résumé : |
Les coronavirus félins (FCoV) sont très répandus dans certaines populations de chats. Dans la majorité des cas, les animaux sont porteurs asymptomatiques ou paucisymptomatiques. Dans environ 5 à 10 % des cas, les chats vont présenter une forme clinique grave, la péritonite infectieuse féline (PIF), dont l’évolution est presque toujours mortelle. La PIF est consécutive à des mutations, non identifiées avec certitude à ce jour, du virus peu pathogène, le coronavirus entérique félin (feline enteric coronavirus, ou FeCV). Cet article présente les données récentes concernant la gestion des chats infectés. Le diagnostic reste complexe car il n’existe pas d’outil permettant de différencier le FeCV de son variant pathogène, le coronavirus félin responsable de la PIF (feline infectious peritonitis virus, ou FIPV). Il n’existe pas pour le moment de vaccin ayant montré une efficacité suffisante sur le terrain pour prévenir l’apparition de la PIF. En revanche, plusieurs stratégies thérapeutiques ont montré un niveau d’efficacité prometteur dans différentes études préliminaires. Ces études doivent être confirmées pour que les molécules testées puissent obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) et être utilisées pour le traitement de la PIF. |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |

[article]
Titre : |
Effets indésirables des vaccins contre la leptospirose chez le chien : étude rétrospective sur dix ans |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Paule-Azéline Guerineau ; Jacques Bietrix ; Sandrine Rougier ; Élisabeth Bégon ; Flore Demay ; Sylviane Laurentie ; Séverine Boullier |
Année de publication : |
2024 |
Article en page(s) : |
p. 40-47 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Immunologie Effet indésirable Vaccin Leptospirose Chien Pharmacovigilance |
Résumé : |
Cette étude rétrospective sur les vaccins contre la leptospirose canine révèle une faible fréquence de déclarations d’effets indésirables, néanmoins plus élevée pour les vaccins tétravalents adjuvés, tout en identifiant des groupes à risque.
Si le premier vaccin contenant une souche de Leptospira date de 1960, l’innocuité des vaccins plus récents contenant trois à quatre valences de leptospires a fortement animé les réseaux sociaux lors de leur lancement sur le marché et demeure encore aujourd’hui contestée. Plusieurs études, réalisées dans les années qui ont suivi la commercialisation de ces vaccins, ont comparé les incidences d’effets indésirables pour les différents types de vaccins contre la leptospirose dans différents pays et suggèrent une augmentation de la fréquence de ces réactions avec les vaccins tétravalents [4, 6, 9].
L’étude présentée a pour objectif d’apporter des informations complémentaires sur le risque de réactions en comparant les déclarations d’événements indésirables reçues en France à la suite de l’utilisation de vaccins contre la leptospirose chez le chien, selon le nombre de valences Leptospira contenues dans les vaccins et la présence ou non d’un adjuvant pour les vaccins tétravalents, sur une période de dix ans. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=121672 |
in Le Point vétérinaire > Vol.55 N°460 (décembre 2024) . - p. 40-47
[article] Effets indésirables des vaccins contre la leptospirose chez le chien : étude rétrospective sur dix ans [texte imprimé] / Paule-Azéline Guerineau ; Jacques Bietrix ; Sandrine Rougier ; Élisabeth Bégon ; Flore Demay ; Sylviane Laurentie ; Séverine Boullier . - 2024 . - p. 40-47. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire > Vol.55 N°460 (décembre 2024) . - p. 40-47
Mots-clés : |
Immunologie Effet indésirable Vaccin Leptospirose Chien Pharmacovigilance |
Résumé : |
Cette étude rétrospective sur les vaccins contre la leptospirose canine révèle une faible fréquence de déclarations d’effets indésirables, néanmoins plus élevée pour les vaccins tétravalents adjuvés, tout en identifiant des groupes à risque.
