Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur Véronique Vallery |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Caractérisation de la biogenèse des ARN circulaires non canoniques / Lohan Dethier
Titre : Caractérisation de la biogenèse des ARN circulaires non canoniques Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Lohan Dethier ; Damien Coupeau, Promoteur du mémoire ; Véronique Vallery, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2023 Importance : 60p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : Les ARN circulaires sont une classe d’ARN étudiés depuis peu. Ceux-ci sont simple brin et dans la majorité non codantes. Avant d’être reconnus comme ARN circulaire, les scientifiques ont longtemps pensé qu’ils étaient des artéfacts de PCR ou même des erreurs d’épissage. Les ARN circulaires sont reconnus comme produits réels issus de l’épissage depuis les années 2010. Ils commencent à être de plus en plus étudiés car on cherche à comprendre les différents rôles de ces ARN circulaires. Leurs impacts au sein de la cellule et leurs liens avec différentes pathologies sont de plus en plus mis en avant. (Awasthi et al., 2018)
Ces ARN proviennent de la circularisation d’exons et/ou d’introns (figure 1). Cette circularisation est issue de l’épissage d’ARN pré messager qui est réalisé par la machinerie appelée spliceosome. Pour obtenir un ARN circulaire, il va y avoir une liaison covalente entre un site donneur qui va attaquer un site accepteur situé en amont du gène (figure 1). Cette circularisation va donc offrir aux ARN circulaires une stabilité plus élevée qu’un ARN circulaire linéaire car les extrémité 5’ et 3’ ne peuvent être dégradés par des exonucléases. (Awasthi et al., 2018 ; Bose & Ain, 2018)
Des chercheurs danois ont observé des ARN circulaires dans différents organismes eucaryotes comme des vers, mammifères (Homme et animaux), champignons, plantes, mais également chez certains virus. Le virus dont on va s’intéresser est le MDV (Virus de la maladie de Marek) sur lequel on va se baser pour réaliser nos recherches. (Kristensen et al., 2019)
Le but de ce travail est de créer un vecteur pouvant permettre la surexpression d'ARN circulaires non canoniques afin de pouvoir in fine identifier les mécanismes et les acteurs impliqués dans la biogenèse de ces molécules qui ne semblent pas suivre celle des ARN circulaires actuellement décrits.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114738 Caractérisation de la biogenèse des ARN circulaires non canoniques [TFE / Mémoire] / Lohan Dethier ; Damien Coupeau, Promoteur du mémoire ; Véronique Vallery, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2023 . - 60p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur .
Langues : Français (fre)
Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : Les ARN circulaires sont une classe d’ARN étudiés depuis peu. Ceux-ci sont simple brin et dans la majorité non codantes. Avant d’être reconnus comme ARN circulaire, les scientifiques ont longtemps pensé qu’ils étaient des artéfacts de PCR ou même des erreurs d’épissage. Les ARN circulaires sont reconnus comme produits réels issus de l’épissage depuis les années 2010. Ils commencent à être de plus en plus étudiés car on cherche à comprendre les différents rôles de ces ARN circulaires. Leurs impacts au sein de la cellule et leurs liens avec différentes pathologies sont de plus en plus mis en avant. (Awasthi et al., 2018)
Ces ARN proviennent de la circularisation d’exons et/ou d’introns (figure 1). Cette circularisation est issue de l’épissage d’ARN pré messager qui est réalisé par la machinerie appelée spliceosome. Pour obtenir un ARN circulaire, il va y avoir une liaison covalente entre un site donneur qui va attaquer un site accepteur situé en amont du gène (figure 1). Cette circularisation va donc offrir aux ARN circulaires une stabilité plus élevée qu’un ARN circulaire linéaire car les extrémité 5’ et 3’ ne peuvent être dégradés par des exonucléases. (Awasthi et al., 2018 ; Bose & Ain, 2018)
Des chercheurs danois ont observé des ARN circulaires dans différents organismes eucaryotes comme des vers, mammifères (Homme et animaux), champignons, plantes, mais également chez certains virus. Le virus dont on va s’intéresser est le MDV (Virus de la maladie de Marek) sur lequel on va se baser pour réaliser nos recherches. (Kristensen et al., 2019)
Le but de ce travail est de créer un vecteur pouvant permettre la surexpression d'ARN circulaires non canoniques afin de pouvoir in fine identifier les mécanismes et les acteurs impliqués dans la biogenèse de ces molécules qui ne semblent pas suivre celle des ARN circulaires actuellement décrits.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114738 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Caractérisation de kératinocytes knock-out pour la filaggrine dans des épidermes humains reconstruits et optimisation de méthode / Emeric Plasschaert
Titre : Caractérisation de kératinocytes knock-out pour la filaggrine dans des épidermes humains reconstruits et optimisation de méthode Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Emeric Plasschaert ; Yves Poumay, Directeur de la recherche ; Véronique Vallery, Directeur de la recherche Editeur : Montignies-sur-Sambre : Helha. Paramédical - Biologie médicale Année de publication : 2024 Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : Le groupe McLean, dans le cadre de l’ichtyose vulgaire et de la dermatite atopique, s’est rendu compte que la protéine filaggrine était mutée ou absente.
De plus, pour remplacer les modèles vivants et par l’ingénierie de CRISP/Cas9, le Dr. Smits ainsi que son équipe ont réalisé des clones de kératinocytes n’exprimant plus la filaggrine (filaggrine KO) mais également un clone revertant réexprimant la filaggrine (filaggrine
reverse). Après avoir obtenu ces clones, une mise en culture a été effectuée afin de reconstituer des épidermes humains reconstruits (RHE). Une fois ces RHE obtenus, des tests ont été réalisés tels que des immunohistochimies, des q-PCR ainsi que des tests de perméabilités.
De ces différentes expériences, il ressort que plusieurs protéines réagissent anormalement, notamment l’hornérine.
Comme il doutait de sa méthode de cultures, il a confié au LabCeTi de Namur un exemplaire de chacun de ses clones afin de réaliser ces dernières avec une autre méthode, qui est la nôtre.
Pour obtenir nos propres résultats, nous avons réalisé diverses séries de RHE ainsi que plusieurs tests similaires à ceux présentés ci-dessus.
A la suite de ces manipulations et en comparaison des résultats du Dr. Smits, nous constatons que nos résultats ne sont pas ceux attendus...Note de contenu : Table des ma0ères :
Remerciements .................................................................................................................. 4
Table des matières : ........................................................................................................... 5
Présentation lieu de stage : ................................................................................................ 5
Introduction générale : ....................................................................................................... 6
1 Contexte général ........................................................................................................ 7
1.1 La peau ........................................................................................................................... 7
1.2 La structure de la peau.................................................................................................... 8
1.3 Kératinisation ............................................................................................................... 12
1.4 La Filaggrine (FLG) ......................................................................................................... 13
1.5 L’hornérine (HRNR) et la filaggrine 2 (FLG2) .................................................................. 15
2 Objectif et stratégie .................................................................................................. 16
3 Matériels et méthodes .............................................................................................. 20
3.1 Matériels et méthodes « culture cellulaire » ................................................................. 20
3.2 Matériels et méthodes « Immunohistochimie (IHC) » ................................................... 24
3.3 Matériels et méthodes « q-PCR» ................................................................................... 25
4 Résultats et interprétations ...................................................................................... 26
4.1 Culture cellulaire........................................................................................................... 26
4.2 Test TEER ...................................................................................................................... 29
4.3 Immunohistochimie ...................................................................................................... 33
4.4 RT et q-PCR ................................................................................................................... 45
Conclusion et perspectives ................................................................................................ 49
Liste des abréviations ....................................................................................................... 51
Liste des figures ................................................................................................................ 52
Liste des tableaux ............................................................................................................. 53
Bibliographie .................................................................................................................... 55
Liste des annexes.............................................................................................................. 59
Annexes ...............................................................................................................................Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=119421 Caractérisation de kératinocytes knock-out pour la filaggrine dans des épidermes humains reconstruits et optimisation de méthode [TFE / Mémoire] / Emeric Plasschaert ; Yves Poumay, Directeur de la recherche ; Véronique Vallery, Directeur de la recherche . - Montignies-sur-Sambre : Helha. Paramédical - Biologie médicale, 2024.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur
Langues : Français (fre)
Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : Le groupe McLean, dans le cadre de l’ichtyose vulgaire et de la dermatite atopique, s’est rendu compte que la protéine filaggrine était mutée ou absente.
De plus, pour remplacer les modèles vivants et par l’ingénierie de CRISP/Cas9, le Dr. Smits ainsi que son équipe ont réalisé des clones de kératinocytes n’exprimant plus la filaggrine (filaggrine KO) mais également un clone revertant réexprimant la filaggrine (filaggrine
reverse). Après avoir obtenu ces clones, une mise en culture a été effectuée afin de reconstituer des épidermes humains reconstruits (RHE). Une fois ces RHE obtenus, des tests ont été réalisés tels que des immunohistochimies, des q-PCR ainsi que des tests de perméabilités.
De ces différentes expériences, il ressort que plusieurs protéines réagissent anormalement, notamment l’hornérine.
Comme il doutait de sa méthode de cultures, il a confié au LabCeTi de Namur un exemplaire de chacun de ses clones afin de réaliser ces dernières avec une autre méthode, qui est la nôtre.
Pour obtenir nos propres résultats, nous avons réalisé diverses séries de RHE ainsi que plusieurs tests similaires à ceux présentés ci-dessus.
A la suite de ces manipulations et en comparaison des résultats du Dr. Smits, nous constatons que nos résultats ne sont pas ceux attendus...Note de contenu : Table des ma0ères :
Remerciements .................................................................................................................. 4
Table des matières : ........................................................................................................... 5
Présentation lieu de stage : ................................................................................................ 5
Introduction générale : ....................................................................................................... 6
1 Contexte général ........................................................................................................ 7
1.1 La peau ........................................................................................................................... 7
1.2 La structure de la peau.................................................................................................... 8
1.3 Kératinisation ............................................................................................................... 12
1.4 La Filaggrine (FLG) ......................................................................................................... 13
1.5 L’hornérine (HRNR) et la filaggrine 2 (FLG2) .................................................................. 15
2 Objectif et stratégie .................................................................................................. 16
3 Matériels et méthodes .............................................................................................. 20
3.1 Matériels et méthodes « culture cellulaire » ................................................................. 20
3.2 Matériels et méthodes « Immunohistochimie (IHC) » ................................................... 24
3.3 Matériels et méthodes « q-PCR» ................................................................................... 25
4 Résultats et interprétations ...................................................................................... 26
4.1 Culture cellulaire........................................................................................................... 26
4.2 Test TEER ...................................................................................................................... 29
4.3 Immunohistochimie ...................................................................................................... 33
4.4 RT et q-PCR ................................................................................................................... 45
Conclusion et perspectives ................................................................................................ 49
Liste des abréviations ....................................................................................................... 51
Liste des figures ................................................................................................................ 52
Liste des tableaux ............................................................................................................. 53
Bibliographie .................................................................................................................... 55
Liste des annexes.............................................................................................................. 59
Annexes ...............................................................................................................................Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=119421 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Développement d’un modèle de sénescence induite par les rayons X / Nicolas Lemaitre
Titre : Développement d’un modèle de sénescence induite par les rayons X Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Nicolas Lemaitre, Auteur ; Véronique Vallery, Directeur de la recherche Editeur : Montignies-sur-Sambre : Helha. Paramédical - Biologie médicale Année de publication : 2021 Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur Langues : Français (fre) Mots-clés : UCLouvain Unité de Biochimie et Génétique des Microorganismes BGM Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : La sénescence se définit comme l’arrêt irréversible de divisions cellulaires chez une cellule normale. La sénescence correspond au vieillissement cellulaire (sénescence réplicative), et peut être induite par un stress (SIPS) ou par un oncogène (OIS). L’un de nos objectifs est de mettre au point un modèle de sénescence induit par les rayons X. Pour ce faire, différentes doses absorbées en rayons X (10 Gy, 12,5 Gy et 15 Gy) ont été testées sur des fibroblastes (NHDF et FS). La sénescence a été étudiée à l’aide des différents biomarqueurs en comparant les résultats obtenus par ces irradiations à des contrôles positifs (traitement à la bléomycine et cellules en sénescence réplicative) et à des contrôles négatifs (fibroblastes jeunes et non irradiés). Les biomarqueurs utilisés sont la SA-β-gal, la présence de changements morphologiques,
l’arrêt de la prolifération, la présence de dommages à l’ADN (foci 53BP1), l’expression de la lamine B1, l’expression de gènes du SASP (IL-6, IL-8 et CCL2) et l’expression de gènes de la voie UPR (unfolded protein response). La SA-β-gal est un biomarqueur important dans la mise en évidence de cellules sénescences. La technique, actuellement utilisée en laboratoire (méthode cytochimique), consiste à rajouter un substrat chromogénique de la β-gal (x-gal) dans un tampon à pH 6,0. Mon autre objectif est la mise au point du test de l’activité de la SA-β-gal. Pour raffiner la méthode, déterminer le pH optimal à celle-ci serait intéressant. C’est pourquoi la coloration obtenue avec le tampon au pH actuel (6,0) a été comparé avec la coloration obtenue à partir de deux nouveaux pH (5,6 et 5,8). Mettre au point une autre méthode pour mettre en évidence la SA-β-gal (technique fluorescente) peut-être aussi intéressante.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100361 Développement d’un modèle de sénescence induite par les rayons X [TFE / Mémoire] / Nicolas Lemaitre, Auteur ; Véronique Vallery, Directeur de la recherche . - Montignies-sur-Sambre : Helha. Paramédical - Biologie médicale, 2021.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur
Langues : Français (fre)
Mots-clés : UCLouvain Unité de Biochimie et Génétique des Microorganismes BGM Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : La sénescence se définit comme l’arrêt irréversible de divisions cellulaires chez une cellule normale. La sénescence correspond au vieillissement cellulaire (sénescence réplicative), et peut être induite par un stress (SIPS) ou par un oncogène (OIS). L’un de nos objectifs est de mettre au point un modèle de sénescence induit par les rayons X. Pour ce faire, différentes doses absorbées en rayons X (10 Gy, 12,5 Gy et 15 Gy) ont été testées sur des fibroblastes (NHDF et FS). La sénescence a été étudiée à l’aide des différents biomarqueurs en comparant les résultats obtenus par ces irradiations à des contrôles positifs (traitement à la bléomycine et cellules en sénescence réplicative) et à des contrôles négatifs (fibroblastes jeunes et non irradiés). Les biomarqueurs utilisés sont la SA-β-gal, la présence de changements morphologiques,
l’arrêt de la prolifération, la présence de dommages à l’ADN (foci 53BP1), l’expression de la lamine B1, l’expression de gènes du SASP (IL-6, IL-8 et CCL2) et l’expression de gènes de la voie UPR (unfolded protein response). La SA-β-gal est un biomarqueur important dans la mise en évidence de cellules sénescences. La technique, actuellement utilisée en laboratoire (méthode cytochimique), consiste à rajouter un substrat chromogénique de la β-gal (x-gal) dans un tampon à pH 6,0. Mon autre objectif est la mise au point du test de l’activité de la SA-β-gal. Pour raffiner la méthode, déterminer le pH optimal à celle-ci serait intéressant. C’est pourquoi la coloration obtenue avec le tampon au pH actuel (6,0) a été comparé avec la coloration obtenue à partir de deux nouveaux pH (5,6 et 5,8). Mettre au point une autre méthode pour mettre en évidence la SA-β-gal (technique fluorescente) peut-être aussi intéressante.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100361 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Etude des effets du miel sur les mécanismes autophagiques des macrophages / Robin Varsebroucq
Titre : Etude des effets du miel sur les mécanismes autophagiques des macrophages Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Robin Varsebroucq, Auteur ; Véronique Vallery, Directeur de la recherche Editeur : Montignies-sur-Sambre : Helha. Paramédical - Biologie médicale Année de publication : 2019 Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français (fre) Mots-clés : biologie médicale UNamur Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : Le miel est utilisé depuis des milliers d’années dans de nombreuses cultures et est connu pour ses propriétés antibactériennes, anti-inflammatoires et immunomodulatrices. Une recherche précédente a permis de mettre en évidence l’effet du miel Revamil sur l’abondance de protéines autophagiques des macrophages. En effet, les résultats ont montré une augmentation des protéines LC3-II et p62 en présence de Revamil ainsi qu’une phosphorylation du complexe mTOR. L’autophagie désigne le mécanisme par lequel la cellule est capable de dégrader ses éléments cytoplasmiques n’étant plus nécessaire pour produire de nouvelles protéines. Ceci se réalise par l’intermédiaire de ses autophagosomes et lysosomes.
L’objectif de ce travail est de caractériser les mécanismes par lesquels le miel Revamil module la phosphorylation de mTOR et le flux autophagique et de comparer les effets du Revamil aux effets potentiels d’autres miels tels que des miels artisanaux fabriqués à différentes périodes (printemps et été) et du miel Manuka. Cette comparaison, des effets de différents miels a, dans un premier temps, été réalisée par analyse d’abondance protéique des marqueurs de l’autophagie et de kinases/enzymes clés de sa régulation.
Cet objectif est mené en parallèle avec une étude portant sur la recherche du (ou des) composant(s) présent(s) dans le miel potentiellement responsable(s) des effets observés sur l’autophagie.
Cette recherche a permis de montrer une différence de l’augmentation de l’abondance des protéines LC3-II et p62 en fonction du miel utilisé. La composition ainsi que la période de récolte du miel influenceraient cet effet. Deux miels artisanaux ont montré des profils complétement différents et les miels médicaux alors que le Revamil et le Manuka montrent des effets relativement similaires.
Les résultats montrent une augmentation de l’abondance des protéines LC3-II et p62 pour les conditions Revamil, Manuka et miel d’été par rapport à la condition « Sugar Mix » contrairement au miel de printemps qui se comporte comme la condition « Sugar Mix ».
Ceci pourrait être expliqué par deux hypothèses. En effet, soit il pourrait s’agir d’une stimulation de l’initiation de l’autophagie et donc une accumulation de la production d’autophagosomes, soit il pourrait s’agir d’une inhibition de l’exécution de l’autophagie, c’est-à-dire l’étape de fusion de l’autophagosome avec le lysosome. Cette inhibition empêcherait ainsi la dégradation des autophagosomes, entrainant leur accumulation, ce qui expliquerait pourquoi les protéines LC3-II et p62 voient augmenter leurs abondances. Ces résultats montrent également que la composition du miel ainsi que la période de récolte influencent les effets de ce dernier sur l’abondance des protéines LC3-II et p62.
Une recherche postérieure devrait permettre de mettre en évidence par quelle voie, cette augmentation protéique est-elle induite et de continuer la recherche du (ou des) composant(s) présent(s) dans le miel potentiellement responsable(s) des effets observés sur l’autophagie.Note de contenu : Table des matières
Introduction générale ....................................................................................................................................... 7
I. Contexte général ........................................................................................................................................... 9
1. Le miel .................................................................................................................................................................. 10
1.1 Composition du miel....................................................................................................................................... 10
1.2 Propriétés du miel ........................................................................................................................................... 11
2. Autophagie ............................................................................................................................................................ 16
2.1 Définition autophagie ..................................................................................................................................... 16
2.2 Mécanismes cellulaires et moléculaires conduisant à la formation de l’autophagosome ............................... 17
2.3 Régulation de la réponse autophagique .......................................................................................................... 19
II. Objectifs et stratégie .................................................................................................................................. 26
III. Matériel et méthodes ................................................................................................................................ 28
1.Matériel .................................................................................................................................................................. 29
1.1 Cellules RAW 264.7 ....................................................................................................................................... 29
1.2 Cultures des RAW264.7 ................................................................................................................................. 29
1.3 Miel Revamil .................................................................................................................................................. 29
1.4 Miel Manuka ................................................................................................................................................... 30
1.5 Miels artisanaux .............................................................................................................................................. 30
2. Méthodes .............................................................................................................................................................. 31
2.1 Lysats cellulaires ............................................................................................................................................ 31
2.2 Dosage protéique par la méthode de Pierce 660 ............................................................................................. 33
2.3 Western blot en immunofluorescence............................................................................................................. 34
2.4 Quantification ................................................................................................................................................. 38
2.5 Analyse Statistique ......................................................................................................................................... 38
2.6 Analyse d’expression de gènes au niveau du transcrit-RT-qPCR .................................................................. 38
IV. Résultats et Discussion ............................................................................................................................ 41
1.Comparaison des effets de différents miels sur l’abondance de LC3-II et de p62 ................................................ 42
1.1 Etude de LC3-II ............................................................................................................................................. 44
1.2 Etude de p62 ................................................................................................................................................... 46
1.3 Etude de la voie de régulation de l’autophagie mTOR dépendante ................................................................ 48
2. Etude des effets du tréhalose sur l’abondance de protéines autophagiques LC3-II et p62. .................................. 50
2.1 Etude de LC3-II .............................................................................................................................................. 52
2.2 Etude de p62 ................................................................................................................................................... 52
Conclusion ..................................................................................................................................................... 53
Liste des abréviations .................................................................................................................................... 57
Table des figures ............................................................................................................................................ 60
Bibliographie ................................................................................................................................................. 62Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80004 Etude des effets du miel sur les mécanismes autophagiques des macrophages [TFE / Mémoire] / Robin Varsebroucq, Auteur ; Véronique Vallery, Directeur de la recherche . - Montignies-sur-Sambre : Helha. Paramédical - Biologie médicale, 2019.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : biologie médicale UNamur Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : Le miel est utilisé depuis des milliers d’années dans de nombreuses cultures et est connu pour ses propriétés antibactériennes, anti-inflammatoires et immunomodulatrices. Une recherche précédente a permis de mettre en évidence l’effet du miel Revamil sur l’abondance de protéines autophagiques des macrophages. En effet, les résultats ont montré une augmentation des protéines LC3-II et p62 en présence de Revamil ainsi qu’une phosphorylation du complexe mTOR. L’autophagie désigne le mécanisme par lequel la cellule est capable de dégrader ses éléments cytoplasmiques n’étant plus nécessaire pour produire de nouvelles protéines. Ceci se réalise par l’intermédiaire de ses autophagosomes et lysosomes.
L’objectif de ce travail est de caractériser les mécanismes par lesquels le miel Revamil module la phosphorylation de mTOR et le flux autophagique et de comparer les effets du Revamil aux effets potentiels d’autres miels tels que des miels artisanaux fabriqués à différentes périodes (printemps et été) et du miel Manuka. Cette comparaison, des effets de différents miels a, dans un premier temps, été réalisée par analyse d’abondance protéique des marqueurs de l’autophagie et de kinases/enzymes clés de sa régulation.
Cet objectif est mené en parallèle avec une étude portant sur la recherche du (ou des) composant(s) présent(s) dans le miel potentiellement responsable(s) des effets observés sur l’autophagie.
Cette recherche a permis de montrer une différence de l’augmentation de l’abondance des protéines LC3-II et p62 en fonction du miel utilisé. La composition ainsi que la période de récolte du miel influenceraient cet effet. Deux miels artisanaux ont montré des profils complétement différents et les miels médicaux alors que le Revamil et le Manuka montrent des effets relativement similaires.
Les résultats montrent une augmentation de l’abondance des protéines LC3-II et p62 pour les conditions Revamil, Manuka et miel d’été par rapport à la condition « Sugar Mix » contrairement au miel de printemps qui se comporte comme la condition « Sugar Mix ».
Ceci pourrait être expliqué par deux hypothèses. En effet, soit il pourrait s’agir d’une stimulation de l’initiation de l’autophagie et donc une accumulation de la production d’autophagosomes, soit il pourrait s’agir d’une inhibition de l’exécution de l’autophagie, c’est-à-dire l’étape de fusion de l’autophagosome avec le lysosome. Cette inhibition empêcherait ainsi la dégradation des autophagosomes, entrainant leur accumulation, ce qui expliquerait pourquoi les protéines LC3-II et p62 voient augmenter leurs abondances. Ces résultats montrent également que la composition du miel ainsi que la période de récolte influencent les effets de ce dernier sur l’abondance des protéines LC3-II et p62.
Une recherche postérieure devrait permettre de mettre en évidence par quelle voie, cette augmentation protéique est-elle induite et de continuer la recherche du (ou des) composant(s) présent(s) dans le miel potentiellement responsable(s) des effets observés sur l’autophagie.Note de contenu : Table des matières
Introduction générale ....................................................................................................................................... 7
I. Contexte général ........................................................................................................................................... 9
1. Le miel .................................................................................................................................................................. 10
1.1 Composition du miel....................................................................................................................................... 10
1.2 Propriétés du miel ........................................................................................................................................... 11
2. Autophagie ............................................................................................................................................................ 16
2.1 Définition autophagie ..................................................................................................................................... 16
2.2 Mécanismes cellulaires et moléculaires conduisant à la formation de l’autophagosome ............................... 17
2.3 Régulation de la réponse autophagique .......................................................................................................... 19
II. Objectifs et stratégie .................................................................................................................................. 26
III. Matériel et méthodes ................................................................................................................................ 28
1.Matériel .................................................................................................................................................................. 29
1.1 Cellules RAW 264.7 ....................................................................................................................................... 29
1.2 Cultures des RAW264.7 ................................................................................................................................. 29
1.3 Miel Revamil .................................................................................................................................................. 29
1.4 Miel Manuka ................................................................................................................................................... 30
1.5 Miels artisanaux .............................................................................................................................................. 30
2. Méthodes .............................................................................................................................................................. 31
2.1 Lysats cellulaires ............................................................................................................................................ 31
2.2 Dosage protéique par la méthode de Pierce 660 ............................................................................................. 33
2.3 Western blot en immunofluorescence............................................................................................................. 34
2.4 Quantification ................................................................................................................................................. 38
2.5 Analyse Statistique ......................................................................................................................................... 38
2.6 Analyse d’expression de gènes au niveau du transcrit-RT-qPCR .................................................................. 38
IV. Résultats et Discussion ............................................................................................................................ 41
1.Comparaison des effets de différents miels sur l’abondance de LC3-II et de p62 ................................................ 42
1.1 Etude de LC3-II ............................................................................................................................................. 44
1.2 Etude de p62 ................................................................................................................................................... 46
1.3 Etude de la voie de régulation de l’autophagie mTOR dépendante ................................................................ 48
2. Etude des effets du tréhalose sur l’abondance de protéines autophagiques LC3-II et p62. .................................. 50
2.1 Etude de LC3-II .............................................................................................................................................. 52
2.2 Etude de p62 ................................................................................................................................................... 52
Conclusion ..................................................................................................................................................... 53
Liste des abréviations .................................................................................................................................... 57
Table des figures ............................................................................................................................................ 60
Bibliographie ................................................................................................................................................. 62Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80004 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Etude préanalytique sur le dosage du zinc et du cuivre par spectrométrie d’absorption atomique / Lucia Lo cicero
Titre : Etude préanalytique sur le dosage du zinc et du cuivre par spectrométrie d’absorption atomique Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Lucia Lo cicero, Auteur ; Véronique Vallery, Directeur de la recherche Editeur : Montignies-sur-Sambre : Helha. Paramédical - Biologie médicale Année de publication : 2022 Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : Ce travail est une étude préanalytique concernant le dosage du zinc et du cuivre par spectrométrie d’absorption atomique. Le zinc et le cuivre font partie de la catégorie des oligoéléments et servent à un grand nombre de fonctions dans l’organisme. Bien qu’ils se retrouvent en faible quantité dans le corps humain, leur présence est indispensable au bon fonctionnement de celui-ci. Une personne en bonne santé aura un taux de zinc compris entre
0.70 mg/L et 1.20 mg/L et un taux de cuivre entre 0.70 mg/L et 1.40 mg/L. L’étude de ces oligoéléments dans ce travail est une analyse préanalytique se divisant en plusieurs points :
- L’étude de l’influence de l’hémolyse : Est-ce que la lyse des globules rouges influe sur le dosage du zinc et du cuivre ? Et si oui, à partir de quel moment ?
- L’étude de l’effet matrice : Est-ce que si le tube de référence pour le dosage des oligoéléments est manquant, d’autres tubes pourraient être utilisés ? Par exemple, un tube héparine, un tube sec sans gel ou un tube sec avec gel ?
- L’étude de stabilité :
o Stabilité du sérum : Est-ce qu’une fois le tube centrifugé et aliquoté, le sérum reste stable ? Et à des températures différentes ?
o Stabilité du sang total : Est-ce que si le tube n’est centrifugé qu’après plusieurs heures, le zinc et le cuivre resteront stables ?
o Stabilité lors de cycles de congélation : Est-ce que le sérum aliquoté peut être décongelé et recongelé plusieurs fois sans que cela n’impacte les résultats ?
Ce mémoire démontre que le zinc est un paramètre qui est impacté par l’hémolyse, par la nature du tube de prélèvement et par le temps d’attente avant la centrifugation du tube. Mais au contraire du zinc, le cuivre, lui, est un paramètre qui est à la fois non impacté par l’hémolyse, non impacté par la nature du tube de prélèvement et non impacté par le temps avant la centrifugation. Cependant, que ce soit pour le zinc ou pour le cuivre, le sérum reste
stable 48 heures à température ambiante et à 4°C et reste également stable 2 semaines à une température de -20°C.
Note de contenu : Table des matières
REMERCIEMENTS
PRESENTATION DU LIEU DE STAGE ......................................................................................................... 5
a. Bref historique de l’hôpital ......................................................................................................... 5
b. La clinique Saint-Luc de Bouge ................................................................................................... 5
c. Le laboratoire ............................................................................................................................. 6
INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 7
1. Introduction théorique ................................................................................................................... 8
1.1. Intérêt clinique ........................................................................................................................... 8
a. Le zinc ......................................................................................................................................... 8
b. Le cuivre...................................................................................................................................... 9
1.2. Introduction à la spectrométrie ............................................................................................... 10
1.3. La spectrométrie d’absorption atomique ................................................................................ 12
1.4. Le préanalytique ....................................................................................................................... 13
2. Objectifs ........................................................................................................................................ 14
3. Matériel et méthode .................................................................................................................... 15
3.1. Le PinAAcle 900T ...................................................................................................................... 15
a. Appareillage .............................................................................................................................. 15
Le pipeteur automatique............................................................................................................... 16
Le nébuliseur ................................................................................................................................. 17
L’atomiseur .................................................................................................................................... 18
La source lumineuse ...................................................................................................................... 20
Le monochromateur et le hacheur ............................................................................................... 21
Le détecteur et les résultats .......................................................................................................... 21
3.2. Les protocoles........................................................................................................................... 22
a. L’influence de l’hémolyse ......................................................................................................... 22
b. L’effet matrice .......................................................................................................................... 25
c. La stabilité................................................................................................................................. 26
Stabilité du zinc et du cuivre dans le sérum .................................................................................. 26
Stabilité du zinc et du cuivre dans le sang total ............................................................................ 27
Stabilité lors de cycle de congélation ............................................................................................ 27
3.3. Les statistiques ......................................................................................................................... 28
4. Résultat et discussion ................................................................................................................... 29
4.1 L’influence de l’hémolyse ......................................................................................................... 29
Le zinc ............................................................................................................................................ 30
Le cuivre ........................................................................................................................................ 31
4.2. L’effet matrice .......................................................................................................................... 33
Le zinc ............................................................................................................................................ 33
Le cuivre ........................................................................................................................................ 34
4.3. La stabilité................................................................................................................................. 35
a. Stabilité dans le sérum ............................................................................................................. 35
Le zinc ............................................................................................................................................ 35
Le cuivre ........................................................................................................................................ 40
b. Stabilité dans le sang total........................................................................................................ 46
Le zinc ............................................................................................................................................ 46
Le cuivre ........................................................................................................................................ 49
c. Stabilité lors de cycle de congélation ....................................................................................... 52
Le zinc ............................................................................................................................................ 52
Le cuivre ........................................................................................................................................ 53
CONCLUSION ......................................................................................................................................... 54
BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................................................................... 56
ANNEXE
Annexe N°1 : utilisation détaillé du PinAAcle 900 T pour le dosage du zinc et du cuivre. ................ 58
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105766 Etude préanalytique sur le dosage du zinc et du cuivre par spectrométrie d’absorption atomique [TFE / Mémoire] / Lucia Lo cicero, Auteur ; Véronique Vallery, Directeur de la recherche . - Montignies-sur-Sambre : Helha. Paramédical - Biologie médicale, 2022.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur
Langues : Français (fre)
Index. décimale : TFE Bio Med TFE Biologie médicale Résumé : Ce travail est une étude préanalytique concernant le dosage du zinc et du cuivre par spectrométrie d’absorption atomique. Le zinc et le cuivre font partie de la catégorie des oligoéléments et servent à un grand nombre de fonctions dans l’organisme. Bien qu’ils se retrouvent en faible quantité dans le corps humain, leur présence est indispensable au bon fonctionnement de celui-ci. Une personne en bonne santé aura un taux de zinc compris entre
0.70 mg/L et 1.20 mg/L et un taux de cuivre entre 0.70 mg/L et 1.40 mg/L. L’étude de ces oligoéléments dans ce travail est une analyse préanalytique se divisant en plusieurs points :
- L’étude de l’influence de l’hémolyse : Est-ce que la lyse des globules rouges influe sur le dosage du zinc et du cuivre ? Et si oui, à partir de quel moment ?
- L’étude de l’effet matrice : Est-ce que si le tube de référence pour le dosage des oligoéléments est manquant, d’autres tubes pourraient être utilisés ? Par exemple, un tube héparine, un tube sec sans gel ou un tube sec avec gel ?
- L’étude de stabilité :
o Stabilité du sérum : Est-ce qu’une fois le tube centrifugé et aliquoté, le sérum reste stable ? Et à des températures différentes ?
o Stabilité du sang total : Est-ce que si le tube n’est centrifugé qu’après plusieurs heures, le zinc et le cuivre resteront stables ?
o Stabilité lors de cycles de congélation : Est-ce que le sérum aliquoté peut être décongelé et recongelé plusieurs fois sans que cela n’impacte les résultats ?
Ce mémoire démontre que le zinc est un paramètre qui est impacté par l’hémolyse, par la nature du tube de prélèvement et par le temps d’attente avant la centrifugation du tube. Mais au contraire du zinc, le cuivre, lui, est un paramètre qui est à la fois non impacté par l’hémolyse, non impacté par la nature du tube de prélèvement et non impacté par le temps avant la centrifugation. Cependant, que ce soit pour le zinc ou pour le cuivre, le sérum reste
stable 48 heures à température ambiante et à 4°C et reste également stable 2 semaines à une température de -20°C.
Note de contenu : Table des matières
REMERCIEMENTS
PRESENTATION DU LIEU DE STAGE ......................................................................................................... 5
a. Bref historique de l’hôpital ......................................................................................................... 5
b. La clinique Saint-Luc de Bouge ................................................................................................... 5
c. Le laboratoire ............................................................................................................................. 6
INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 7
1. Introduction théorique ................................................................................................................... 8
1.1. Intérêt clinique ........................................................................................................................... 8
a. Le zinc ......................................................................................................................................... 8
b. Le cuivre...................................................................................................................................... 9
1.2. Introduction à la spectrométrie ............................................................................................... 10
1.3. La spectrométrie d’absorption atomique ................................................................................ 12
1.4. Le préanalytique ....................................................................................................................... 13
2. Objectifs ........................................................................................................................................ 14
3. Matériel et méthode .................................................................................................................... 15
3.1. Le PinAAcle 900T ...................................................................................................................... 15
a. Appareillage .............................................................................................................................. 15
Le pipeteur automatique............................................................................................................... 16
Le nébuliseur ................................................................................................................................. 17
L’atomiseur .................................................................................................................................... 18
La source lumineuse ...................................................................................................................... 20
Le monochromateur et le hacheur ............................................................................................... 21
Le détecteur et les résultats .......................................................................................................... 21
3.2. Les protocoles........................................................................................................................... 22
a. L’influence de l’hémolyse ......................................................................................................... 22
b. L’effet matrice .......................................................................................................................... 25
c. La stabilité................................................................................................................................. 26
Stabilité du zinc et du cuivre dans le sérum .................................................................................. 26
Stabilité du zinc et du cuivre dans le sang total ............................................................................ 27
Stabilité lors de cycle de congélation ............................................................................................ 27
3.3. Les statistiques ......................................................................................................................... 28
4. Résultat et discussion ................................................................................................................... 29
4.1 L’influence de l’hémolyse ......................................................................................................... 29
Le zinc ............................................................................................................................................ 30
Le cuivre ........................................................................................................................................ 31
4.2. L’effet matrice .......................................................................................................................... 33
Le zinc ............................................................................................................................................ 33
Le cuivre ........................................................................................................................................ 34
4.3. La stabilité................................................................................................................................. 35
a. Stabilité dans le sérum ............................................................................................................. 35
Le zinc ............................................................................................................................................ 35
Le cuivre ........................................................................................................................................ 40
b. Stabilité dans le sang total........................................................................................................ 46
Le zinc ............................................................................................................................................ 46
Le cuivre ........................................................................................................................................ 49
c. Stabilité lors de cycle de congélation ....................................................................................... 52
Le zinc ............................................................................................................................................ 52
Le cuivre ........................................................................................................................................ 53
CONCLUSION ......................................................................................................................................... 54
BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................................................................... 56
ANNEXE
Annexe N°1 : utilisation détaillé du PinAAcle 900 T pour le dosage du zinc et du cuivre. ................ 58
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105766 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Etude du rôle du transporteur monocarboxylate MCT1 dans la prolifération et la fonction du lymphocyte T / Inès Zoraï
PermalinkHémolyse et lipémie en immuno- chimie : impacts et solutions / Bérénice Dumont
PermalinkLa QF-PCR et le SWGS comme alternative à la méthode de CGH+SNP pour les analyses de produits de fausse couche / Florian Chavée
Permalink