Si le premier vaccin contenant une souche de Leptospira date de 1960, l’innocuité des vaccins plus récents contenant trois à quatre valences de leptospires a fortement animé les réseaux sociaux lors de leur lancement sur le marché et demeure encore aujourd’hui contestée. Plusieurs études, réalisées dans les années qui ont suivi la commercialisation de ces vaccins, ont comparé les incidences d’effets indésirables pour les différents types de vaccins contre la leptospirose dans différents pays et suggèrent une augmentation de la fréquence de ces réactions avec les vaccins tétravalents [4, 6, 9].
L’étude présentée a pour objectif d’apporter des informations complémentaires sur le risque de réactions en comparant les déclarations d’événements indésirables reçues en France à la suite de l’utilisation de vaccins contre la leptospirose chez le chien, selon le nombre de valences Leptospira contenues dans les vaccins et la présence ou non d’un adjuvant pour les vaccins tétravalents, sur une période de dix ans. |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |

[article]
Titre : |
LES MÉCANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ASSOCIÉS À LA DERMATITE ATOPIQUE |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Séverine Boullier |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 26-32 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Allergens TH Pruritus |
Résumé : |
La dermatite atopique est une affection dermatologique courante, et le prurit associé a un fort impact négatif sur la qualité de vie des animaux atteints. Les mécanismes qui aboutissent au prurit lors de dermatite atopique sont très complexes. Si l’élément déclenchant de la dermatite atopique est une réaction allergique (hypersensibilité de type I), il est désormais admis que, dans la phase chronique, de nombreux effecteurs immunitaires participent au maintien de l’inflammation. Les cytokines pro-TH2 jouent un rôle clé dans ce phénomène et, parmi elles, l’interleukine 31 (IL-31) est considérée comme un facteur prurigineux important. Pour limiter le prurit, il est possible d’utiliser des immunomodulateurs avec un spectre large, comme les corticostéroïdes et la ciclosporine. Les nouvelles connaissances sur la physiopathologie de la dermatite atopique ont permis le développement de nouvelles stratégies de prise en charge du prurit, avec une molécule qui inhibe les voies de signalisation des cytokines TH2, l’oclacitinib, et un anticorps monoclonal qui bloque l’IL-31, le lokivetmab. Cet article présente les grands mécanismes immunopathologiques de la dermatite atopique et les modes d’action des quatre principaux traitements antiprurigineux disponibles chez le chien ou le chat. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=100708 |
in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°425/426 (janvier-février 2022) . - p. 26-32
[article] LES MÉCANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ASSOCIÉS À LA DERMATITE ATOPIQUE [texte imprimé] / Séverine Boullier . - 2022 . - p. 26-32. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°425/426 (janvier-février 2022) . - p. 26-32
Mots-clés : |
Allergens TH Pruritus |
Résumé : |
La dermatite atopique est une affection dermatologique courante, et le prurit associé a un fort impact négatif sur la qualité de vie des animaux atteints. Les mécanismes qui aboutissent au prurit lors de dermatite atopique sont très complexes. Si l’élément déclenchant de la dermatite atopique est une réaction allergique (hypersensibilité de type I), il est désormais admis que, dans la phase chronique, de nombreux effecteurs immunitaires participent au maintien de l’inflammation. Les cytokines pro-TH2 jouent un rôle clé dans ce phénomène et, parmi elles, l’interleukine 31 (IL-31) est considérée comme un facteur prurigineux important. Pour limiter le prurit, il est possible d’utiliser des immunomodulateurs avec un spectre large, comme les corticostéroïdes et la ciclosporine. Les nouvelles connaissances sur la physiopathologie de la dermatite atopique ont permis le développement de nouvelles stratégies de prise en charge du prurit, avec une molécule qui inhibe les voies de signalisation des cytokines TH2, l’oclacitinib, et un anticorps monoclonal qui bloque l’IL-31, le lokivetmab. Cet article présente les grands mécanismes immunopathologiques de la dermatite atopique et les modes d’action des quatre principaux traitements antiprurigineux disponibles chez le chien ou le chat. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=100708 |
|
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |


[article]
Titre : |
Vaccination : réponse immunitaire protectrice et effets indésirables |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Séverine Boullier |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 22-26 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
vaccines immune response adverse effects hypersensitivity dogs cats |
Résumé : |
Les mécanismes d’action de la vaccination sont de mieux en mieux compris et maîtrisés, leur efficacité de plus en plus renforcée. De rares effets indésirables bien connus n’altèrent pas ce succès majeur en santé animale (et humaine).
Résumé
→ La vaccination est fondée sur le fonctionnement de la réponse immunitaire spécifique. L’objectif est de mimer l’infection naturelle sans provoquer d’effets indésirables graves, de façon à induire une réponse immunitaire mémoire protectrice.
Plusieurs types de vaccins sont disponibles pour les carnivores domestiques, chacun ayant des caractéristiques immunologiques propres. Ces caractéristiques impactent leur immunogénicité et sont prises en compte pour l’adaptation des protocoles vaccinaux (primovaccination, durée d’immunité). Pour les vaccins les moins immunogènes, il peut être nécessaire d’utiliser des adjuvants qui améliorent la réponse vaccinale.
La mise en place de la réponse vaccinale est toujours associée au déclenchement d’une réponse inflammatoire initiale responsable d’un effet secondaire bénin appelé réactogénicité. L’intensité de la réactogénicité dépend de la nature du vaccin, mais aussi de la sensibilité individuelle des individus. Dans de très rares cas, les vaccins peuvent induire une réaction allergique, dont l’apparition est imprévisible.
La connaissance de la nature de la réponse immunitaire induite par les vaccins et des mécanismes associés à l’apparition des réactions secondaires permet aux praticiens d’adapter au mieux les protocoles vaccinaux et de pouvoir répondre aux interrogations des propriétaires. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77332 |
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 390 (Novembre 2018) . - p. 22-26
[article] Vaccination : réponse immunitaire protectrice et effets indésirables [texte imprimé] / Séverine Boullier . - 2018 . - p. 22-26. Langues : Français ( fre) in Le Point vétérinaire Expert Canin > 390 (Novembre 2018) . - p. 22-26
Mots-clés : |
vaccines immune response adverse effects hypersensitivity dogs cats |
Résumé : |
Les mécanismes d’action de la vaccination sont de mieux en mieux compris et maîtrisés, leur efficacité de plus en plus renforcée. De rares effets indésirables bien connus n’altèrent pas ce succès majeur en santé animale (et humaine).
Résumé
→ La vaccination est fondée sur le fonctionnement de la réponse immunitaire spécifique. L’objectif est de mimer l’infection naturelle sans provoquer d’effets indésirables graves, de façon à induire une réponse immunitaire mémoire protectrice.
Plusieurs types de vaccins sont disponibles pour les carnivores domestiques, chacun ayant des caractéristiques immunologiques propres. Ces caractéristiques impactent leur immunogénicité et sont prises en compte pour l’adaptation des protocoles vaccinaux (primovaccination, durée d’immunité). Pour les vaccins les moins immunogènes, il peut être nécessaire d’utiliser des adjuvants qui améliorent la réponse vaccinale.
La mise en place de la réponse vaccinale est toujours associée au déclenchement d’une réponse inflammatoire initiale responsable d’un effet secondaire bénin appelé réactogénicité. L’intensité de la réactogénicité dépend de la nature du vaccin, mais aussi de la sensibilité individuelle des individus. Dans de très rares cas, les vaccins peuvent induire une réaction allergique, dont l’apparition est imprévisible.
La connaissance de la nature de la réponse immunitaire induite par les vaccins et des mécanismes associés à l’apparition des réactions secondaires permet aux praticiens d’adapter au mieux les protocoles vaccinaux et de pouvoir répondre aux interrogations des propriétaires. |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |